Mais qu'est-ce qu'à foutu cet enfoiré d'Orkas avec sa clinique ?! C'est quoi ces finances qui s'enfoncent aussi profondément qu'une coloscopie et ces appréciations merdiques ?! Tu m'étonnes que les chambres sont quasiment toutes vides et qu'il n'y a plus que de vieilles femmes à Chacripan célibataires qui tiennent l’accueil et les soins ! Et ce putain de Barpau qui fait ses ronds dans son grand bocal avec ce sourire de merde... J'ai beau lire, relire et encore relire le compte rendu de l'année passé, c'est une grosse merde et j'ai un mal fou à imaginer comment je vais pouvoir arranger ça. Ou alors je rase tout... Ouaip, tout raser et faire quelque chose de plus grands, plus beau, plus classe, plus...

Sbaff

Je m'éclate par terre avec les dossiers comptables, m'ayant pris les pieds dans un vieux panier pour Malosse qui traine. Heureusement, comme j'ai réduis le personnel, personne ne l'a vu, mais ça ne m'empêche pas de me relever et de gueuler en foutant des coups de pieds dans l'objet poussiéreux. Nul doute qu'avec l'écho du couloir vide, on doit m'entendre dans tout l'établissement.

"Putain de merde, qui laisse trainer ces putains de panier de merde ! J'ai l'air d'avoir un sale cabot moi ?! Qu'on dégage tout ces putains de trucs! Qu'on l’envoi déchiqueté par la poste au con qui dirigeait cet endroit avant! Qu'on lui fasse bouffer ces conneries inutiles qu'il à laisser!"

Je lâche un soupir... Voilà, un bon coup de gueule et ça va mieux. Je récupère les dossiers, vérifie que je suis impeccable, enlève la poussière sur mes genoux, réajuste ma blouse blanche... Voilà, même après une chute, je reste parfait. Heureusement d'ailleurs parce que arrivant à la fin du couloir qui donne sur l'entrée, je me retrouve entre la vieille secrétaire à l'air ébahi et un énergumène qui rougie de son sang mon tapis d'entrée. Des frais en plus quoi ! Ils font en faîtes tout pour me saper ma bonne humeur permanente ou quoi ?

"... Docteur... Il a mal.... Il lui faut un médecin..."
" Sans blague, je pensais qu'il était peintre et qu'à défaut d'une toile, il avait choisi mon sol."

Je râle et pose le dossier sur le comptoirs - en prenant soit de le ranger entre deux autres dossiers de même poids - avant de m'approcher de l'individu en râlant de façon automatique.

"Bienvenue à la clinique St soin-bobo, je suis le docteur...."

.... Oh....!

Je le fixe... et lui chope la tête entre les mains. Je suis impressionné!

"Magnifique! Votre faciès est strictement proportionnel !" Je glisse mes doigts pour venir lui agrandir les yeux, rapprochant mon visage du sien pour bien observer ses pupilles. "Même les traits de vos iris se confondent ! Comme si on avait fait une copie de l'un pour le greffer dans l'autre ! Vous êtes sûr que vos deux yeux sont vrai? Y'en a pas un en verre ? ça expliquerait l'exactitude des motifs!"

Pour son ... genoux....

Repoussé, je baisse les yeux plus bas... Ah, j'aurais presque oublier qu'il est en train de pourrir ce sol merdique ! Comme si j'avais pas assez de frais ! J'en fronce les sourcils aussi puis croise les bras au reste de son expliquation. Non mais il est sérieux là ? Un gugusse en blouse banche ?!

"Vous me prenez pour mon prédécesseur ou quoi ?! Bien sur que je suis médecin ! J'ai obtenu mon diplôme dans la prestigieuse école de Winscor avec mention "très bien"! J'ai suivis les plus grands chirurgiens tel que Mr Egas Moniz ou encore Robert Ranjard et ma thèse sur les résultats de consultation en médecine générale retrouvés dans les Récits de Situation Complexes et Authentiques des stages ambulatoires des IMG du USPN à été acclamé par chacun de mes professeurs !"

