Keros
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Keros
FORUM POKEMON · ANNEES 60 · AVATARS 200*320 · PAS DE MINIMUM DE LIGNES

En Novembre 1965, Keros fête ses 30 ans. Désormais libre de l'égide de Galar, la région se remet péniblement de deux guerres, et la jeunesse a envie de tourner la page. Sa liberté, elle la trouve autant dans l'activisme que dans des loisirs innocents. Les combats de Pokémon, en phase pour devenir la discipline phare à Keros. La coordination, l'élevage et le métier de ranger ont également le vent en poupe. Une organisation criminelle profite de cette mode pour s'enrichir grâce au braconnage et le gouvernement ne semble pas concerné par la crise écologique et économique imminente.Lire la suite

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Mon poing sur ton pif ? C'est Super Efficace ! [Présentation]

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Mon poing sur ton pif ? C'est Super Efficace ! [Présentation] Mer 7 Déc - 21:05

Nom Prénom

Identité

NOM (De) Linwell
PRÉNOM Sylver
ÂGE 30 ans
ORIENTATION SEXUELLE hétéro, mais pas de relation connue.

ORIGINES Keros
VILLE NATALE Glenn
DOMICILE ACTUEL Glenn

ACTIVITÉ/MÉTIER Eleveur
VOTRE ALIGNEMENT Légatien
CARTE DEMANDÉE Carte d'Eleveur

CHOIX POUR VOTRE ÉQUIPE Je veux bien une sélection svp !

NOM DE L'AVATAR Shokudaikiri Mitsusada (Touken Ranbu). Avatar par Moineau

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imageSurnom
Niveau Sexe Race

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Capacité I Capacité II Capacité III Capacité IV
imageSurnom
Niveau Sexe Race

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Capacité I Capacité II Capacité III Capacité IV

Caractère



Côté caractère, ce qui frappe d’entrée de jeu est son caractère peu amène, pour ne pas dire sa causticité. La vie lui a appris à maintenir une distance entre lui et les gens, distance qu’il entretien à grand renfort d’humour grinçant et de silences évocateurs. Depuis le décès de sa mère, il ne s’attache pas facilement aux gens et il vous faudra de la patience si vous souhaitez le fréquenter sur la durée. Pour autant, il n’est pas méchant si on ne le cherche pas et peut même se montrer amical s’il est bien luné. Par contre, méfiez-vous de l’eau qui dort ! Sylver manifeste rarement ses sentiments négatifs mais lorsqu’ils sortent, c’est souvent avec la violence-littérale- d’un coup de poing. De fait le jeune homme a un tempérament assez bouillant. A voir comment cela se manifestera avec sa pension...

Mais il possède également de vraies qualité comme sa loyauté, qui est aussi robuste qu’un Kokyas sur la queue d’un Flagadoss. La distance qu’il entretien avec les gens lui permet également de prendre son temps pour leur répondre, ce qui constitue sa deuxième grande qualité : même s’il n’en a pas l’air, il est très curieux et ouvert d’esprit et se sert de ses silences pour comprendre les gens qui l’entourent.

A l’image de la plupart des légatiens, s’il n’est pas parmi les hommes les plus progressistes de Keros, il ne crache pas non plus sur les nouveautés. Il n’a pas vraiment de lien concret avec le parti, se contentant de lui apporter un soutien « romantique » comme il le dit lui-même. Il s’intéresse très peu à la politique de façon générale, préférant se focaliser sur sa famille, ses amis et sa pension. Au fond, il se fiche que la reine de Galar reprenne les rennes de Keros, il trouve simplement que cela ferait un tableau plus joli qu’un bête président.

Son nom de famille est autant un atout qu’un inconvénient suivant à qui il s’adresse, aussi il n’hésite pas à le changer pour « Smith » en cas de besoin et de façon générale, il a laissé tomber sa particule.

En ce qui concerne les Pokémon, Sylver ne les connaît presque pas, ce qui est certes un inconvénient pour un futur éleveur mais il a toute confiance en ses capacités d’apprentissage et peut bénéficier des conseils de son père, dresseur émérite ayant appartenu à la première génération de dresseurs de Keros.

