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Keros FORUM POKEMON · ANNEES 60 · AVATARS 200*320 · PAS DE MINIMUM DE LIGNES
En Novembre 1965, Keros fête ses 30 ans. Désormais libre de l'égide de Galar, la région se remet péniblement de deux guerres, et la jeunesse a envie de tourner la page. Sa liberté, elle la trouve autant dans l'activisme que dans des loisirs innocents. Les combats de Pokémon, en phase pour devenir la discipline phare à Keros. La coordination, l'élevage et le métier de ranger ont également le vent en poupe. Une organisation criminelle profite de cette mode pour s'enrichir grâce au braconnage et le gouvernement ne semble pas concerné par la crise écologique et économique imminente.Lire la suite
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So tangled up in my own lies, I'm just a fake phony - Lydia Reid Jeu 8 Déc - 22:13
Lydia Reid
Identité
NOM Reid PRÉNOM Lydia ÂGE 23 ans ORIENTATION SEXUELLE Gay
ORIGINES Keros VILLE NATALE Bronswick DOMICILE ACTUEL Bronswick
ACTIVITÉ/MÉTIER Libraire VOTRE ALIGNEMENT Galliste CARTE DEMANDÉE Carte Coordinateur
CHOIX POUR VOTRE ÉQUIPE Deux sélections du staff
NOM DE L'AVATAR Dazai Osamu - Bungou to Alchemist
Histoire
TW : Mention d'homophobie et de mysogynie
Lydia est un enfant issu d'adultère : ce n'est pas un secret, il est littéralement le seul membre de sa famille à posséder des traits asiatiques ou les cheveux d'un rouge éclatant. Ceci dit, cela n'a jamais jouer un rôle important dans sa vie. Peut-être pour ne pas faire de vagues, le couple Reid ne sembla pas avoir connu plus de tensions après sa naissance et, si des potins sur le sujet devaient courir dans le quartier, le rouquin était trop insouciant (stupide, certains diront) pour y prêter attention. De son point de vue seul ses aînés se sont montré cruels à son égard, en dépit des lourdes réprimandes qui les attendaient s'ils étaient surpris par leurs parents : mais ce n'était pas tant parce qu'ils avaient un parent différent qu'ils s'en prenaient à lui, plutôt parce que Lydia a toujours été un pleurnichard geignant pour un rien, donc drôle à malmener.
Il faut dire que du plus loin qu'il se souvienne, le garçon n'a jamais manifesté d'intérêt pour les activités d'extérieur : c'est avec dégoût et surtout pour faire plaisir aux parents qu'il rejoignait ses frères et leurs amis jouer dans la gadoue et les buissons. Un sujet parmi tant d'autre de discorde entre eux était alors celui des pokémon : si les autres les adoraient -surtout lorsqu'ils étaient imposants- Lydia en était terrifié et il n'était pas rare alors que ses deux aîné jettent toutes les sales bêtes qu'ils trouvaient à ses trousses. "Un garçon ne pleure pas!" qu'ils disaient, comme si cela justifiait leur comportement. Et après tout Lydia n'est pas mort d'avoir reçu quelque Lépidonille dans la face, il sait que ses frères étaient encore immatures à l'époque puis que, puisqu'ils étaient les seuls à s'octroyer le droit de l'emmerder, ils l'aurait protégé. Reste qu'il à la rancune tenace.
La personne dont Lydia était le plus proche petit, c'était bien de sa mère : elle regrettait de ne pas avoir eu de fille, aussi était-elle plus réjouie qu'autre chose de pouvoir inclure son garçon le plus "sensible" (son préféré) dans ses activités. Curieux, il aimait apprendre en regardant sa mère coudre ou cuisiner, même s'il savait que ce n'était pas des talents dont il pourrait se vanter : la seule chose "recommandable" qu'il faisait alors, c'était de lire. Lydia ne se souvient pas d'un seul moment de sa vie où ça n'a été sa passion et si au début il piochait juste dans la bibliothèque des parents par ennui, on ne tarda pas à lui acheter des ouvrages "adapté à son âge", puis "des classiques" qu'il se devait de connaître. Il n'était pas le plus socialement adéquat ou le plus doué avec ses mains, alors c'était le seul domaine où il ne se sentait pas débile comparé aux autres gamins.