Non mais, c'est quoi ces gens qui pensent que toute notre passion et nos études ne servent à rien hein ?! Ils sont tous jaloux en fait de ne pas avoir nos connaissances, notre génie et notre sagesse. Après tout, même si celui là a acquit une beauté plus ou moins égal à la mienne, il n'a surement pas hérité de l'esprit qui va avec, le pauvre... Enfin, sa stupidité lui donne un certains charme. Je soupire et me pince légèrement le nez pour me calmer avant de rajouter d'une voix sérieuse.

"Mais si vous préférez aller voir un autre gugusse en blouse blanche, faîtes donc. D'ici que vous en trouviez un, votre plaie se caractérisa par un phénomène de prolifération bactérienne à l'odeur nauséabonde et à l'aspect gris et visqueux. Avec un peu de chance, il faudra juste vous couper le membre au dessus du genoux alors mais si cela s'infecte d'avantage, il faudra voir plus haut et vous en perdrez surement au passage l'usage de votre vessie et aurait besoin d'une sonde anal pour éviter tout problème de défection. Et je ne parle pas de votre libido qui en subira les conséquences, j'espère pour vous que vous avez déjà des héritiers en route ou se sera mal barré pour qu'une femme accepte de fricoter avec un homme aussi diminué. Enfin, ça, c'est dans le meilleur des cas, dans le pire, la perte de sang vous fera tomber dans les pommes et le manque d’intérêt de l'humanité envers ses paires feront que on va surement vous laisser là, à crever seul sur le bitume en pensant que vous êtes à sans-abri... Au moins ça fera le bonheur de ceux qui vont vous dépouiller. Sinon.... Vous pouvez me suivre et je vais vous arranger ça."

Parce qu'au fond se serait dommage... Oui, plus je le regarde, plus je me dis qu'il est bien fait. Se serait dommage du coup de laisser une imperfection dessus... Faudrait que je regarde sous ses vêtements, peut-être pourrais-je arranger sa perfection pour la rendre encore plus parfaite. Enfin, la perfection physique hein... Pour l'esprit... Je crois que c'est trop tard.

Je crois qu'il a essayé de parler à un moment... On lui a pas appris la politesse de ne pas couper la parole aux gens ? Mais bon, ce n'est pas grave, il est mignon alors on va lui pardonner. Par contre, c'est quoi ce rire ? J'en reste un peu perplexe, il aimerait autant que ça finir totalement en loque ? Quel gâchis ce serait ! Hors de question que je le laisse faire ça, se serait une terrible perte, déjà qu'il n'y a pas grand chose de beau dans ce monde !

Attends... quoi ? Il m'adore ?! Ah... Merde. J'en rougis un peu en tournant fièrement la tête. Bien sûr qu'on m'adore, je suis la perfection et entre perfection on se reconnait, bien que celui-là, il lui manque un genoux et de l'esprit. Mais c'est pas grave, je serais miséricordieux avec lui. Je le chouchouterais quand même. Parce qu'il m'adore et que son adoration est bien plus agréable que d'être adoré par les cloportes habituels. Par contre, qu'il bousille encore son corps parfait et je lui fout un poing bien enfoncé dans son joli pif! Que je soignerais après, bien entendu... Mais ça risque de désaxer son nez.. Je viserais peut-être à un endroit moins risqué...

Enfin, il se montre un peu plus sérieux et je le guide vers l'une des rares salles dépoussiérées ou je fais mes rares consultations. Sur le chemin je garde toujours un œil dessus. J'ai presque envie qu'il tombe juste pour le porter dans mes bras... A sa question je claque de la langue, ennuyé.

"Le pire de tous. Loin de remarqué vos qualités, il vous aurait disséqué sur place par manque de cobaye. Je serais pas étonné qu'il se soit tuer tout seul en faisant des expériences loufoques !"

La pièce est simple, propre, j'ai virer tout ce qui était inutile. Mais c'est sans compter sur Wayne qui y est couché dans un coin sur son nids fait d'un tas de bordel qu'il trouve partout. Il fait un raffut épouvantable entre ronflement et pioupiou de piaf. Foutu bestiole... Je soupire et l'ignore en faisant signe à mon patient de monter sur la table d'auscultation.

