NOM MARITAL Graham. NOM DE JEUNE FILLE Tendrerose. TITRES dernière Duchesse de Belleraison, Marquise de Westfield, Chevalier et membre d'honneur de la cours galarienne. PRÉNOM Malise. ÂGE 23 ans. ORIENTATION SEXUELLE hétérosexuelle évidemment, la question ne lui vient même pas à l’esprit.
ORIGINES Galar, mais semble-t-il du sang kalosien coule dans ses veines. VILLE NATALE Kickenham. DOMICILE ACTUEL un château à Westfield, domaine de son mari le marquis (juste quelques hectares).
ACTIVITÉ/MÉTIER femme au foyer & apprentie coordinatrice. VOTRE ALIGNEMENT legacy pour toujours. CARTE DEMANDÉE carte de coordinateur, offerte par son tendre époux pour éviter l'ennui. VOTRE CLASSEMENT rang D.
CHOIX POUR VOTRE ÉQUIPE un pokémon de mon choix, un autre de la part de cet élégant professeur.
NOM DE L'AVATAR Celica de Fire Emblem.
Pudding
10 - Femelle - Voltoutou - +5
Absolument adorable, une truffe curieuse de tout, adapte des balades au grand air et quelque peu bagarreuse sur les bords. Pudding considère sa dresseuse comme une sœur et le lui fait comprendre chaque jour que Dieu fait. L'une comme l'autre sont inséparables et se comprennent d'un simple coup d’œil. Un duo à l'épreuve de tout en quelque sorte.
Ce drôle de matou suit Malise comme son ombre. Elle n'a aucune idée d'où il est sorti et pourquoi il s'est autant attaché à elle. Peut-être a-t-il été intrigué par son malheur : on dit que les Pokémon Psy sont capables de lire dans le cœur des humains. Elle a mis longtemps à ne plus être inquiétée par la présence quelque peu oppressante du Psystigri, toujours silencieux, les yeux fixant le vide. Ses proches ont cherché à l'en débarrasser mais depuis qu'il a projeté un domestique contre un mur par protestation, plus personne n'ose s'opposer à lui ou à sa nouvelle maîtresse.
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Histoire
1963, 21 ans.
Malise née Tendrerose, au sein d’un château vieillissant de Kickenham cité médiévale par excellence. Duchesse de Belleraison un domaine perdu, mais dont la famille garde encore à ce jour certains de ses privilèges, comme la demeure par exemple. Les siens acquirent leur titre de noblesse durant le règne du roi Eddard, fin XIIIe début XIVe siècle. Les archives familiales mentionnent des origines Kalosiennes et un ancêtre particulièrement arriviste qui sauvant la vie du régent devint un de ses fidèles compagnons. Depuis lors, ces mêmes archives rappellent la parenté au quatrième degré de la maison avec la famille royale de Kalos.
La jeune femme a deux frères aînés, le premier Adrien qui héritera de ce qui reste de leur fortune, le second, Charles, prêtre de son état s’est depuis longtemps éloigné de cette vie mondaine. À la maison, couvée par sa mère, enchaînée par son père, subissant le courroux d’un grand-père affaibli par la maladie, elle rêve encore du prince charmant qu’on lui a promis : un marquis de Keros. Apparemment, les siens cultivent des terres et malgré le passé tumultueux de la région s’en sortent plutôt bien, comparé à d’autres. Pourquoi pas, vivre en pleine nature, se sauver loin de ce misérabilisme ambiant, découvrir de nouvelles contrées…
1942, année de naissance.
“C’est une fille !”
Adrien premier du nom sortit de la pièce en claquant la porte, que la femme de son fils accouche d’une fille, lui le dernier d’une fratrie de sept garçons, cela le vexa. Pourtant, elle avait bien commencé avec deux beaux garçons qui grandissaient sans poser de problème. Pourquoi Dieu lui envoyait-il un futur poids ? Il pénétra à l’intérieur de son bureau avec ardeur et attrapa le journal mondain ; parmi ces lignes, le vieil homme trouverait son futur mari, une chose à faire vite et bien. Personne n’irait lui dire quoi que ce soit, car tout le monde savait que seule la mort les libérerait de sa présence toxique.