Son père est d’ailleurs la seule personne de qui Sylver soit proche et si de l’extérieur, on pourrait croire qu’il le méprise, on réalise vite qu’il méprise plutôt le monde pour ne pas avoir laissé une place à des êtres aussi doux que son père et sa mère. Il partage également avec son père un goût pour les musiques nouvelles. Si Alric aimait le jazz, apparu lors de sa génération à Keros, Silver, bien qu’il l’apprécie aussi, lui préfère le rock’n’roll qui est pour son père « une vraie perversion, un mélange contre-nature entre le noble jazz et une musique barbare ! »

Physique



Côté physique, Sylver est plutôt grand et bien bâti du haut de son mètre quatre-vins cinq pour quatre-vingt kilos. Une carrure assez impressionnante mais nécessaire pour le métier physique qu’il s’est choisi. Ses cheveux aussi noirs que ses yeux, identiques à ceux de son père, lui donnent un air austère, et il ne fait rien pour démentir cette impression. En photo, avec son visage sombre et sérieux, il passe sans problème pour un beau garçon mais si vous le voyez en vrai, vous percevrez dans ses yeux une leur qui dit quelque chose comme « je n’ai pas envie de vous connaître », ce qui explique qu’il est souvent seul.

Il possède deux tenues habituelles qu’il alterne en fonction des besoins : tout d’abord ses costumes, intégralement noirs, hérités de la période où il travaillait en administration à Bronswick. Ils lui servent surtout quand il doit voyager ou rencontrer des partenaires importants, ce qui arrive au final assez rarement. Le reste du temps, il porte des chemise à carreau éventuellement surmontées d’une veste en cuir et des blue jeans. Des habits tout droit importés d’Unys particulièrement pratiques pour les travaux en extérieur. Il pousse parfois le vice jusqu’à revêtir le chapeau en cuir typique des cow-boys d’outremer mais c’est assez rare : le soleil se montre moins souvent à Keros qu’à Unys !

S’il n’est pas un boxeur professionnel, il a gardé de ses années d’études un certain goût pour la bagarre et n’hésitera pas à jouer des poings si nécessaire. Il sait également se servir d’armes à feu, même s’il ne les porte pas avec lui.

Histoire



Vous savez ce dont a besoin un ouvrier pour vivre décemment ? D’une bonne condition physique. Un bourgeois ? De flair, pour faire de bonnes affaires. Et un noble ? D’argent hérité pour vivre sans rien foutre ? Si vous pensez ça, vous y êtes presque.

Imaginez le cas de figure suivant : vous êtes le dernier-né d’une famille noble qui compte déjà cinq enfant. La coutume veut que plus vous êtes né tôt, plus vous recevrez une part importante de l’héritage – quand ce n’est pas purement l’aîné qui hérite de tout. Dès lors, comment faire pour convaincre vos parents pour vous en laisser un peu ?

C’est ça la clé d’une bonne vie de noble : de bonnes relations. Avec votre famille, les nobles d’à côté, un bourgeois fortuné qui a besoin de votre nom pour s’ouvrir des marchés à Galar… Peu importe. Mais ne vous fâchez pas avec la mauvaise personne ! Bref, débrouillez-vous en politique, quelle qu’en soit l’échelle. Et si vous vivez à Keros, restez discret !

Heureusement, mon père n’a jamais commis l’erreur de se fâcher avec qui il ne fallait pas. Malheureusement, s’il ne l’a pas fait, c’est avant tout parce qu’il était complètement ignorant des règles que je viens d’énoncer, doublé d’une bonne pâte.

Il grandit bel et bien dans une famille de cinq enfants mais se contenta simplement de sa place de petit dernier, acceptant sans broncher le modeste héritage laissé par ses parents à leur mort : des exploitations agricoles de tailles modestes dans le sud du pays, quand ses aînés récupéraient les usines et surtout la fortune de la famille. Mais il faut dire que le baron Alric de Linwell était déjà très fier de son seul nom, qui est sans doute encore aujourd’hui son plus grand trésor. Pensez donc, une famille si illustre qu’elle remonterait aux fondateurs du royaume de Galar, une famille installée sur Keros dès la conquête du pays, qui avait prospéré en même temps que lui. Le Poichigeon parfait pour se contenter béatement d’un rôle subalterne en somme.

