Wikihow : how to assert dominance on William Northwood by fucking his father [solo] Jeu 19 Oct 2023 - 16:40 | |
| Wikihow : how to assert dominance on William Northwood by fucking his fatherSolo Pas grand souvenir de la veille quand Aaron fut tiré de son sommeil ce matin-là – matin ? Enfin, peu importe l’heure qu’il était. Il avait un mal de crâne horrible et comprit avec un mélange d’incrédulité et d’énervement qu’il ne devait cela qu’à l’alcool. Quelles circonstances exactement l’avaient-il poussé à boire ? Lui qui dérapait déjà verbalement à un verre de liqueur. Ça n’avait aucun sens et pourtant, les faits étaient là, il soupira avant de s’étirer sous sa couette, ignorant les douloureuses protestations de ses hanches et sursauta quand ses mains rencontrèrent quelque chose de… Chaud ? Attendez une minute…
Un regard vers l’autre moitié du lit. Ah, James…
JAMES ?!
Il resta là un long moment, totalement muet, à regarder sans rien dire son compagnon somnoler tranquillement. Il ne savait pas trop quoi dire et le fait qu’il se rende compte qu’il était dépourvu de vêtements sous les draps de son lit n’arrangeait pas les choses. Il se prit le visage entre les mains et secoua la tête, essayant de recoller les morceaux du peu de souvenirs qu’il avait de la veille. Rien ne faisait sens, il se souvenait juste avoir proposé à James une sortie en tête-à-tête et puis… Pas grand-chose d’autre. Peut-être que son compagnon en saurait plus sur le pourquoi du comment, mais rien qu’en le regardant dormir sereinement, Aaron n’avait aucune envie de le réveiller.
Par contre, ce putain de mal de tête lui explosait toujours le crâne. Oh, il savait plutôt bien les conseils de base pour se débarrasser d’une gueule de bois, hydratation et aspirine mais… Rien que l’idée de bouger lui faisait craindre de déranger James. Aaron ne savait pas si il ne voulait pas son réveil parce qu’il était attendrissant dans son sommeil ou parce que cela signifiait se confronter à la réalité. Peut-être un peu des deux. Il se concentra donc plutôt sur l’observation de la chambre dans laquelle il était et apparemment, ce n’était pas la sienne. Ah, oui, c’est vrai maintenant qu’il y pensait, il était à Pryderi.
Ce devait être la chambre de James. Alastair ne serait donc pas là pour observer la décadence de son ami. Par contre, William… Cette idée lui causa un pic de panique suffisant pour se décider à tenter de réveiller James en douceur. Il lui secoua gentiment l’épaule.
James… Souffla-t-il. Pitié, réveille-toi…
Pour toute réponse, un « hum » d’inconfort avant que ce dernier ne se roule en boule comme un Chacripan. Putain de James Northwood, tête à claque, tête de con même. Aaron souffla d’exaspération et finit par le secouer avec un peu moins de finesse.
James, c’est légèrement urgent.
En effet, il ne tenait pas à être surprit par l’autre petit con de blondinet dans cette situation. Il aurait bien aimé dire que « ce n’est pas ce que vous croyez » mais lui-même n’en savait rien. Enfin, tout de même, les cabrioles, ce n’était plus de leur âge, non ? Et… Il n’avait jamais fait ça avec un homme – à quelques détails prêt. Aucune chance que ce soit le cas maintenant… Pas vrai ?
Enfin, voilà que James finit par ouvrir les yeux dans un grognement mécontent pour se redresser très lentement et observer autour de lui d’un air confus avant que son regard ne se fixe sur un Aaron aux sourcils froncés, croisant les bras et pinçant les lèvres. Il ne lui en faut apparemment pas plus pour exploser de rire. Il fallut toute la patience du monde au champion pour ne pas secouer son compagnon comme un foutu Repoirier. Qu’est-ce qui était amusant là-dedans exactement ?
Et bien… Gloussa l’abruti de service. …On dirait que nous sommes allés un peu plus loin que prévu…
Encore une fois, Aaron se retint de lui hurler dessus. Il n’était clairement pas d’humeur à la rigolade et son air plus que renfrogné finit par calmer James dans son hilarité. Il le regarda d’un œil interrogateur, comme si il ne savait pas ce qui déplaisait au champion dans cette situation. Ce dernier soupira lourdement, devait-il vraiment tout lui expliquer ? Bordel…
James, est-ce que ton fils vit ici ? Je n’ai pas envie qu’il se fasse des idées sur… Cette situation.