Lui un fervent adepte de Legacy qui participa même à sa construction, quelles raisons le poussaient à considérer de la sorte la gente féminine ? Rien de plus simple, son entourage manquait de combattants, des combattants comme lui, comme ses amis, Elles, naissaient dotées d’une force moindre. Sa réflexion n’allait pas plus loin, son rôle donc se résumait à correctement la place sous la tutelle d’un homme fort de préférence. Un cri provenant de la chambre le sortit de sa torpeur, apparemment la fin de l’accouchement se passait mal, très mal.
1946, 4 ans.
Ni Adrien, ni Charles, ne prenaient le temps de jouer avec leur petite sœur, non, les garçonnets préféraient se promener dans les zones accidentées du palais. Les gravats, le mobilier d’un autre temps, les rumeurs sur un possible Théffroi en liberté, tout cela nourrissaient leurs aventures. Toute seule donc, cadette d’à peine deux ans vis-à-vis du plus grand, la petite tête flamboyante explorait la bibliothèque. Quatre ans, avide de lecture en tout genre, surtout politique, cela étonnait son entourage et changeait les idées d’une génitrice devenue infertile.
Maximilien, passait énormément de son temps à lui apprendre le fonctionnement des rouages de l’Histoire, les cartes, les conflits armés, les conflits intellectuels aussi. Les prunelles écarlate ne cessaient de l’interroger silencieusement, faute de pouvoir comprendre pour l’instant tous les tenants et aboutissants. Son avance et sa bouille ravissante amenaient du soleil à l’intérieur de cette chaumière fade. Par ailleurs, l’ancien se décida également à cette époque de lui apprendre l’art du combat à l’épée. Tout le monde tenta de l’en dissuader, sans succès, la vieille génération, actrice de la guerre vivait avec la peur d’en connaître une dernière.
1949, 7 ans.
Ses cousins et cousines, nombreux, venaient souvent jouer avec eux, pendant que les parents discutaient à côté. Ils se moquaient cruellement de ses cheveux rouges, de sa peau laiteuse et d’après eux, de ses effrayants iris. Malise ne répondait rien, s’isolait, lisait faute de savoir s’occuper autrement. Les enfants découvraient petit à petit le combat pokémon, cela ne l’intéressait pas. Faire se battre de pauvres créatures entre elles ? Quel intérêt, quelle sauvagerie, sa noblesse de cœur prenait le dessus. Son temps servait à tout autre chose, comme étudier la vie et les enseignements d’Arkée.
“T’es franchement ennuyante Malise.” “Je préfère être chiante que débile !”
Et là, une bagarre commençait généralement, entre elle et n’importe lequel des enfants, un contre un qui se terminait généralement par sa victoire. Elle ne se laissait pas marcher dessus, ni insulter, bien au contraire sa langue sortait continuellement de sa poche. Son Voltoutou offert pour son septième anniversaire venait toujours à sa rescousse et mordait fortement le derrière des indigents. Pourtant, le soir, quand on lui demandait d’où venaient ses bleus ou la raison de sa robe déchirée, la fillette restait muette. Trop fière d’avouer qu’au final à cinq contre un, aucune chance de remporter une rixe.
1952, 10 ans.
“Cette fois tiens-toi, tu dois faire bonne impression.”
Sa mère, Louise, coiffait la jeune fille en devenir, afin de la préparer à son unique entrevue en présence de celui qui l’épousera. Enfin, si tout se passait bien, rien ne manquait : sa beauté ne cessait de croître en harmonie avec son intelligence et sa bonne conduite. Parfois, elle parlait un peu trop et s’emportait, mais la passion seule s'exprimait, point l’orgueil. Une fois la nuit tombée, le majordome les annonça et tous prirent place autour de la table. Malise se retrouva en face de Théodore, si gêné que ses joues cramoisies juraient avec ses courts cheveux bruns comme les plumes d’un Corvaillus.