Les choses ont toujours été plus compliquées avec son père en revanche : c'était un homme strict et plutôt vieux jeu, aussi était-il trop occupé à planifier l'avenir des aînés pour se préoccuper de Lydia. En un sens, il était plus indulgent avec lui et, quand bien même l'homme ignorait comment démontrer son affection, son fils savait qu'il le chérissait tout autant que s'il eut été son fils biologique aussi ne ressentait-il pas (trop) son absence. Il lui doit son accès à l'éducation et Lydia lui est d'autant plus reconnaissant qu'il s'en veut terriblement de n'avoir été un assez bon fils : de nos jours, les terrains d'ententes avec son paternel se font de plus en plus rares mais, plutôt que de le confronter, il préfère prendre sur lui : il veut préserver les liens avec sa famille, il déteste le conflit, puis s'il est le seul à souffrir de la situation c'est que le problème vient de lui, pas vrai ?
Mais revenons-en à nos Moumouton : lorsqu'il s'agissait de l'école, Lydia n'a toujours été que le clown de la classe. Il avait peur de nouer des liens avec les autres enfants, ne savait pas comment interragir avec et est sûrement venu à penser, inconsciemment, que quitte à ce qu'on en vienne à rire de lui, autant que ce soit de son initiative. Mentir devint une de ses habitudes lorsqu'il réalisa qu'il était "bizarre", de comprendre d'avantage les centres d'intérêts des filles que des gars. De ne pas attendre avec impatience le jour où on lui refilerait un Pokémon (s'il pouvait ne jamais en recevoir, d'ailleurs, tant mieux !). D'être d'une classe sociale différente des autres, "de bourges", et donc une cible parfaite pour les brutes en quête d'argent de poche. Ou juste d'avoir une tête d'étranger sans avoir mit un pied en dehors de notre belle Keros.
La "petite princesse" qu'il était laissa place, au collège, à "l'élève perturbateur". Enfin s'il semblait chercher le bâton, à bavarder et sécher les cours ou les heures de colles, ses résultats scolaires prouvaient bien qu'il ne passait pas ses journées à fréquenter de mauvaises influence : plutôt, comme tout adolescent, était-il de plus en plus concerné par son image de soi. Lydia se mit tôt au maquillage afin de masquer les dégâts de l'acnée... Chose qui fut mieux acceptée qu'il ne l'eut cru par sa famille (probablement car sa mère fit taire les hommes du foyer ravie d'avoir quelqu'un à qui transmettre ses techniques). Il ne pouvait grand chose pour ses muscles -qu'il voyait se former chez ses camarades mais semblait le bouder, demeurant jusqu'à nos jours une branche ne dépassant pas le mètre 70- ou son visage trop rondouillet à son goût, ceci dit.
Son intérêt pour les corps de camarades du même sexe, même dans cette période des premières romances, ne paraissait pas particulièrement étrange pour Lydia. Il se persuada qu'il était normal d'avoir tant "d'admiration" et que cela n'avait rien à voir avec l'attirance pour une femme, qu'il finirait bien évidemment à découvrir un jour ou l'autre. Mais émotif comme il est -le coeur sur la manche- il n'a jamais été bien subtil dans ses affections. Faute d'être plus renseignés que lui sur le sujet de l'homosexualité, ses amis ne pensait pas plus à un aspect romantique : mais l'un d'entre eux lâcha un jour, sur le ton de la blague "Arrête, on dirait presque que t'as le béguin pour moi !"... Et si Lydia le tourna en dérision -"Redescend sur terre, la perche, tout le monde est pas épris de toi comme la déléguée !"- cette sensation de rejet était trop réelle pour qu'il ne l'ignore.