Ledit James resta pensif un instant, comme si la question d’Aaron lui demandait toute la concentration du monde pour y répondre. Le champion se demanda si son compagnon n’était pas resté perché après tout. Un nouveau soupir lourd, ils formaient une belle bandes de couillons.
A l’heure qu’il est, il doit être à l’imprimerie… Souffla James d’un air pensif.
Parce que tu sais quelle heure il est peut-être ? Demanda Aaron d’une voix plus que ronchon.
Nouveau silence, James se frotta péniblement les yeux avant de se laisser retomber sur son oreiller, soupirant d’aise. Comme si il n’y avait ABSOLUMENT aucune raison de s’inquiéter.
Ce doit être l’après-midi. Finit-il par dire d’une voix ensommeillée. Le soleil est plutôt bas dans le ciel.
Ah tiens, un détail auquel Aaron n’avait pas fait attention. Un regard dehors lui permit de comprendre qu’en effet, la matinée était belle et bien derrière eux. Il souffla un simple « bordel… » avant d’imiter James et de se laisser retomber sur le lit. Après un long silence, il finit par oser poser la question qui le hantait.
Est-ce que tu sais… Ce que l’on a fait, exactement ?
Encore une fois, James garda longtemps le silence avant de répondre. Son visage trahissait la confusion, lui-même ne semblait pas vraiment se souvenir des évènements de la veille. Mais il fit tout de même l’effort de répondre du mieux qu’il pouvait.
Pas vraiment, non. Soupira-t-il avant de se frotter la nuque. En tous cas… Physiquement, je suis usé.
On peut dire que le silence était maitre de cette conversation car encore une fois, il plana un long moment pendant que Aaron essayait de déterminer avec une certaine appréhension si il avait la moindre douleur physique auquel il n’avait pas fait attention en raison de la panique. Il devait admettre… Avoir mal aux reins et « un peu » au dos oui. Et… Un goût bizarre dans la bouche auquel il préféra ne pas prêter attention.
Comme si il lisait dans ses pensées, James se tourna vers lui d’un air curieux.
…Et toi ?
Rien. Répondit Aaron, bien trop brusquement pour être honnête.
Plissant les yeux, son compagnon du voir à travers son gros mensonge car il se contenta de lui lancer un sourire narquois. Le champion sur mordit la lèvre inférieur, réprimant la légère panique qui le gagnait peu à peu. Les baisers, pourquoi pas, mais baiser tout court, c’était une autre histoire. Mais sans qu’il puisse émettre la moindre protestation, James vint vers lui pour l’embrasser. Et pas le genre de « petit bisou d’adolescent » non, un suffisamment fougueux pour en faire rougir Aaron. Il lui fallu un peu de temps pour s’extirper de cette emprise de Tentacruel avec un étrange sentiment de regret mais tout de même trop « timide » pour continuer sur ce chemin.
James, nous sommes déjà… Il prit une grande inspiration. …N’aggravons pas les choses, s’il-te-plaît…
Le champion fut dévisagé d’un air qui trahissait clairement la pensée « Sérieusement ? » de la part de son compagnon. C’est vrai qu’en y repensant, il n’y avait pas grand-chose à aggraver là-dedans, ils étaient déjà dans le merdier jusqu’au cou. Mais Aaron reprit un peu de fierté qu’il lui restait et se redressa – non sans mal. Maintenant que James était réveillé, il n’avait plus aucune raison de rester immobile à ses côtés.
Tu m’excusera, je vais prendre de quoi calmer mon mal de crâne que tu ne cesse d’aggraver. Siffla-t-il en lançant un regard noir à son partenaire.
Dans la salle de bain, le cabinet de-…
Je sais ! Grogna-t-il avant d’attraper sa chemise – est-ce que c’était bien la sienne ? – qui trainait par terre pour se vêtir un minimum. Je t’en apporte aussi, je crois que tu délire.
Il ne voyait franchement pas d’autres terme pour qualifier l’air insouciant de son compagnon, un aller-retour rapide dans la maison lui permit d’apporter tous ce qu’il fallait, avec en plus de la pommade pour les douleurs musculaires, le tout sur un petit plateau trop élégant pour son utilité. Un plateau qui se retrouva posé sur la table de chevet du coté de James tandis qu’Aaron lui tendait son verre d’aspirine d’un air blasé.
Merci, Darling, je pense que je n’aurais pas eu la force qu’y aller moi-même. Je vais devoir déléguer le travail à William pendant un certain temps on dirait.