Durant les négociations, les deux promis ne s’échangèrent même pas un bonjour et à la toute fin pendant la dégustation des mets sucrés, la nouvelle tomba. L’année de leur majorité, le mariage se déroulera et l’alliance entre les familles prendra ainsi forme. Comme les précédents avant eux, un mariage par nécessité, non par amour, l’amour ne nourrit pas. Il en fut de même pour ses frères, un peu plus tôt. Avant de partir son promu lui demanda de venir passer les voir, bien entendu elle accepta, même si l’idée de s’éloigner de sa famille ne lui plaisait absolument pas.
1956, 14 ans. Extrait de son journal intime.
L’argent manque, la mauvaise gestion des biens et parts investi à droite à gauche inquiètent durement les adultes. Que faire pour y remédier, vendre le peu qu’il reste ? C'est-à-dire quoi ? Un vieux château qui tombe de moitié en ruine ? Un titre de noblesse vieillot ? Des médailles militaires ? Cette situation déclenche beaucoup de disputes à l’intérieur du foyer et le médecin pas plus tard qu’hier a déclaré grand-père malade. On ne peut demander de l'aide à personne, notre honneur vaut plus que toute chose matérielle. Je ne fais que citer les paroles de Père.
Je me trouve dans le train qui m’amènera à Westfield, enfin, avant d’y arriver, j’ai beaucoup d’escales. Même si je me trouve en première classe, ce moyen de locomotion m’exaspère. Je m’en vais retrouver Théodore, quatre ans de lettres échangées avec quelques photos, je le trouve plutôt beau, mais pas vraiment intéressant. Si j’en crois ce qu’il me marque, le bougre désire devenir un maître pokémon, ridicule, qu’il commence à apprendre la gestion d’une entreprise agricole, cela nous sera plus utile que des rêves enfantins. Je suis toute seule, cela m’inquiète beaucoup.
1961, 19 ans. Extrait de ce même journal intime
Je viens de terminer l’incroyable œuvre littéraire de Madame Smith, cela ne doit pas plaire à Kéros, j’imagine la presse se déchaîner. Chez nous, ils se vantent de mieux faire, en apparence oui, dans le fond, je ne crois pas. Mes frères, encore eux, me traitent de garçon manqué et me rappellent de faire attention ou le divorce m’attend. Je porte encore mon nom, qu’ils se mêlent de leurs femmes. Acquérir un second titre, plus faible que le mien, ne me fait pas rêver, mais Théodore dit m’aimer comme je suis. Il est vrai que je suis plus belle qu’une kérosienne.
Là-bas, j’ai peur de subir du racisme à outrance, déjà que je dois taire mes croyances… Elle expire un long et bruyant soupir. Moi aussi, je veux qu’on me donne matière à me plaindre, que répondrait les miens si je disais vouloir m’enfuir à travers le monde, une femme à mes côtés ? Ils ne me croiraient pas, cela vaut peut-être le coup d’essayer un jour… Enfin, je pense que pour les concernés faire une telle blague relève du mauvais goût. Mère parle de déménager nos affaires dans un manoir, un manoir, vous y croyez ? Comment notre collection d’armes va-t-elle entrer ?
1963, 21 ans. Papier à lettre abandonné au fond d’un tiroir.
Je portais la plus belle des robes, personne ne pouvait décoller son regard de moi, je marchais accompagné de mon beau-père, droit devant moi, il m’attendait sensiblement ému. N’est-ce pas le jour qu’attend toute femme ? Autour de nous, des champs, des Ecrémeuh, beaucoup d’Ecrémeuh, logique pour une exploitation laitière. Le soleil déjà bas drapait l’autel d’une aura doré, je pris ça comme une bénédiction d’Arceus lui-même. Mère pleurait, Père pleurait, Grand-père pleurait, les deux autres… Pleuraient. Juste pour se faire bien voir du gratin venu assister à l’événement.