Et si vous vous demandez pour ma mère… Dans l’imaginaire collectif, l’épouse noble idéale est une potiche docile et fortunée, un bien de luxe qui ne sert qu’à renforcer le pouvoir de son mari. Ce n’est pas toujours faux mais cette vision des choses est un immense avantage lorsque cette dernière est fortunée ET intelligente, parce qu’il est encore plus facile pour elle de nouer de bonnes relations si on la pense aussi incapable de tout mal qu’Arceus en personne.

Bref, ma mère, Eileen de Linwell né Winsburg- autre famille noble modeste, n’était pas du tout comme ça. Inutile de compter sur elle pour rattraper le manque d’ambition ou de savoir-faire politique de mon père. Elle était à son image : gentille, pieuse, profondément attachée à ses racines et aux liens entre Keros et Galar, et d’une grande aide pour mon père dans sa gestion des exploitations. Une femme traditionnelle on ne peut plus banale. Je l’aimais beaucoup.

Mes parents avaient beau avoir été l’objet d’un mariage arrangé, l’amour était vite arrivé entre eux et pour cause, ils avaient tout pour s’entendre : mêmes idées, même gentillesse dégoulinante, même foi aveugle dans les comptes pour enfant qu’ils appelaient l’« ordre du monde », même sympathie pour les légatiens. En outre, tous les deux avaient eu la chance de ne pas être directement affectés par la guerre qui éclata peu après ma naissance, ce qui renforça leur candeur. Si j’avais dû parier, j’aurais misé sur le fait que mes quatre grands-parents s’étaient mis d’accord pour écarter chacun de leur côté un membre de leur famille jugé peu utile pour le clan, tout en l’associant malgré tout à un partenaire au nom suffisamment prestigieux.

Mais la naïveté de mes parents les protégea un temps de ce mépris familial.  Ils étaient ensemble et heureux, hors du monde, et c’était tout ce qui comptait pour eux. Je naquis à Glenn, dans cette atmosphère calme et chaleureuse qui fit de mon enfance une période heureuse où je découvris ce que je croyais être la vie. Cerise sur l’Alcreamy, la Grande Guerre nous épargna sa cohorte de deuils et ne vint pas ternir l’atmosphère, et ce bien que mon père eut servi deux ans dans l’armée, sans le moindre mal. Malheureusement, cette époque prit fin peu après mon douzième anniversaire, lorsque ma mère mourut, emportée par la maladie. Mon père et moi-même en furent énormément affectés et il ne me parla presque plus jusqu’à ce que je parte peu après en pension dans une école assez huppée de Bronswick pour poursuivre mes études.

Malheureusement pour moi, je découvris vite que mon nom était bien plus connu que je ne le pensais. Et si au début, il me valut une attention positive de la part des autres garçons – l’école n’était bien évidemment pas mixte – ils découvrirent vite que je n’appartenais pas à la branche la plus fortunée de la famille. Aucun d’entre eux ne s’était d’ailleurs douté qu’aucun Linwell de bon lignage n’aurait mis les pieds dans ce bouge qu’ils appelaient leur école. Je devins donc rapidement le souffre douleur de mes camarades qui m’avaient trouvé le gentil sobriquet de « Lowlad » puisque je venais du sud, disaient-ils.

Le harcèlement dura plusieurs mois et le chagrin lié à la mort de ma mère n’arrangea pas les choses. J’eus beau dénoncer ces méfaits aux professeurs, je compris vite qu’ici, on était puni au pro-rata de sa position sociale. Comme j’étais une des plus basses extractions, mes agresseurs ne risquaient rien. J’écrivis également à mon père pour lui demander de l’aide mais la mort de ma mère le bouleversait encore et il ne me fut d’aucun secours.

Aussi, après plus de six mois de mauvais traitement, je fis la seule chose encore possible. D’après les rumeurs, ma victime a encore le nez tordu aujourd’hui. Après ça, les autres élèves me laissèrent tranquille mais pas la direction, qui exigea mon renvoi en vertu de ma mauvaise conduite – et de mon rang plus faible. Mon père réussit à me trouver une place dans une école à peine moins huppée que la précédente mais qui n’accueillait pas exclusivement des nobles. Là-bas, mon nom ne posa pas problème du moment que je restai discret. Mon père me signifia a l’occasion que ma conduite bagarreuse l’avait déçu mais devant mon regard glaçant en guise de réponse, il n’insista pas.

