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Amalia Ballantyne
Amalia Ballantyne
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Pokédollars : 201
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Inventaire : - Licence
- 4 Pokéballs
- 6 Dés d'or
- 4 Repousses
- 2 Noigrumes verts
- 1 Noigrume bleu
Pas de rubans
Amalia Ballantyne
Lowlands
Jeu 10 Nov - 23:01   

Amalia Ballantyne

Identité

NOM Ballantyne
PRÉNOM Amalia
ÂGE 26ans
ORIENTATION SEXUELLE Hétérosexuelle with a twist

ORIGINES Keros
VILLE NATALE Glenn
DOMICILE ACTUEL Duill

ACTIVITÉ/MÉTIER Apprentie ranger grade 1
VOTRE ALIGNEMENT Galliste
CARTE DEMANDÉE Carte ranger

CHOIX POUR VOTRE ÉQUIPE Sélection du staff

NOM DE L'AVATAR Skye – Valorant par @Spliinkles

ton image

Histoire

TW : rapport forcé, homophobie, transphobie, Glenn

Le père d’Amalia a participé à la Grande Guerre.
Ils sont venus le chercher alors qu’il travaillait dans les champs avec son propre père et son grand frère. Ils ne leur ont pas laissé le temps de faire leurs aurevoirs à leur famille, juste de fourrer des vêtements dans leurs sacs de voyages avant d’embarquer dans la camionnette où se trouvaient déjà les autres hommes aptes à se battre du village.

Il est revenu un an après, trois jours seulement pour assister à l’enterrement de son grand-frère Barclay. Il n’a jamais parlé des détails de cet évènement qui avait déjà été annoncé avant qu’il ne rentre. Il n’a pas pleuré quand les funérailles ont eu lieu le troisième jour. Il est resté droit, stoïque, n’a pris la parole pour lire le verset préféré de son aîné puis une fois la procession terminée, il est simplement rentré avec sa femme. Leur petite fille est restée chez la nourrice ce soir-là, pour éviter d’être exposée à la tristesse et à la colère de son père.

Il n’a pas été tendre avec son épouse quand il s’est allongé à côté d’elle dans le lit.

Ce n’était pas lui, se rassurait sa femme alors qu’il se forçait en elle, son mari est un homme froid mais avec un grand cœur et ce cœur avait été brisé par les horreurs de la guerre. Quand elle s’est réveillée, il était déjà reparti au front.

C’est en cette soirée qu’Amalia a été conçue.

Née neuf mois plus tard, un bon petit bébé joufflu avec déjà une sacrée tignasse rousse. Seulement assistée de sa belle-mère, la maman d’Amalia a accouché seule dans la maison familiale. Blottie contre le sens de sa mère, inconsolable d’être née, Amalia s’est vue attribuer le prénom de son oncle décédé : Barclay.

Comme le voulait la tradition de transmettre ce nom au premier garçon de la nouvelle génération.

Le père d’Amalia ne rentre que quand elle a quatre ans. A la vue de son enfant, il s’effondre, s’excuse en la serrant dans ses bras, se maudit de ne pas avoir été là. Elle est trop jeune pour comprendre mais il avait besoin de faire son deuil à sa façon et se jeter à corps perdu dans la guerre, si celle-ci ne s’était jamais terminée, serait-il un jour revenu à la maison ?

Amalia grandit heureuse, choyée. Sa grande-sœur Iseabail, qu’elle surnomme Izzy de part son prénom difficile à prononcer pour une enfant, est toujours à ses côtés. Amalia c’est sa petite poupée, son bébé à elle. Elle l’a toujours dans ses bras, la pomponne et la dorlote et sa petite sœur se laisse faire, elle apprécie autant jouer à la dinette que jouer à cache-cache dans les champs. Elle est petite alors ça n’inquiète pas ses parents. Elle a du mal à répondre au prénom qu’ils lui ont donné, elle n’y rattache pas son identité, trouve que c’est là un concept étrange, juste un son qui sert à l’appeler.

On coupe ses cheveux longs quand elle a sept ans et elle n’a jamais autant pleuré qu’à ce moment. Ses jolies boucles rousses de bébé se sont transformées en une touffe bien trop rebelle et épaisse pour que sa mère ne s’embête à la coiffer. Puis un petit garçon avec les cheveux longs, ça provoque la confusion. Mais Amalia se fiche de ce que les autres pensent d’elle car elle sait déjà qu’ils ne la comprendront jamais.