J’ai eu mal, très mal, vraiment très mal. J’ai crié, il m’a ignoré, je l’ai poussé, il m’a insulté. Agréable nuit de noces, nous avons recommencé jusqu’à qu’il rentre en moi. Une fois monsieur satisfait, il est parti s’aérer l’esprit, pour ma part, je suis restée à la fenêtre humer l’air de la campagne. Pudding adore courir après les Ecrémeuh afin d’attraper et mordre leurs queues. Je lui demande sans cesse d’arrêter, tant pis les demoiselles font un peu d’exercice au moins. Que me réserve l’avenir… En premier, je veux une fille qui comme moi s’intéressera à tout.
1965, 23 ans. Début d’un nouveau journal intime.
Deux ans, deux ans qu’on essaie sans succès, je crois qu’Arceus me refuse le rôle de mère. Je ne comprends pas, hier à l’image de notre ancienne chapelle personnelle, j’ai demandé à aménager une partie de ma chambre. Oui, il ne dort plus avec moi, parait-il que je lui coupe même l’appétit. C’est lui qui me coupe l’appétit ! Il a osé me sortir la chose suivante : “je dois avoir des héritiers, je peux toujours mettre enceinte une de nos domestiques, on la garde enfermée le temps de la grossesse et déclare l’enfant notre. Ne crois pas que personne ne l’a déjà fait.”
Pourquoi cela m'arrive-t-il à moi ? Je… Désespère. Même les bijoux qu'il m'offre ou les robes ne me décrochent pas un sourire. Avant, j'étais coquette, j'aimais me pouponner, me maquiller, me parfumer même ! Pour qui ? Lui ou moi ? Ma mine amaigrie ne me plaît plus.
Votre pseudo – malise. Âge – la vingtaine. Comment avez-vous trouvé le forum ? – top-sites. Autre ? – j'ai posé tout de suite les bases, comme ça si quelque chose ne va pas, vous pouvez me le signaler au plus vite.
Invité
Invité
Ven 1 Jan - 0:53
Hey hey Bienvenuuue et surtout… Bonne année ! Tu es notre petit bonbon surprise 2021 ! Si c'est pas beau, ça ~
Je suis ravie de voir une nouvelle tête parmi nous ! Et quelle tête, dis-moi Celica ! J'adore cette base, elle est vraiment super élégante. Très bon choix !
De ce que j'ai lu, ta fiche s'annonce super prometteuse Ça sent l'histoire dans les purs codes du forum, qui respecte super bien le contexte et tout ce qui s'en suit ! Vraiment, j'ai hâte de lire la suite. Donc à mes yeux tu es dans les clous ! Ne t'inquiète pas. D'ailleurs, une jeune fille mariée, c'est très audacieux, et vraiment plaisant à vois j'apprécie vraiment ton choix. Bienvenue chez Legacy, au fait. Ça aussi, c'est sympa. Et une future coordinatrice ? ~ ohoh ~ et Voltoutou, évidemment. Je n'en attendais pas moins ~
Bon courage pour la suite, en tout cas, en espérant que tu te plairas parmi nous N'hésite pas à venir sur le discord, d'ailleurs ! Nous serons ravis de t'accueillir Et si tu as la moindre question… Poke-nous
Invité
Invité
Ven 1 Jan - 12:05
Bienvenue parmi nous Malise ! Et bonne année 2021 à toi !
Je vais sûrement répéter un peu ce qu'a pu dire Alex, mais quel début d'histoire ! Nous sommes tout de suite embarqués dans un tourbillon historique et sur un forum tel que Keros, c'est vraiment nous vendre du rêve. Prendre le parti, si je comprends bien, de la jeune fille de bonne famille mariée à un marquis est vraiment osé et super intéressant. J'ai déjà hâte d'en connaître davantage sur ta jolie demoiselle.
Bonne chance à toi pour ta fiche et n'hésite surtout pas à rejoindre notre serveur discord si le coeur t'en dit !
