Prénom et/ou pseudo : Bonaventure, abrégé la plupart du temps Bo.Âge : 16 ansOrigines : Un coin pauméArrivée : / (détail expliqué dans l'histoire)Manie, habitude : S'inventer des amisMarque : Il fabrique ses propres vêtements affiliés à aucune marque. Par contre ses lunettes sont 100% Gucci.
II- 4, 5, 6, je suis ta hantise.
Bo est un socially akward qui n'a jamais réussit à se faire d'amis comme il ne sait pas parler aux gens. Ce qui n'aide pas, c'est que c'est 100% une grosse victime. En plus il est partiellement gay des fois. Paske être bi c'est parfois être hétéro et parfois être gay. Il simp beaucoup sur les nanab-man et les femmes en uniforme. Quand au détails vis à vis de son physique. Vous référez à son avatar. Après tout, il est là pour ça! :D
III- 7, 8, 9, sort vite de ton œuf.
Bonjour ou bonsoir. Je me nomme Bonav- juste Bo et je suis né le [REDACTED]. Nous sommes actuellement en 1965 et j'ai seize ans. Enfin, je crois que ces détails n'importe peu vue que vous voulez qu'en savoir plus sur moi. Commençons par le commencement.Quand j'avais cinq ans, ma mère aurait pu accoucher d'une petite fille qui s'appelle Léa, mais elle n'était pas enceinte à ce moment là. J'ignore pourquoi je vous en parles, probablement parce que l'auteur a c/c l'histoire d'une autre fiche pour l'éditer par endroit. Du coup à cinq ans, ma mère est morte. C'est bête, j'ai perdu ma figure maternelle pour toujours. Enfin, à ce que je sache les mort ne reviennent pas à la vie. Depuis ce jour, mon père est devenu un Sealg pour avoir plus facilement accès à l'alcool et la drogue.J'avais pas d'ami et une famille brisé. Au moins, j'avais un ami imaginaire du nom de Connor, un chat vraiment con. J'aurais aimé que mes parents acceptent d'avoir un chat. J'aurais eu l'air moins stupide avec mes conversation dans le vide. Une famille sans amis avec un père alcoolique... Elle n'était pas belle ma vie? De plus, je m'en voulais énormément pour la morte de maman, j'avais l'impressison que c'était ma faute. Que si je n'existait pas, mon père n'aurait jamais sombrer dans l'alcoolisme. Et je n'existerais pas. Ce qui ne serait pas une grande perte pour ce monde. Ah c'est le passage des placements de produits, mais ça a été [RÉDACTED]. Pendant dix ans c'était comme ça. Pendant dix longues années j'ai pleuré, mon père se droguais. Tout ve que je pouvais faire c'était d'attendre. Attendre et Résister à toutes ces choses dramatiques et mélancoliques. Oh, c'est fou que je parles bien. Quand j'avais quinze ans, mon père... comment dire... a été retrouvé, allonger sur le sol du salon alors que je rentrais des cours accompagner de Connor. Qui je le rappelles, n'existe pas. Je lâcha la main de Connor et lui demande d'attendre dehors, choqué, et je me précipitais vers mon cher père effondré sur le tapis. Je pris son pouls, le réflexe de tout enfant normal en voyant un de ses parents au solé Rien du tout. A côté de son corps, j'ai pu voir un paquet d'héroïne vide. La drogue l'avais tué. Ne me demandez pas comment je sais quel drogue c'était, c'est juste un scénario bancal. Ce con n'avait pas d'assurance vie, alors tant pis pour l'hôpital. Je revins vers la porte d'entré, l'ouvris, ne vis rien, vue qu'encore, Connor n'existe pas, les larmes aux yeux. Je le pris dans les bras, en toute amitié. Je suis définitivement très seul. Plus personnes n'étaient là pour m'aider, m'abriter, m'aimer. Enfin, pas que mon père faisait vraiment toutes ces choses là.Que vais-je faire? Que vais-je devenir? J'étais Bo sans famille, je n'avais personne chez qui nous tourner. Ayant un père drogué, aucune famille ne voulait de moi. Puis, c'est pas comme si on pouvait vraiment compter sur les Sealgs pour m'emmener à l'orphelinat. Donc j'essayais de faire à manger et toutes ces choses là. Le problème c'est que je n'avais pas d'argent. Un beau jour les Sealgs sont venu frapper à la porte. Pourquoi? Pour me demander de payer le loyer. Avec quoi? Dix sous? Ils ne voulaient pas nous déclarer. J'ai dût fuir ma propre maison. Faut pas déconner avec les Sealgs. Ils ont de quoi me faire passer pour un suicidé d'une balle dans la nuque. Vers où me diriger? Où?! Je voudrais savoir! C'était ça la vie d'orphelin?! Je volais pour ma pomme, je volais pour vivre. Une semaine, deux semaines, trois semaines en volant et dormant dans les rue délabrées de cette ville. Était-ce vraiment ça une vie normal? C'était insupportable, Connor était malade. Me demandez pas comment un ami imaginaire tombe malade. Mais c'est vraiment pas de chance. Ce n'étais pas grand chose mais ça pouvait empirer d'une minute à l'autre. J'essayais de le soigner de mon mieux, jusqu'au jour, où un homme, vêtu de noir avec une capuche, vint vers nous et nous fit un geste de