Lydia passa ses années de lycée le nez dans les bouquins, à la quête d'un livre qui mettrait des mots sur son ressenti, mais ne trouva rien. Lorsqu'il pensait qu'il y avait quelque chose entre deux hommes -ou femmes- il fallait qu'ils finissent avec le sexe opposé à la fin de l'histoire. Les relations entre le même sexe n'étaient que des perversions commises par des êtres abjects ne méritant pas la compassion du lecteur. Ne lui restait que la définition dans le dictionnaire de gay : ces mots, noir sur blanc, qui le condamnait à la case de "dégénéré". Par hasard, le plus âgé de sa fratrie se fiança durant cette période : quand bien même il tenta, Lydia ne pouvait se voir à sa place. Sa femme était belle et avait de la conversation, il saurait l'apprécier sûrement, mais imaginer aller au-delà de l'amitié avec une personne pareille le dégoûtait au plus haut point.
Ses proches étaient évidemment à côté de la plaque concernant sa mine attristée : sa mère pensait le rassurer en lui disant que, même s'il n'était pas foutu d'ouvrir un pot de cornichon, Lydia n'était pas laid : qu'il savait soigner son style vestimentaire, assumer une démarche fière dans leurs tenue de haute couture, puis il possédait les mêmes iris doré que le reste de la famille, alors il n'y avait aucune raison qu'il ne trouve compagne à son tour. L'aîné déclara seulement qu'il devrait cesser d'être jaloux et ne pas songer à se fillancer avant de parvenir à faire pousser une barbe digne de ce nom tandis. Son autre frère, lui, se contentait de pouffer de rire face à l'absurdité de "ses" préoccupations. C'était tellement une évidence, dans leur tête, qu'il finirait avec une femme... Tout ce que Lydia pouvait faire, c'était sourire naisement et féliciter ce frère qu'il détestait.
Mais durant ses études de lettres -qu'il entreprit pour donner l'illusion qu'il faisait quelque chose de sa vie- Lydia trouva enfin quelqu'un "comme lui", avec qui il entretint une brève relation. Pendant quelque temps il était optimiste et se dit qu'après tout, si ses parents avaient su accepter ses excentricités jusqu'alors, ils n'étaient sûrement pas à ça près. Il détestait vivre dans le secret, devoir mentir encore et toujours alors que les autres n'avaient pas à se cacher de qui ils aimaient ! S'ils auraient sûrement des à priori, il se doutait, Lydia était persuadé qu'ils verraient la pureté de ses sentiments : tel était son état d'esprit lorsqu'il tenta d'aborder le sujet. Avant qu'il ne se prenne une bonne tarte de réalité dans la face et qu'on ne l'invite à voir le psychiatre du coin, sans n'en dire mot à qui que ce soit. "Je ne t'ai jamais élevé comme ça !" entend t-il encore sa mère pleurer.
Il tenta un peu de tout -la thérapie, les prières à Arkée, les relations hétérosexuelles- mais rien à faire, Lydia ne parvint qu'à faire croire qu'il était par miracle "soigné" quand bien même il n'en était rien. Être un dépravé lui était égal en soi, mais il haissait que ses "choix" blessent ainsi son entourage. Vivre en subissant chaque jour leur regard suspicieux et leur jugement, s'il avait le malheur de passer la nuit ailleurs, devenait de plus en plus suffoquant et il préféra se noyer dans les études et les recherches. Lorsque son diplome obtenu, son excuse de s'enfermer dans son bureau lui fut arrachée, Lydia suggéra trouver du travail. Gérer une librairie, tiens. Pourquoi ? Parce qu'il aimait les livres, voilà tout, et avait aperçu une vieille boutique à reprendre à l'autre bout de la ville. Peu importe combien poussiéreuse et étroite, il s'y sentirait mieux qu'ici.