Invité
Invité
Ven 1 Jan - 16:42
Je ne sais même pas quoi dire, vous êtes tout simplement adorables, bonne année et que pleins de bonnes choses vous arrivent en cette nouvelles année. J'espère que ma fiche continuera à vous plaire, parce que oui, je viens de la terminer. Merci à tout pour votre accueil, j'ai vraiment hâte de vous rejoindre et vivre pleins d'aventures à vos côtés.
Invité
Invité
Ven 1 Jan - 17:04
Peut-être que la chance sera avec moi
Professeur Chardon
Pokédollars : 2037
Pas de badges
Inventaire : //
Pas de rubans
Professeur Chardon
Ven 1 Jan - 17:04
Le membre 'Malise Graham' a effectué l'action suivante : Lancer de dés
'Dé Charme Chroma' :
Professeur Chardon
Pokédollars : 2037
Pas de badges
Inventaire : //
Pas de rubans
Professeur Chardon
Ven 1 Jan - 22:41
Félicitations !!
tu es validé(e) !
PETIT COMMENTAIRE
Bienvenue, VMalise, puisque je suis l'admine méchante qui ne t'a pas encore accueillie sur ta fiche, mea culpa
C'est une petite fiche très sympathique que tu nous a proposée ! Très agréable à lire, qui prend bien en compte le contexte, ça fait toujours très plaisir ! J'ai beaucoup aimé ton style d'écriture en tout cas et rien à voir mais j'approuve le Voltoutou x1000
La famille de Malise est particulièrement baffable, en revanche, surtout le papy. Même pour les années 60 franchement c'est honteux Idem avec le mari, au début je pensais que je l'aimerais bien mais il vaut pas mieux que les autres... j'ai presque pleuré
Du coup, te voilà validée ! Je te laisse avec les choix du prof ainsi que les liens ci-dessous pour aller te recenser, toi et ton équipe ! Bon jeu !
A Galar, la tradition est d'offrir un Verpom à l'élu(e) de son cœur. Selon la légende, cela garantirait l'amour éternel. En offrant ce Pokémon à Malise, Théodore espérait sauver leur relation, lui donner un nouveau départ. Malheureusement, c'est bien trop tard. Au moins, la jeune fille y aura gagné un charmant petit compagnon, câlin et doux, mais terrifié par le Voltoutou qui a tendance à le prendre pour une baballe.
RepliEtonnementRouladexxx
Tarsal
Femelle - Niveau 5 - Bonheur 0
Malise a trouvé ce pauvre Tarsal tout juste sorti de l’œuf, abandonné non loin du domaine. Incapable de rester insensible face au malheur de la fée, la jeune femme l'a immédiatement prise sous son aile. On lui reproche de trop en prendre soin, de la bichonner comme une enfant humaine. On se moque d'elle, du fait qu'elle n'ait toujours pas donné la vie et on la traite de folle. Un prix qu'elle est prête à payer plutôt que de se débarrasser du Pokémon, qui l'accompagne partout et lui voue énormément de respect, allant jusqu'à imiter le moindre de ses mouvements.
RugissementVoix EnjôleuseRefletBall'Ombre
Psystigri
Mâle - Niveau 5 - Bonheur 0
Ce drôle de matou suit Malise comme son ombre. Elle n'a aucune idée d'où il est sorti et pourquoi il s'est autant attaché à elle. Peut-être a-t-il été intrigué par son malheur : on dit que les Pokémon Psy sont capables de lire dans le cœur des humains. Elle a mis longtemps à ne plus être inquiétée par la présence quelque peu oppressante du Psystigri, toujours silencieux, les yeux fixant le vide. Ses proches ont cherché à l'en débarrasser mais depuis qu'il a projeté un domestique contre un mur par protestation, plus personne n'ose s'opposer à lui ou à sa nouvelle maîtresse.
GriffeGroz'yeuxBluffAssistance
Professeur Chardon
Pokédollars : 2037
Pas de badges
Inventaire : //
Pas de rubans
Professeur Chardon
Ven 1 Jan - 22:41
Le membre 'Professeur Chardon' a effectué l'action suivante : Lancer de dés