"Allez, enlevez moi ce pantalon que je puisse voir cette blessure. J'ai besoin de savoir aussi ou et comment vous vous l'êtes faîtes."

Je me prépare en attendant, lavage de main, gants, etc, mais ça m’empêche pas de mater à travers le miroir pour lié l'utile à l'agréable ~

En général, j'aime pas les gens qui rient tout le temps, leurs voix agaçantes me blessent mes saintes oreilles mais pour lui, on va faire exception. Juste parce que quand il sourit, ça lui fait deux petites ridules aux coins des lèvres toutes aussi symétrique que le reste de son visage. J'adore ce qui est symétrique et parallèle, ça se voit d'ailleurs sur les rares objets sur le bureau.

Ah, que j'aime les gens qui obéissent vite et bien, voilà un autre qualité de cette belle gueule. Dommage que le caleçon soit pas parti avec, j'aurais bien vérifier si c'était aussi parfait que son beau visage, m’ enfin, je serais patient. Les belles choses sont toujours recherché et ce serait dommage qu'il finisse je ne sais pas où par manque de patience de ma part... Oui, je vais prendre tout mon temps pour l'apprivoiser... Tout notre temps... Héhéhéhé....

Ah, oui, c'est vrai, le pourquoi du comment il est arrivé jusqu'à ma porte. Simple cailloux ? Non... Ce sont les cieux qui me l'ont envoyé, j'en suis sur, pour qu'on fasse la paire parfaite ! Mais le pauvre est tellement naïf qui ne s'en rends peut être pas compte. Heureusement que je suis là pour comprendre et agir pour deux. Pauvre petit ange, ça doit être difficile d'être si ignorant. J'ai de la peine pour sa bouille si mignonne... Enfin, arrêtons de penser à tout ça, on doit le rafistoler le sucre d'orge! Je choppe le tabouret à roulette et m'assois dessus avant de glisser jusqu'à lui pour lui attraper la jambe. Avec douceur, ce serait dommage de le rendre plus mal encore. Ah, regardez moi se sang parfaitement carmin... A la texture ni trop liquide, ni trop solide.... Si il n'y avait pas cette terre dégueulasse et ces petits cailloux, nul doute que j'aurais pris le plaisir de glisser ma langue dessus pour connaitre son goût mais hors de question que je le laisse trop longtemps dans cette état au risque qu'il s'infecte vraiment. Alors avec délicatesse et précision, j'enlève d'abords toute la merde avant de désinfecter.

"Je n'aime pas bavasser en effet, ce serait parler de ma vie ou faire semblant de m’intéresser à celles des autres et j'ai horreur de ça... Mais pour vous, je vais faire un petit effort."

Je souffle légèrement sur sa plaie nettoyé pour vérifier qu'il ne reste rien avant de préparer le compresse de liquide désinfectant.

"Je m’appelle Bartolomé Skyblack mais on me prénomme Bath. Docteur diplômé de Winscor et actuel directeur de la Clinique St soin-bobo, un nom merdique j'en consent mais qui ne vient pas de moi. Par ailleurs, je ne compte pas vous rendre imbaisable, se serait un véritable gâchis. Attention, ça va piquer un peu ~ "

Je me demande d'ailleurs, quel son il a quand il pleure ? Quel goût ont ses larmes ? Je suis sur que ces yeux pétillent comme des étoiles sous l'humidité de la solution saline !

Ah, si il savait... Il n'y a rien de plus beau, intéressant et excitant que le corps humain, qu'il soit bien entretenu ou abimé. Mais, ce n'est pas le moment de lui expliquer mes goûts, on est pas encore assez proche pour ça. Demain peut-être ? En attendant, je me contente d'avoir un rapide sourire qui passe sur le coin des lèvres, furtif comme le passage d'un Flambusard usant de son attaque Rapace.