A l’école elle est bonne élève, timide, elle préfère la compagnie des filles mais les garçons l’invitent toujours à jouer avec eux. C’est qu’Amalia est déjà plus grande que ses camarades. Elle est aussi très sportive à force d’arpenter les champs et d’aider son père. Alors elle finie par accepter, de toute façon au collège, les filles et les garçons seront séparés. Elle doit se faire des amis maintenant si elle ne veut pas être seule. Elle regrette tout de même d’avoir à faire ce choix.

Au collège Amalia se concentre sur ses études pour ne pas fréquenter plus que nécessaire les garçons qu’elle trouve de plus en plus répugnant. Ils collent leurs crottent de nez sous les tables, font des concours de rot, sont bruyants dès lors que le professeur s’absente. Il n’y a un qu’un qu’elle aime bien mais sa peau pâle rosit beaucoup trop facilement quand leurs regards se croisent. Elle est obligée de cacher sa tête dans ses manuels. Peut-être ne devrait-elle pas autant lui prêter attention, c’est qu’il la distrait beaucoup et ce même la nuit quand elle rêve d’être plus que son amie.

Elle sait cependant que ce n’est pas possible et range cette attirance avec son autre déviance.

« Si jamais tu as quelque chose à me confier, tu sais que je ne le répéterais à personne, hein ? » Lui demande un jour Iseabail, comme si elle savait. Et malgré tout l’amour qu’elle a pour sa sœur, Amalia n’a rien à lui dire, ne lui offre qu’un sourire peiné. Si Izzy a deviné, c’est qu’Amalia ne fait pas assez attention. Alors elle commence à moins fréquenter sa sœur, sort avec les copains, apprend de plus en plus de choses sur la terre avec son père, se noie dans les bouquins.

Elle doit faire honneur à tonton Barclay même si c’est de plus en plus difficile.

Sa première dispute avec ses parents a lieu quand elle a seize ans. Ils veulent qu’elle arrête ses études pour consacrer tout son temps à la ferme et Amalia refuse. Elle a encore besoin de liberté avant d’être enchaînée à cette vie qu’elle pourrait aimer si elle n’était pas accompagnée de tant de sacrifices sur son identité. Elle n’a pas d’avenir à Glenn et ils ont beau lui en peindre un, ce n’est pas le sien. C’est son oncle qui aurait dû hériter de l’exploitation, ses enfants qui auraient été formé pour la reprendre, pas elle.

Elle aimerait enterrer le Barclay que son oncle a laissé derrière lui.

Amalia obtient son diplôme à ses dix-huit ans mais la joie est de courte durée, le service militaire va commencer. Comme pour ses années de scolarité, Amalia est bonne élève, fait ce qu’on lui demande et plus encore. Elle ne cesse de grandir, sa peau bronzée par le soleil contraste avec les cicatrices blanches qu’elle se fait aussi bien pendant les exercices qu’à la ferme. L’exercice dessinent ses muscles que les garçons de son âge envient mais elle, elle n’aime pas l’image qu’elle voit dans le miroir. Pourtant ses yeux verts sont jolis, elle a hérité des longs cils de son père, des lèvres bien dessinées de sa mère, des tâches de rousseurs des deux. On l’a encore rasé avant de commencer le service militaire, c’est peut-être pour ça qu’elle n’arrive pas à apprécier son visage. Ou alors c’est simplement parce qu’il ne va pas avec le reste de son corps.

Amalia soupire, de toute façon, son avis ne compte pas, c’est comme ça qu’elle doit être bâtie : pour le travail.

A la fin de son service, on l’encourage à poursuivre dans cette voie, elle peut tout faire : militaire, policière, pompier ou bien ranger. Mais Amalia s’excuse, elle doit rentrer, les champs de blés l’attendent. Son père se fait vieux, il est fatigué et le mari de sa sœur veut bien aider mais il ne reste qu’un employé. C’est lui qui fini de la former, lui qui en sait encore plus qu’elle sur cette exploitation dans laquelle elle a pourtant grandit. Il lui a apporté des améliorations, a refait les comptes, acheté du nouveau matériel qu’il lui apprend à manier. Il est passionné, elle, elle ne l’est pas.

Au bout d’un an, Amalia ne peut plus jouer la comédie.

Aujourd’hui on fête ses vingt-et-un an, elle a la journée de repos car demain, elle sera officiellement la nouvelle propriétaire de l’affaire familiale. Tout le monde est heureux, le gâteau est bon, le cidre est doux et pourtant Amalia est amère. Le soir venu, sa sœur toque à la porte de sa chambre, pour s’assurer si elle va bien et sa cadette craque. Elle s’effondre, pleure contre le tissus de la jupe de son aînée. Elle avoue tout entre deux sanglots, essaye pitoyablement de ne pas parler trop fort.