Des jurons furent lâchés à voix basse avant qu’Aaron ne daigne toucher son propre verre pour le boire presque cul-sec. Le gout de l’aspirine lui avait toujours parut dégueulasse mais au moins, cela atténuerait les maux de crâne. Et il en avait clairement besoin pour réfléchir correctement. Il était toujours un peu dans le déni pour préserver ce qui lui restait de sa pathétique illusion d’hétérosexualité.
Oh, merci pour la pommade ! fit remarquer James. Tu pourras m’aider, je ne pense pas-…
Va chier.
Merci beaucoup, mon amour, toujours là quand on a besoin de toi.
De belles paroles ironiques qui firent lever les yeux du champion au ciel avant de lui arracher un énième soupir exaspéré. Il était toujours le genre d’homme à assumer ses responsabilités pourtant, quoi de plus naturel que d’aider à apaiser des douleurs qu’il avait… Hum, disons, lui-même causé ? Mais disons que dans l’état actuel des choses, il n’était pas très certain de vouloir toucher d’avantage la peau de James, par peur d’un autre « incident », sans doute.
Aaron, ta tête ressemble à une baie Tamato, respire un peu.
Facile à dire, tiens ! Il se pinça une nouvelle fois l’arrête du nez, essayant encore de se remémorer les instants passés de la veille. Quel genre de dérapage alcoolisé avait pu les mener là ? Son silence parut tracasser James puisqu’il entendit sa vois inquiète.
Ça va ? Enfin, je veux dire… Je suis désolé, je ne pensais pas que ce serait si difficile pour toi de… Enfin, c’est normal, tu sais… Quoiqu’en dise les autres… Murmura-t-il hésitant. …Je ne voudrais pas que cela change notre relation…
Le champion allait répliquer que c’était un peu trop tard pour ça mais le regard de Voltoutou perdu de James lui fit fermer sa grande gueule. Il se retrouva penaud à regarder son compagnon d’un air désolé avant de bredouiller maladroitement.
N-non, ça va… J-je ne pensais juste pas qu-que…
…Que ça irait aussi loin que ça.
Mais impossible de formuler le reste de la phrase, rendre ça tangible avec des mots était trop complexe pour Aaron qui préféra se réfugier dans le silence, attendant sagement que James daigne dire quelque chose ou faire autre chose que de le fixer d’un regard de Ponchiot battu. Ce qui dura un bon bout de temps.
Je comprends, on peut s’arrêter là si… Enfin, si c’est trop pour toi.
Aaron releva la tête d’un air presque révolté.
Et puis quoi encore ? Lâcha-t-il instinctivement. Je… Je me fiche bien de ce que les autres pourraient en penser, je t’aime, James, c’est tout.
Oh, il l’avait dit. Il lui avait explicitement avoué ses sentiments. Il avait l’air d’un abruti à présent, la bouche ouverte mais impossible de dire quoique ce soit. Mais au moins, il y en avait un qui était content dans cette histoire, James arborait maintenant un sourire rayonnant et des pommettes légèrement rosées. Il vint timidement poser sa main sur celle d’Aaron pour la serrer tendrement.
Je… Je t’aime aussi, tu sais.
Clairement, il était déstabilisé qu’Aaron ait pris les devants mais ça ne semblait pas lui déplaire. En réalité, rien dans cette situation étrange et rocambolesque ne paraissait déplaire à James, il était clairement heureux et bien dans sa peau. Le champion se frotta nerveusement la joue en se demandant si il ne pouvait pas juste se laisser aller ainsi, profiter du moment présent et oublier une minute qu’il avait une image, des responsabilités et tout un tas d’autres choses stupides à tenir. Et surtout oublier qu’il n’était pas censé être de ce bord-là.
Mais enfin, il pouvait faire une exception pour James, non ?
Bon… Tu es sûr que ton imbécile de fils ne va pas rentrer d’une minute à l’autre ? Demanda-t-il embarrassé pour que James lui réponde par un petit « non » de la tête. Bon, je t’accorde tes massages tant désirés. Mais n’espère rien d’autre de ma part.
Il priait plutôt pour qu’il ne sente pas naitre d’autres envies de par ce biais. D’une parce qu’il n’assumerait pas du tout et de deux parce que la menace de William pouvant rentrer à tous moment rendait ce genre de « fantaisie » un peu risquée. Aussi se promit-il que si James se mettait à gémir ou à raconter quoique ce soit d’un peu trop « bizarre », il l’étoufferait avec son propre oreiller.
Et il sentait d’avance que cela allait être folklorique …
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