la main. Il disait clairement:"Suis-moi!" Me connaissait-il? Ah non je suis con, c'est probablement juste un autre clodo. Je m'en fichais de la raison. Je l'ai suivis. Il m'emmena au port et pris un bateau. L'homme de déboisa pas un mot de tout le trajet. Cela avait duré une journée. C'était très malaisant.Arrivé à destination, je vis que c'était une île. Oh putain ça doit être les Hungers Games je vais y crever. L'homme de tout à l'heure était là. Logique. Il s'est contenté de me montrer ma chambre. Avant de disparaitre. J'étais étonné. Cette personne me voulait vraiment du bien? Enfin, je n'avais pas d'autres choix que de lui faire confiance. S'il faisait parti des Sealgs, je serais mort sur ce bateau. Je l'était déjà un peu à l'intérieur remarque. Ce silence était vraiment pesant.Nous avions un lit, de la nourriture et plein d'autre chose. Plusieurs jours passèrent, et je remarquais que la nuit, il y avait des sortes de prière; mais elle n'était pas normales. Je ne savais pas vraiment ce qui se passait, je voulais voir ce qui ce passait mais j'avais un peu peur. Plusieurs mois passèrent, cette fois, la curiosité morbide prit le dessus sur la raison. Ces prières ne sont pas normales. Je descendis. Les bruits venaient du hall d'entré. Était-ce vraiment un hall? J'entrouvris la porte. Je pense que je n'avais jamais été aussi choqué que ça. Ah non, je retire ce que j'avais dis, ma vie était un enfer. Bref, des hommes, avec des capuches noirs sur leurs têtes, prièrent un dieu. J'observais plus attentivement. Ce n'était pas Dieu, mais Giratina! Je me trouvais dans une sorte secte; ces gens étaient tous des tarés. Il fallait que je parte d'ici tout de suite avec Nancy. Ah oui, vue que j'avais laisser Connor là-bas, en même temps comment on est censé soigner un ami imaginaire malade? Eh bien, je l'ai remplacer par cette magnifique brique de marbre. Bref, nous ne pouvions pas rester ici plus longtemps. Le lendemain, j'avais tous raconter à Nancy. Elle ne voulait qu'une chose, elle aussi, partir d'ici. La nuit qui suivit, pendant que ces fous prièrent Giratina, nous nous sommes rendus sur la plage et avons pris une barque.Sur la barque en bois nous sommes partie sans nous faire remarquer. Un long chemin nous attendait, mais pour sortir d'ici nous étions prêt à tout. Je ramais pendant que Nancy s'endormait doucement, tendrement. J'ai vraiment une imagination débordante. Il faisait chaud, le lendemain le soleil tapait sur nos tête et épaule. Nous n'avions ni eau, ni nourriture. C'était vraiment débile de ma part de partir sans la moindre préparation. Deux jours plus tard, nous n'étions toujours pas sur la terre ferme. J'avais réussis à me tromper de trajet. J'aurais dût m'emmener une carte. Nancy se sentait mal. Bordel, un autre de mes amis imaginaire qui tombe malade. Un jour, deux jours, trois jours. Nancy n'en pouvait plus, j'avais enfin compris que le soleil était trop fort. Elle ne pouvait pas succombée, c'était ma seule amie. La dernière chose qui me restait. Je ne voulait pas finir seul.Je ne pouvais rien y faire. Elle... était.. Morte... Je n'avais plus d'amis. Plus de gens qui m'appréciaient. J'étais seul... Vraiment seul... TOUT SEUL! Bordel, j'aurais mieux fait de rester là-bas et prier Giratina avec eux! Le corps de mon amie imaginaire était froid et inactif. Je ne pouvais plus le voir. Tout en pleurant. Je pris la brique de marbre qui se trouvait devant moi et la mis à l'eau. En voyant Nancy couler, se diriger dans les abysses de l'eau, je me remis à pleurer. Je pleure, je pleure. Je pleure beaucoup. « Ah mais t'es qui toi? C'que t'es moche, je ne veux pas de toi ici »Bon, j'entendais des voix maintenant, super. Je relève la tête et, oh mon dieu. C'était le mot. Une dame en blanc descendit du ciel. Elle n'avait pas l'air vraiment contente.- Mais, qui es-tu?« Je m'appelles Astrid, et je te demandais bien gentiment de te casser de ma dimension »Attends quoi?Puis je me suis réveillé en sursaut. Je regarde autour de moi, je suis dans ma chambre. Il fait noir. J'ignore pourquoi, mais je portes des lunettes de soleil sur les yeux. Ça me revient peu à peu. Mes parents sont toujours en vie. Ce n'était vraiment qu'un rêve chelou. Je me relaisse tomber sur mon oreillé. Faudrait que j'en parles à un psy. Mais à défaut d'en avoir un, j'en parlerais à Aeos.
IV- 1, 2, 3, qui est derrière toi ?
Pseudo : Celui dont il ne faut pas dire le nomComment avez-vous trouvé ce forum ? J'y suis né et je vais y mourirAvez-vous des suggestions pour l’améliorer ? Wesh, donnez moi le keunotor de StranaAvez-vous des remarques à faire ? Si j'ai pas le keunotor, je portes plainte pour diffamation, harcèlement et crime de haine.
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