C’est donc le soir de son anniversaire qu’Izzy l’encourage à partir.

Elle lui donne ses petites économies, l’aide à faire son sac. Elle a les yeux bordés de larmes mais se retient pour faire bonne figure. Elle doit être forte pour celle qu’elle a si longtemps considéré comme son propre enfant. Elle embrasse le front d’Amalia, lui offre son cardigan en laine, son préféré et la prie de partir maintenant avant qu’elle n’hésite. Amalia obéit, car obéissante elle l’a toujours été, alors elle ne sait pas comment gérer cette liberté.

Jusqu’à ses vingt-quatre ans, Amalia enchaîne les petits boulots. Des chantiers aux livraisons en passant par quelques missions d’agent de sécurité, elle fait tout pour survivre dans Pryderi. Elle a longtemps erré avant de se reprendre en mains et peut se vanter d’avoir un appartement, de payer son loyer à temps, de toujours avoir de quoi à manger. Mais Amalia n’est pas heureuse, pas encore. Si le décor a changé, sa vie reste la même, prisonnière de son identité.

C’est lors d’un rendez-vous galant qu’elle entrevoit enfin ce que pourrait être son avenir.

La fille est jolie, un an plus jeune, elle est coquette et apprécie d’être en compagnie d’un homme si grand et qui prend soin de lui. Amalia pense qu’elle peut se forcer à l’aimer mais se demande si c’est juste pour cette pauvre demoiselle qui mérite d’être désirée. Comme pour tester son ouverture d’esprit, la miss lui donne rendez-vous dans un cabaret où se produisent des hommes déguisées en femmes. Elles sont reines sur scène, leurs maquillages exagérés les complimentent étrangement. Elles sont burlesques parfois vulgaires mais elles rayonnent.

Ce n’est pas exactement ce qu’Amalia veut être mais ça y ressemble.

Elle ne donnera jamais suite à son rencard, trop honteuse de mentir sur la raison derrière. Elle retourne au cabaret, s’inquiète de la croiser là-bas et pousse un soupir de soulagement quand ce n’est pas le cas. Elle attend jusqu’à la fin pour pouvoir demander à voir les artistes mais une fois devant la loge, surveillée par une personne peu commode, Amalia tremble de toute sa grandeur. Elle toque si doucement que le vigile la dévisage et fini par toquer à sa place. Ils entendent des « deux secondes on est à poils » amusés avant que la porte ne s’ouvre et qu’Amalia tombe nez à nez avec une Dragqueen encore maquillée mais torse nu.

« Qui a mangé ta langue ? Ce n’est sûrement pas moi ! Bertha, as-tu traumatisé ce petit ? »

Rigole la professionnelle en voyant l’état de panique dans lequel est l’adulte en face d’elle. La dite Bertha apparaît à ce moment, le sourire aussi grand que celle de son amie.

« Oh non mais ça peut s’arranger. »

A ce moment là, Amalia est plus rouge que leurs lèvres teintées.

Elle revient souvent à l’établissement à partir de là. L’équipe la prend sous son aile, c’est leur petite protégée même si aucun de leurs talons ne les aident à la dépasser, elle et son un mètre quatre-vingt-six. Elles sont douces avec elle, les mots qu’Amalia s’était interdite de prononcer ne sonnent pas comme des insultes dans leur bouche. Elles lui offrent de travailler ici, le temps qu’elle se réapproprie qui elle est. C’est Bertha qui lui donne le prénom d’Amalia lors d’un atelier « apprendre à se maquiller pour les nulles ( toi ) » spécialement concoctée pour la rousse.

Barclay est un lointain souvenir, remplacé par ce cadeau qu’est son nouveau nom.

Amalia fête son premier anniversaire en tant que femme à vingt-six ans mais c’est comme si aucun autre anniversaire n’avait compté avant. Ses amies ont pourtant la lourde tâche de l’encourager à voler de ses propres ailes, il est grand temps qu’elle vive pour elle, elles ne seront pas là éternellement. Et ça la peine de perdre encore une fois ses grandes sœurs mais elle est forte, plus qu’elle ne l’a jamais été. Elles lui offrent un tailleur, lui apprennent à bien dissimuler ses parties intimes pour que celles-ci ne jurent pas avec la jupe. Ils la coiffent, la maquillent, l’aident à écrire un CV. Il y a un poste d’agent d’accueil qui s’est libéré à une base ranger, ses amies lui assurent qu’ils sont tolérants là-bas, qu’elle n’a rien à craindre.