Si il est idiot, on a au moins certains points commun, comme le fait qu'on trouve tout les deux le nom de cet endroit vraiment pas approprié. Et qu'il aime quand ça pique.... Oh, il a l'air gênée, c'est mignon ~ Mais ne t'en fait pas mon petit choux, j'ai compris ce que tu veux dire, t'es juste un peu timide hein? Cela va avec ton manque d'intelligence, ce n'est pas grave, tu restes belle gueule quand même.

Désinfectant en même temps sa plaie, mon sourire est revenue pour rester figer cette fois mais comme je ne souris pas vraiment souvent, il fait un drôle de tournant à l'aspect sadique. Pff, peu importe, ils restent beaux mes sourires quand même, tout comme moi. Je remue tout de même la tête de gauche à droite à ses paroles alors que je récupère une compresse et un bandage pour finir le soin.

"Se faire arracher des dents cassés, c'est certes pire qu'un peu d'alcool sur une plaie mais je suis sûr que ce n'est pas le pire que vous avez eu."... Ou je serais un peu déçus..." Certes, c'est un gâchis mais heureusement tant que vous n'ouvrez pas trop votre joli gueule, on ne s'en doute même pas."

Je prends soin de bander son genoux doucement et fermement à la fois, restant concentrer dessus tout en lui parlant.

"A Winscor, il y a tout un campus réservé aux recherches médicales ou l'on teste les soins pensés pour vérifier leurs efficacités. Vous connaissez surement celle qui consiste à plonger les personnes souffrant de désirs sexuels inapproprié dans une eau bouillante avant de la plonger dans de l'eau glacé ? Avant qu'ils ne soient d'accords sur la température nécessaire, il y a eue des ratés provocants de grave brûlure au point que la peau se détachait d'elle-même du reste du corps. A ce moment-là, oui, ça devait "piquer", là, c'était surement "pire"... Mais bon, nous sommes tous d'accords que ce n'est pas ce genre de soit-disant thérapie est totalement inutile."

L'idée de ce genre de tentative de thérapie était aussi idiote que son inventeur ! Mais c'est vrai que j'avais trouvé les effets des ratés fascinants et ça m'avaient permis de recueillir des échantillon de peau ailleurs que sur des cadavres ~ Comme quoi les erreurs étaient parfois utiles.

"Ah, pendant que j'y pense, il me faudra vos informations personnel pour votre dossier médicale."

En général, je laissais la secrétaire s'en charger mais... Disons que je lui faisais un petit cadeaux ~

Allons allons, je sais, je comprends, il veut essayer encore de se rattraper de tout à l'heure, de sa façon si sensuel de me dire qu'il aime avoir mal, d'où son essai de reculer en disant que je ne suis pas beau. Je l'ignore bien sur, je suis plus malin que ça, je sais qu'il ment juste pour ne pas avoir l'air d'un homme facile. Qu'il se rassure donc, on prendra tout notre temps ~ Se serait dommage d'abîmer trop vite par passion ce si joli visage et ce joli corps.

Ah, voilà, j'avais raison. La preuve, voilà qu'en plus d'être d'accords avec moi sur le fait que ces techniques ne servaient à rien, il me classe dans la catégorie des psychopathes. Techniquement, il a tort, les psychopathes ne ressentant aucune émotion si l'on se fit au terme premier du mot, hors, personnellement, j'en ressent. Néanmoins, si je l'étais, je serais surement encore meilleurs car sans aucune limite moral. Mes progrès et découvertes en médecine en seraient donc surement encore plus rapides ! Hélas, j'avais un minimum de lignes à ne pas dépassé...

Je suis surpris par sa façon de fuir aussi vite, ce qui n'est pas vraiment une bonne idée pour son genoux. Ah, je vois, c'est parce qu'il m'a encore complimenter sans le vouloir ? Il est timide mon choux parfait ~ (physiquement bien sur) Pourtant ce n'est pas une excuse pour être d'un coup bien mauvais envers mes employés qui ne sont certes pas des lumières mais qui ne mérite pas ce genre de paroles. J'ouvre l'un des tiroirs et sort un scalpel que j’envoie sur la porte qu'il ouvre pour attirer son attention. Tient, ça me rappelle les jeux entre étudiants en médecine de l'époque. J'ai pas trop perdu aux flechette-sclapel.... Même si là la cible n'était pas vivante comme ce n'est pas lui que je visais. Quand j'y pense, j'étais toujours au coude a coude niveau points avec cet enfoiré d'Al Khalid.