A ce moment là, je lui en voulais énormément de ne pas m’avoir aidé ou au moins de ne pas m’avoir mieux préparé au monde dans lequel il m’avait jeté. Nous eûmes très peu de contact durant le reste de mes études qui se passa sans incident majeur. La réalité me rattrapa une fois mes études supérieures terminées, pour mes 23 ans, lorsque je découvris ce que mon père s’était évertué à me cacher : avec l’accélération de la mécanisation agricole, les anciennes méthodes de cultures étaient loin d’être aussi profitables que dans mon enfance et si un exploitant n’investissait pas dedans, il risquait vite d’être avalé par ses concurrents. Bien évidemment, c’est ce qui arriva à mon conservateur de père, et son exploitation déclinait petit à petit. Lui qui avait refusé de « trop » recourir aux machines pour ne pas licencier d’employés se retrouvait contraint de le faire, faute de rendement...

Après son absence lors de mes malheurs scolaires, je pris ces cachotteries comme une trahison, et rompis mes liens avec lui alors que je partais vers la capitale pour exercer un obscur travail administratif peu stimulant mais bien payé. Il me fut assez facile d’obtenir cette bonne place en cachant simplement le fait que j’étais né du mauvais côté de la famille De Linwell. Même s’ils restaient discrets, on trouvait encore des nobles aux hautes fonctions de l’état...

Mais alors que j’approchais de mes trente ans, je commençai à être fatigué de cette vie monotone et peu inspirante, à des années lumières de la grandeur de la noblesse telle que me la vantait mon père dans mon enfance. Et puis un jour, un peu par hasard, je tombais dans une librairie sur le célèbre livre du Duc de Duill. Mon père m’en citait parfois des passages et j’avais grandi entouré de l’aura de grandeur de ce personnage, mais je n’en avais plus entendu parler depuis ma première école et je m’étais globalement éloigné de la politique. Pour les abrutis qui m’avaient un temps servi de camarades, il était une sorte de héros qui allait rendre à Keros sa beauté d’antan par magie.

Pourtant, je me vis acheter ce livre et commencer à le lire. Ce que j’y trouvai me parla. Duill n’était pas un idéaliste conservateur niais de la trempe de mes parents. Il avait une vision réaliste des choses de la vie et tentait de convaincre ses contemporains des bienfaits de la monarchie avec des arguments et des comparaisons astucieuses entre Keros et Galar et pas en leur vendant un passé romancé parfait – même s’il y avait effectivement quelques traces de romantisme dans son œuvre, mais cela était inhérent à tout récit politique au fond.

Si cela ne me transforma pas en un légatien aussi convaincu que mon père, au moins cela me fit-il réexaminer d’où je venais moi-même. Après avoir quitté mon emploi – sans avoir marqué à vie le nez de mon supérieur, alors qu’il y avait de quoi – je repris contact avec mon père qui m’accueillit à bras ouvert, sans me cacher l’état désormais déplorable de ses affaires. J’avais beaucoup réfléchi à ce problème durant mon absence et je soumis alors mon idée à mon paternel :

Transformer progressivement des exploitations obsolètes technologiquement dont la taille n’intéressait plus personne en lieux d’élevage. Mais pas question d’y élever des Tauros consanguins pour vendre leur viande ! Puisque Keros s’intéressait de plus en plus aux Pokémon, aux combats et aux concours, c’était ce qu’il fallait faire. Elever des Pokémon non pas pour les manger mais pour les dresseurs et coordinateurs de demain.

Mon père ne sut quoi penser de cette idée . D’un côté, abandonner la culture traditionnelle pour un élevage aussi novateur lui sembla atrocement risqué. De l’autre, contrairement à moi, lui et ma mère avaient toujours eu un bon feeling avec les Pokémon et même un certain talent dans les combats Pokémon, à ce qu’on disait d’eux. Le vieil Herbert, un Mastouffe qui me connaissait depuis ma naissance, accompagnait d’ailleurs mon père partout où il allait et les deux s’appréciaient énormément. Aussi, ouvrir une pension ne le dérangeait pas sur le principe. Il m’avoua même qu’il y avait déjà songé, sans jamais oser se lancer.