Ça ne se passe pas exactement comme prévu.

La position a déjà été pourvue et Amalia se sent bête. Elle est aussi gênée de son apparence, encore plus quand l’agente regarde son CV et son identité.

« Oh ça n’a pas dû être facile pour vous.. Mais ne vous inquiétez pas, l’uniforme vous ira très bien !  Vous êtes jolie comme un cœur ! »

La première réaction est « quoi », la deuxième est aussi « quoi », en fait il n’y a que ça qui retenti dans son esprit alors que la femme lui explique que ce n’est pas exactement ici qu’il faut s’inscrire pour la formation apprentie ranger pour adultes mais de ne pas s’en faire, que ça arrive souvent. Elle lui écrit toutes les informations sur un joli post-it rose pastel et lui rend ses papiers avec un sourire si charmant qu’Amalia ne peut s’empêcher d’hocher la tête et de la remercier.

Ranger, hein ?

Ce n’est pas tout à fait ce qu’elle avait en tête mais elle se sent trop âgée pour faire autre chose. Oh elle aurait aimé être fleuriste, bibliothécaire ou bien encore vétérinaire mais tout cela lui semble impossible. Ranger.. Ranger ça peut le faire. Si elle peut aider les autres, ce ne serait que renvoyer l’ascenseur.

Après un passage au Trident de Mhairi, Amalia se voit intégrer la base ranger de Duill en tant qu’apprentie.

Si certains se questionnent sur cette grande femme toujours apprêtée même lors qu’elle est en vêtements de sports ce qui arrive bien plus souvent qu’elle n’aimerait, ses amies de Pryderi avaient raison. Ils ne disent rien, la compréhension et l’acceptation règnent sans qu’on ai besoin de le demander. C’est peut-être ça qui la rend trop confiante, qui lui fait oublier à quel point les gens peuvent être méchants. Elle ne sait comment, sa sœur a trouvé son adresse et lui a écrit une lettre disant que son mari a repris la ferme, qu’après des années de tentatives sans succès, ils viennent d’accueillir leur premier enfant, une petite fille. Elle ajoute qu’elle aimerait beaucoup qu’elle puisse rencontrer sa tante.

Amalia n’en n’a pas l’occasion.

Pourtant elle est venue à Glenn, habillée de sa plus jolie robe, de son manteau en fausse fourrure hérité de Bertha qu’elle ne sort que pour les plus grandes occasions. Elle se trouve belle, pense convaincre tout le monde en étant elle-même.

Ça ne l’a pourtant pas étonnée de se faire tabasser.

Et elle s’est laissée faire, elle aurait sans doute pu les maîtriser mais risquer sa nouvelle carrière ? Impossible de leur donner cette satisfaction. Le plus dur ce ne sont pas les coups, pas les plaies, c’est de reconnaître parmi ces hommes haineux le premier garçon qu’elle avait aimé. Ça, c’est le plus cruel. Fébrile, humiliée, Amalia reste longtemps au sol la respiration coupée. Elle est heureuse de ne pas avoir été tué, malheureuse que ce soit là sa première pensée. Elle fini par se relever, trouve un cabinet sur le point de fermer. Il n’était pas là avant, elle se précipite pour attraper le bras du médecin.

Il n’est pas non plus tendre avec elle, même s’il s’occupe de ses plaies.

Amalia lui en veut, il n’est pourtant pas coupable mais il pourrait être compatissant, être indigné face à ce genre de comportement. Elle aurait aimé être sauvée par un prince, doit se contenter d’être rabibochée par quelqu’un qui ne feint même pas d’être un soutien. Mais tout va bien, tout ira bien. Puis son Nanméouïe est beaucoup plus gentil, l’accompagne jusqu’à un taxi.

Désolée Izzy, tata ne te rencontrera pas.

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Professeur Chardon
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Professeur Chardon
Highlands
Ven 11 Nov - 20:21   

Félicitations !



Tu es validé !


Rebienvenue, Séraphin ! Encore un perso adorable... je ne dirai qu'une chose : must protecc. Elle fait presque 1m90 et 90kg de muscles mais ça reste notre fifille à tous ♥
Sur ce, voici tes choix, j'espère qu'ils te plairont !