"Ma secrétaire a souffert de la présence de mon prédécesseur et de patients manquants d'empathies, de politesses et de respects comme vous le faites actuellement alors qu'elle use de la fin de sa vie à prendre soin des personnes qui en ont besoin. Je ne doute pas que vous en voulez déjà de ces quelques paroles idiotes et misogynes mais je préfère m'assurer que vous allez redevenir un homme galant et non pas un goujat en allant la voir, régler votre consultation et faire votre dossier... A moins que vous ne vouliez être hospitaliser afin que je fasse un diagnostique de votre état mental? "

Je souris, entre amusement et menace. J'avoue, j'ai viré la plupart des gens d'ici et beaucoup d'autre son parti et bien que la secrétaire manque cruellement d'esprit, je vois tout de même bien à quel point elle s'acharne pour faire tout ce que je lui demande. Et Arcéus sait à quel point je suis exigent, il n'y a qu'a voir à quel point je l'engueule tout les jours. Pour son bien, pour la faire évoluer, mettre le doigts sur ses erreurs pour qu'elle ne recommence pas. M'enfin, je comprends l'inconnu a belle gueule aussi... Il a juste eu un petit moment de panique en sentant la tension parfaite entre nos deux corps parfait. Qu'il s’apaise donc, je prendrais mon temps pour l'apprivoiser et calmer ses peurs.

Ou pour aller plus vite je lui couperais la langue ?

Ah, en vrai, je ne peux pas sans son accords... Dommage... Mais je peux toujours essayer de lui faire dire oui sans qu'il comprenne vraiment...

Ah, bien sûr, l'humain, être faible qui ne peux se défendre sans les Pokémons. Je ne suis pas surpris de le voir sortir son gros minou flambé même si je ne comprends pas vraiment pourquoi ces créatures nous obéissent autant. Bon, qu'elles m'écoutent moi, c'est normale vu mon QI, mais le reste du monde, franchement... Enfin, c'est l'une de ces questions éternelles qui ne trouverons jamais de réponses.

Hum, l'aurais-je fâché ? C'est fâcheux. Je ne vois guère pourquoi étant donner que je lui ai juste formellement conseillé de tourner sa timidité autrement qu'en insultant ma secrétaire. Il se trompe sur pas mal de chose, le fait que JE SUIS supérieur à lui et à elle, mais aussi que je sais pertinemment qu'en effet la mort et la maladie nous fauchent tous. Pourquoi donc il croit que je suis médecin cet abruti ? Pour la superbe couleur blanche des blouses ?! Quand à me tuer... De quel façon s'y prendrait-il ? Étranglement ? Avec usage d'armes blanches ? Empoisonnement ? Plutôt du genre à se salir les mains ou à user de subtilité ? Non, je ne le vois pas tuer calmement... Il est trop émotifs, il n'y a qu'à voir cette scène qu'il me fait.

J'avoue être surpris quand il prends mon visage de ses mains et approche le sien du mien. C'est assez... Excitant d'être pris de cour ainsi. Oh... Il se rappelle de mon nom en entier! Je le savais, il y a bien quelque chose entre nous. Oh non, il se trompe encore. Bien sûr que si cela peut marcher entre nous si il fait des efforts avec sa timidité maladive ! Et j'en ferais peut-être un peu avec... Ce je ne sais pas quoi qui semble l'avoir énervé. Un râteau donner à la va-vite, cela ne compte absolument pas.

Je le laisse s'enfuir tel une vierge effarouché sans rien dire si ce n'est un petit sourire qui se glisse au coin des lèvres. C'est un joli défi d'attraper ce bel homme malheureusement si bête. Mais lentement... Se serait dommage qu'en pleine chasse, il se blesse et ne devienne plus qu'une laideur parmi tant d'autre. Heureusement que là, c'était le genoux qui avait pris, c'était un peu moins embêtant que si cela avait été le visage.