Moeurs & Loisirs
Comment s'occupe-t-on dans la Keros des années 60 ? Après tout, habitués que nous sommes à un monde très connecté, pavé de technologie, c'est une question que nous sommes en droit de nous poser. Loin d'être ennuyante, la vie des années 60 était même plutôt riche et encourageait au contact social bien plus qu'aujourd'hui.
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rencontre et vie sociale
À l'époque, rencontrer des gens se faisait dans la rue et la grande majorité de la population sortait en famille, avec des amis, bien plus que nous le faisons aujourd'hui. Si les boîtes de nuit n'avaient pas encore fait leur entrée, les bars et cabarets les remplaçaient largement. Consommer, discuter, écouter les derniers chanteurs à la mode… Voilà ce qu'on faisait dans un bar ! Après tout, c'est assis sur ces tabourets hauts en couleurs qu'on peut partager les derniers potins ou commander la meilleure bière de toute la région. Certains pubs disposent même de jeux de salon et d'un superbe jukebox, tout droit importé d'Unys. Les bars des années 60 sont particulièrement fréquentés par la gente masculine… Mais les femmes commencent à s'y faire une place, même si elles leur préfèrent bien souvent les simples cafés.
Un autre genre de bar fait son apparition en secret dans les sous-sols des grandes villes. Leur localisation est passée de bouche à oreille, et on ne fait pas entrer n'importe qui. Et derrière cette façade de complot... se cachent en réalité les minorités de Keros, les homosexuels, bisexuels, transgenres et autres opprimés. Certains se servent de cette opportunité pour trouver un compagnon, d'autres cherchent juste le confort d'un lieu où ils ne se sentent pas en danger d'être eux-mêmes.
N'oublions pas les cabarets ! Vous voulez voir du grand spectacle ? Bienvenue dans ces immenses salles tamisées. Paillettes, confettis, fanfares, danses érotiques, représentations comiques ou à sensations… Vous voilà donc à la bonne adresse ! Des cabarets, il y en a partout, tout le temps. On s'y amuse bien, on boit, on se rince l'œil, on chante et on y fait parfois de belles rencontres… C'est d'ailleurs dans ces institutions que le monde du spectacle ose repousser les limites de la société. Les cabarets n'ont pas peur du grotesque, du vulgaire, du
too much
, et beaucoup de scènes développent aussi ce qu'on finira par appeler la culture QUEER…
Pour finir, il ne faudrait certainement pas omettre nos chers amis les Pokémon ! Vous vous doutez bien qu'ils ont aussi tout leur place sur les planches de ces grands théâtres. Ils participent à des numéros, sont les vedettes de quelques représentations de coordinations… Les cabarets, c'est un véritable tremplin pour les idées modernes et pour se faire un nom !
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la jeunesse de keros
Les jeunes des années 1960 passent la plupart de leur temps à l'extérieur ; les sorties entre amis, les petits concerts de quartier, mais aussi les bals qui animent parfois les villages sont d'excellents moyen de se divertir. Traîner dans les rues est aussi particulièrement agréable, même ça ne fait pas toujours
"distingué"
, surtout pour les demoiselles. Un excellent moyen de faire de nouvelles connaissances… Bien sûr, la meilleure solution est encore de traverser toute la région avec ses pokémon pour triompher des champions. Dresseurs et coordinateurs en herbe s'en donnent à cœur joie et sont bien souvent accueillis avec beaucoup de bienveillance : on aime ces petits jeunes qui n'ont pas froid aux yeux… Même si les jeunes filles sont souvent considérées plus négativement : qui aurait l'idée d'accepter de laisser partir une demoiselle toute seule sur les routes ?