••• + 1 and she's a, she's a lady × amalia Ancien10
•••  + 1 and she's a, she's a lady × amalia De_dor


Bottin des avatars - Recensement des métiers et activités - Recensement des Equipes
Demande de RP - Carte Dresseur & Contacts


imageMachoc
Femelle - Niveau 5

Machoc est un peu la coach d'Amalia. Coach de quoi ? De tout, pardi ! Elle l'encourage dans toutes les occasions, qu'il s'agisse d'exercice physique, de son travail de ranger ou de sa confiance en elle. Parfois, elle en fait un peu trop, et Amalia se sent découragée en voyant ce que son Pokémon attend d'elle. C'est vrai qu'elle manque parfois de tendresse, mais ce n'est pas pour autant qu'elle n'aime pas sa dresseuse de tout son cœur.

Balayage Groz'Yeux Puissance Coaching
imageChamallot
Mâle - Niveau 5

Il est mignon, ce Chamallot. Toujours à roupiller bien au chaud dans le lit de sa maîtresse ou à réclamer des câlins. Le souci... c'est qu'il est censé être son partenaire ranger, pas sa bouillotte...
Pourtant, on l'a bien prévenue : ce Pokémon est une feignasse, et elle n'en tirera rien ! Ca ne l'empêche pas d'essayer, elle continue de croire en lui malgré sa paresse. Et puis, dans le pire des cas, il sera recalé au rôle de doudou.

Rugissement Charge Flammèche Bâillement
imageNigosier
Mâle - Niveau 5

Ce Nigosier n'a pas usurpé le nom de son espèce. Il surprendra toujours Amalia par sa capacité à se renouveler sans sa stupidité. Elle l'a rencontré dans la cantine de l'académie ranger, où cet imbécile s'était d'une façon ou une autre, introduit pour se jeter dans la soupe. Désormais remplie de plumes et immangeable, il s'est fait courser par tous les cuisiniers avant d'aller se cacher derrière la grande et forte Amalia.
Elle a eu pitié de lui, a refusé de les laisser le blesser et... une chose menant à une autre, il vit désormais chez elle. Il n'y a pas photo : Nigosier est on con fini, mais elle l'aime.

Stockage Relâche Avale Hydrocanon



   
imagePsystrigri
Mâle - Niveau 5

On demande parfois à Amalia pourquoi, du haut de ses vingt-six ans, elle n'a toujours pas d'enfant. Sa réponse : elle en a déjà un ! Tout petit et tout poilu, son Psystigri d'amour. Trouvé tout bébé dans une poubelle, elle a juré de s'occuper de ce petit bout. Désormais, c'est à la vie, à la mort, et si la demoiselle est du genre pacifique, quiconque ferait du mal à son chaton risque de ne jamais revoir la lumière du jour.

Griffe Groz'Yeux Bluff Câlinerie
imageEmbrylex
Femelle - Niveau 5

Cette Embrylex a été trouvée lors de la toute première mission pratique d'Amalia et a une histoire bien tristoune. Une sombre affaire de braconnage, où sa maman s'est retrouvée tuée pour pouvoir piller ses œufs. Bien cachée dans un coin de la grotte, elle était la seule survivante et refusait catégoriquement d'abandonner le corps de sa mère. Il a fallu la porter pour la sortir de là, un exploit dont seule Amalia a été capable.
Embrylex guérit doucement de son traumatisme, mais elle donne bien du souci à sa nouvelle maman. C'est une petite capricieuse avec un caractère de princesse. Depuis qu'Amalia l'a prise dans ses bras la première fois, elle désire se faire porter partout où elle va. Et on peut dire que ça fait un sacré exercice de musculation pour l'apprentie ranger.

Colère Charge Groz'Yeux Jet Pierre
imageMoumouton
Femelle - Niveau 5

Moumouton n'avait pas sa place dans l'élevage de la famille Ballantyne. Boiteuse, peureuse, presque sourde, toujours à bêler à corps perdu parce qu'elle n'entend pas sa propre voix... elle était bonne pour l'abattage. Mais Izzy a entrevu un avenir pour elle. Le petit mouton a trouvé une maman avec Amalia, elle aussi brebis galeuse de sa famille en quelque sorte. Savoir à quoi a échappé la pauvre bête lui met parfois la larme à l’œil, et en conséquence, elle la gâte. Un peu, beaucoup, à la folie... elle lui concocte des petits plats, la laisse dormir dans le lit et lui fait même porter des pulls l'hiver.

Charge Rugissement Boul'Armure Boule Élek

   

Keldeo
Keldeo
Pas de cartes
and she's a, she's a lady × amalia Miniature_0647_D%C3%A9cid%C3%A9_EB
Pokédollars : 2055
Pas de badges
Inventaire : //
Pas de rubans
Keldeo
Admin
Ven 11 Nov - 20:21   
Le membre 'Professeur Chardon' a effectué l'action suivante : Lancer de dés


'Dé Shiny 1/5' :
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