C'est ainsi qu'il refit sa vie, propriétaire d'une boutique sentant bon le livre poussiéreux et d'un appartement à l'étage - l'escalier les reliant menaçant probablement son intégrité physique chaque jour au vu de son état mais qu'importe. Si la librairie de Lydia n'a pas le courage d'être ouvertement queer-friendly comme certaines, cela ne l'empêche pas d'accueillir à bras ouvert les ouvrages sur ce thème ou d'en tenir en secret une liste de plus en plus complète. Il est borné et refuse qu'un quelconque livre entrant en sa possession finisse au bûcher ou la censure, qu'il soit jugé "décadant" ou non par la société. Alors c'est un endroit relativement safe, pour peu qu'on le respecte : comprenez bien qu'il est encore jeune et impulsif, donc le lancer de livre sur visiteur malpoli reste un de ses passes temps... Mais il ne mord pas, promis.
Dernièrement, Lydia s'intéresse aux concours Pokémon après qu'il ait eu l'occasion d'assister à une de ces compétitions. Il voit désormais autre chose dans les Pokémon que les bêtes sanguinaires qu'il redoutait petit et -même s'il est toujours appréhensif- une part de lui, frustrée de n'avoir su prendre la plume ou le moindre instrument, souhaite laisser une trace dans le milieu des arts. Il n'est plus assez naif pour ne pas se douter les remarques qu'un homme comme lui risque de se prendre -les injonctions homophobes, il y est habitué- mais assez encore pour penser pouvoir changer les choses à son échelle... Ou est-ce son enfant interne, toujours fan de paillettes, qui parle ? Bref, c'est sur un coup de tête qu'il s'est récemment mit à faire le tour des élevages de Keros en quête de la créature parfaite pour ses ambitions ! Mais aussi à supporter au quotidien, de préférence.
Votre pseudo – Saucisse (Campy pour les intimes) Âge – Commence par un 2 Pronoms – ça dépend de l'alignement des planètes Comment avez-vous trouvé le forum ? – Dans mes onglets
Professeur Chardon
Highlands
Pokédollars : 2048
Pas de badges
Inventaire : //
Pas de rubans
Re: So tangled up in my own lies, I'm just a fake phony - Lydia Reid Sam 10 Déc - 0:02
Félicitations !
Tu es validé !
Rebienvenue, Campy ! J'avais très hâte de voir ce DC et je ne suis pas déçue ! Enfin, tu as dû remarquer que j'avais un faible pour ce genre de personnages, non ? Sinon rien à redire, ta fiche était fluide et agréable à lire, et j'ai hâte de voir Lydia RP... ou voire... de RP avec, jdis ça, jdis rien
Le premier client de Lydia s'est avéré ne pas être un humain, mais une drôle de chenille. Malheureusement, en plus de dévorer les livres un peu trop littéralement au goût du libraire, l'insecte était mauvais payeur ! Aussi se retrouva-t-il vite à la porte. Mais c'est qu'une chenille peut être extrêmement têtue. Alors Lépidonille est revenu, encore et encore, peu importe le nombre de fois où il serait chassé à coup de balai. Éventuellement, Lydia comprit que ce qu'il avait considéré comme un ennemi n'était qu'une pauvre petite bête qui crevait de faim. Depuis qu'il le nourrit, ses livres sont en sûreté. Et il doit bien s'avouer s'être attaché à cette petite horreur.
ChargeSécrétionPoudre Toxikxxx
Miaouss
Mâle - Niveau 5
"Nigaud, gras-double, bizarre, pinson !" Voilà le genre de phrases sans queue ni tête que ce Miaouss aime déblatérer. Ce félin fait partie des rares Pokémon capable d'imiter le langage humain. Dans son cas, il s'agit de quelques mots visiblement piochés au hasard dans sa caboche. Ce minet vient de la SPP. Sa maîtresse est malheureusement décédé, mais il parait qu'il faisait un grand atout pour les parties de Scrabble ! Lydia peut voir cet intérêt pour le langage des hommes au sein de sa librairie. Il est peu probable que le félin apprenne un jour à lire, mais il reconnait les lettres de l'alphabet, et est bien plus agile que son maître pour ranger les livres en haut d'une échelle !