Malheureusement pour moi, mes parents avaient prévu de m’offrir mon Pokémon à l’issu de ma première année d’étude, mais comme je m’étais fait renvoyer et avais atterri dans une école qui n’acceptait pas ces créature, le passage de flambeau ne s’était jamais produit et la vie m’avait éloigné de ces créatures… Mais après tout, il n’était jamais trop tard pour en apprendre plus sur elles !

Aussi, tandis que mon père faisait le tour des marchés de la région et se rendait dans les antennes de la SPP pour me chercher un compagnon, j’allais inspecter l’exploitation qu’il m’avait cédée pour lancer mon élevage. Des champs de quelques centaines hectares désormais en friche car ils étaient trop peu rentables pour que mon père leur consacre le peu de ressources qu’il lui restait. Mais en sept ans à Bronswick, j’avais amassé quelques économies à investir et je savais précisément où.

Tandis que je regardais ce qui serait bientôt ma pension, je songeais à mon père qui me ramènerait bientôt un Pokémon. Je ne lui avais laissé qu’une consigne : le Pokémon devait à la fois être un bon assistant -d’une façon ou d’une autre - pour la gestion du domaine – comme l’était Herbert pour mon paternel – et il devait également pouvoir servir de reproducteur...

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Mon poing sur ton pif ? C'est Super Efficace ! [Présentation] Carte_12
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Re: Mon poing sur ton pif ? C'est Super Efficace ! [Présentation] Ven 9 Déc - 22:47

Félicitations !



Tu es validé !


Bonjour, bienvenue sur Keros ! C'est toujours un plaisir de voir des nouveaux ! De ce que j'ai compris, c'est un retour au rp pour toi, alors j'espère que tu te plairas ici !

Un cas intéressant ce Sylver, j'ai déjà une idée de personnages avec lesquels il pourrait s'entendre (wink wink William pervers). L'histoire de l'employé en burnout qui lâche tout pour devenir fermier ça a des vibes Stardew Valley que j'apprécie beaucoup. Bonne chance à lui pour son élevage smirk

Sur ce, je te laisse à tes choix ! Tu trouveras également ci-dessous tes récompenses et les liens utiles avant de commencer à RP. Bon jeu !

••• + 1 Mon poing sur ton pif ? C'est Super Efficace ! [Présentation] Ancien10
•••  + 1 Mon poing sur ton pif ? C'est Super Efficace ! [Présentation] De_dor


Bottin des avatars - Recensement des métiers et activités - Recensement des Equipes
Demande de RP - Carte Dresseur & Contacts


imageMakuhita
Mâle - Niveau 5

Ce jeune Makuhita est un dingue des arts martiaux ! N'en déplaise à sa petite taille, il est très agile et costaud. Si Sylver pensait qu'il ferait un bon sparing partner, c'est souvent lui qui se retrouve essoufflé face à l'endurance de son Pokémon.
Mais s'il y a quelque chose sur lequel il peut compter, c'est un combat amical lorsque ses nerfs sont à bout. Il sait qu'il ne risque pas de blesser son partenaire : la graisse qui isole son corps l'immunise totalement aux dégâts lors de leurs affrontements.

Charge Puissance Jet de Sable Pisto-Poing
imagePoussifeu
Femelle - Niveau 5

Un beau jour, un camion en destination de l'abattoir a roulé sur un nid de poule en passant devant l'exploitation Lindwell. Si le conducteur n'a probablement rien remarqué, l'un des Poussifeu entassés dans sa cargaison en est tombé, échappant à une mort certaine.
Depuis lors, Sylver prend soin de l'oiselle. Elle n'a pas l'air bien vieille, ni très maligne, et sa famille lui manque souvent, car il la retrouve parfois à courir sur la route pour essayer de retrouver leur camion. Elle n'est pas assez intelligente pour comprendre qu'ils ne sont plus de ce monde, mais ça vaut peut-être mieux pour elle. La pauvre est déjà assez déprimée comme ça au quotidien.