RugissementBluffRuseAboiement
Mimigal
Femelle - Niveau 5
Mimigal n'est pas vraiment le Pokémon de Lydia... mais il a appris à la tolérer. Elle est toujours là, dans un coin de sa librairie, à empêcher les autres Pokémon Insecte de rentrer. Elle se rend un peu utile, et ça donne une excuse à Lydia pour ne pas essayer de la chasser avec un balai. Non, ce n'est pas du tout parce qu'il en a peur ! Rien à voir avec cette fois où elle l'a agressé parce qu'il lisait un livre queer, ou cette fois où elle a mordu une cliente en drag, ou cette fois où elle a enroulé un jeune homme et forcé à sortir en constatant que Lydia le reluquait un peu trop à son goût. Non, il n'en a pas peur... mais il reste persuadé que cette araignée a une dent - ou plutôt une mandibule contre les homos.
Dard VeninSécrétionVole-VieRafale Psy
Toutombe
Femelle - Niveau 5
Toutombe semble être le partenaire parfait pour Lydia. C'est à la SPP qu'ils se sont rencontrés, et le coup de foudre a été immédiat. La chienne ne fait vraiment peur à personne en dépit de son type Spectre. Elle est paresseuse, gourmande et câline, préfère se prélasser et réclamer des caresses plutôt que de se battre ou d'aboyer sur les voisins. Elle adore en particulier écouter son dresseur lui raconter des histoires. Combien de fois ont-ils veillé jusqu'au matin, éclairés par la bougie de Toutombe, dévorant livre après livre ? Quand il a voulu adopter un premier Pokémon "juste pour voir", le jeune homme ne s'attendait décidément pas à trouver l'âme sœur sous forme canine... et pourtant...
ChargeRugissementLéchouilleBâillement
Débugant
Mâle - Niveau 5
Quand il a annoncé à sa mère qu'il voulait s'essayer à la coordination, Lydia a pu sentir que sa réaction était... tiède. Elle l'a encouragé, mais quelque chose dans sa voix clochait. Puis, elle lui a offert un Pokémon, un Débugant "pour bien débuter ta carrière !". Il n'en a rien dit, mais il le pense fort, ce cadeau empoisonné lui a été offert pour le dissuader d'une activité peut-être... trop queer pour ses parents. Débugant n'a en effet rien d'un Pokémon de coordinateur. Il est bagarreur, se moque de son apparence, déteste les bains et, avouons-le... il n'est pas très beau. Ça n'empêche pas Lydia de s'en occuper, ne serait-ce que parce qu'il veut garder de bons liens avec sa famille, mais aussi parce que le type Combat ne mérite pas d'être abandonné.
ChargeCoup d'MainPied VoltigeBluff
Bibichut
Femelle - Niveau 5
S'il y a quelque chose d'agaçant dans une librairie, ce sont les gens bruyants qui bavardent alors que les autres clients essaient de choisir, ou que le propriétaire bouquine tranquillement avant d'encaisser. Et à l'heure de sortie des lycées, nombreux sont les adolescents qui viennent s'extasier sur les nouvelles bédés unysiennes, avec parfois un peu trop d'entrain. Lassé de leur demander de se taire, Lydia a trouvé une alliée. Les Bibichut sont connus pour aimer le silence et l'ordonner à ceux autour d'eux. Malheureusement, celle-ci y met parfois un peu trop de zèle, et si le jeune homme a réussi à la convaincre de ne pas agresser les clients pour une crise de hoquet, lui-même n'a pas intérêt à soupirer trop fort sous risque de s'en prendre une.
Choc MentalCamaraderieFontaine de VieFrotte-Frimousse
Keldeo
Admin
Pas de cartes
Pokédollars : 2210
Pas de badges
Inventaire : //
Pas de rubans
Re: So tangled up in my own lies, I'm just a fake phony - Lydia Reid Sam 10 Déc - 0:02
Le membre 'Professeur Chardon' a effectué l'action suivante : Lancer de dés
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Re: So tangled up in my own lies, I'm just a fake phony - Lydia Reid
So tangled up in my own lies, I'm just a fake phony - Lydia Reid