Griffe Rugissement Flammèche Aéropique
imageTiboudet
Mâle - Niveau 5

Tiboudet est un atout de qualité en ce qui concerne la ferme. Il ne faut pas se fier à sa taille, le poulain peut porter et tracter des charges donc même un grand Galopa ne serait pas capable, et toujours avec plaisir.
C'est un grand curieux qui suit son dresseur partout, et il aime particulièrement l'aider au jardinage. Si Sylver tient à se consacrer à l'élevage de Pokémon de compagnie et non à l'agriculture, il ne dit pas non à un peu d'aide pour entretenir un joli jardin !

Coud'Boue Éclate-Roc Mur de Fer Damoclès

imageTauros
Mâle - Niveau 5

Quand Sylver a récupéré l'élevage de Tauros, toutes les bêtes avaient été vendues. Toutes, sauf une : un superbe Tauros, jeune et énergique, musclé et combattif, au poil lustré et plus doux qu'il n'en a l'air. En soi, un reproducteur parfait ! Une riche idée qu'a eu son père de garder le buffle pour commencer l'élevage de son fils.

Tauros n'est peut-être "qu'un" Pokémon, mais il semble faire preuve d'une grande sagesse pour son espèce et Sylver peut toujours se fier à ses conseils pour savoir quoi faire. S'il ne veut pas de cette nourriture, c'est qu'elle sera mauvaise pour la croissance des bébés. S'il démonte la clôture à coup de corne, c'était pour démontrer qu'elle était mal placée. Bon, parfois, on aimerait qu'il puisse s'exprimer avec des mots plutôt que sa force, mais au fond, ce n'est pas un mauvais bougre.

Charge Mimi-Queue Rengorgement Surf
imageWimessir
Femelle - Niveau 5

Les Wimessir sont des créatures proches des humains, qui aiment leur rendre service en échange de leur gratitude. Du moins, c'est le cas de... tous les autres Wimessir à part celle-ci.
Selon les bénévoles à la SPP, elle aurait été maltraitée par son ancien propriétaire, et à force de coups et d'insultes, la pauvre s'est renfermée sur elle-même et ne communique plus vraiment que par la colère. Pas question de faire le ménage et la popote. Si Sylver lui tend une serpillère, il risque fort de se la faire enfoncer là où le soleil ne brille jamais ! Mais s'il l'a adoptée, ce n'est pas pour en faire une esclave. Il espère vraiment qu'avec le temps, elle finira par lui fare confiance.

Force Ajoutée Camaraderie Encore Ball'Ombre
imageSkitty
Mâle - Niveau 5

Puisque son père était accompagné de son fidèle Mastouffe, Sylver se serait attendu à ce que le Pokémon que son géniteur lui confie soit également un Pokémon chien. Mais... il semblerait que papa Lindwell soit doté d'un sens de l'humour. Ce Skitty atypique lui a tapé dans l'oeil à la SPP, si bien qu'il a pensé qu'il serait parfait pour son fils.

Le chaton est doté d'un volume vocal... impressionnant. À vrai dire, il ne miaule pas, il aboie ! Et il aboie tel le plus féroce des Démolosse ! Les prédateurs n'osent pas s'approcher des  prés quand ce félin monte la garde. Qui aurait cru que le meilleur chien de garde que Sylver a jamais connu se cacherait dans le corps d'un chaton de trois kilos ?

Charge Bluff Mégaphone Mimi-Queue

Keldeo
Admin
Keldeo
Pas de cartes
Mon poing sur ton pif ? C'est Super Efficace ! [Présentation] Miniature_0647_D%C3%A9cid%C3%A9_EB
Pokédollars : 2210
Pas de badges
Inventaire : //
Pas de rubans
Re: Mon poing sur ton pif ? C'est Super Efficace ! [Présentation] Ven 9 Déc - 22:47

Le membre 'Professeur Chardon' a effectué l'action suivante : Lancer de dés


'Dé Shiny 1/5' :
Mon poing sur ton pif ? C'est Super Efficace ! [Présentation] Unknown Mon poing sur ton pif ? C'est Super Efficace ! [Présentation] Unknown Mon poing sur ton pif ? C'est Super Efficace ! [Présentation] Unknown Mon poing sur ton pif ? C'est Super Efficace ! [Présentation] Unknown Mon poing sur ton pif ? C'est Super Efficace ! [Présentation] Unknown Mon poing sur ton pif ? C'est Super Efficace ! [Présentation] Unknown
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