KEROS Forum Pokémon années 60

Forum Tout public optimisé pour Chrome et Firefox.

Avatar illustré 200x320, contexte Pokémon années 60. Pas de minimum de lignes.
Keros
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilAccueil  FAQFAQ  RechercherRechercher  MembresMembres  GroupesGroupes  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
-35%
Le deal à ne pas rater :
Philips Hue Kit de démarrage : 3 Ampoules Hue E27 White + Pont de ...
64.99 € 99.99 €
Voir le deal

[EVENT MARCHÉ DE BREITH] pv Connor
Page 1 sur 1
avatar
Invité
Invité
Mar 22 Déc - 9:14   
EVENT MARCHÉ DE BREITH
ft. pv Connor Garance

Ah, le marché de Breith.... Un habitude que Charle garde même si son cœur n'est pas à la fête.


Le grand marché de Breith s'étale sur tout la place de Capitole de Bronswick. Habituellement, c'est aux côtés de sa femme et suivit de ses deux ravissantes filles qu'il en foule les pavés, mais pas cette année. Depuis la disparition de son fils, dont il n'a aucune nouvelle malgré les frais de détectives privés, sa douce, c'est ternie, rongée par l'angoisse, et c'est en espérant apaiser ces tourments qu'il l'avait envoyés, avec les jeunes femmes, quelques mois à Alola. Le soleil et la joie de vivre de ce petit coin de paradis leur redonneraient peut-être la chaleur que son fils ingrat avait gelée en disparaissant, du jour au lendemain, sans un mot ni la moindre lettre. À vrai dire, pour Alexandre, il avait aujourd'hui autant de colère que d'inquiétude même si il tentait de ne jamais montrer cette dernière par fierté.

C'est donc seul, emmitouflé dans son long manteau, la tête recouverte par un chapeau melon et appuyée sur sa canne, que ses yeux passait d'un bibelot à l'autre sur les stands. N'allait pas croire qu'il prêtait attention au charme de Breith, non, Charle avait toujours se fond de banquier en lui qui cherchait plutôt l'artisans qui valait la peine qu'on lui propose une aide financière ou non. Il le faisait bien moins quand Madame était là, mais sans elle, il n'avait pas l'envie ni la force de faire semblant.

Une autre différence à l'année précédente ? Le Trousselin qui s'amusait à sautiller à chacun de ses pas dans sa poches, ne lâchant pas l'unique clée qu'il avait réussis à dérober à son Maitre. Charle n'avait jamais éprouvé l'intérêt d'avoir un Pokémon est en avait toujours refuser jusqu'à là, mais l'œuf de celui-ci avait été un cadeau qu'il n'avait pu refuser. Déçus par son apparence et sa fragilité, Charle avait tout de même accepter l'animal bon grès mal grès, tout comme le Fluvetin bien au chaud dans sa ball. Deux Pokémons, fées, quand on y pense, qui allait tellement mal avec la rigidité du vieil homme.

Charle finis par s'arrêter devant l'un des stands aux paniers de plumes et petits coussins, certains colorés et pleins de froufrou tandis que d'autres restaient sobres et aux motifs légers. Il s'arrêta, en prit un et vérifia le moelleux qui était plutôt de bonne qualité. Un cadeau pour sa douce ou ses filles ? Non, leurs cadeaux les attendaient déjà, rares et chers, enrobés de papier-cadeau dans l'un des meubles du grand manoir qui semblait si vide malgré la présence des employés de maison. Cependant, il avait deux petites bestioles maintenant, et même s'il considérai les Pokémons comme des bêtes faites surtout pour travailler et manger, celles-ci faisaient partie désormais de la famille des De Montgommery. Par extension, elles se devaient donc d'avoir aussi ce qu'il y a de mieux.

Il en avisa un rosé pour le Fluvetin et un gris métallisé pour le Trousselin qui était finalement sorti de sa poche pour se jeter sur un trousseau de clé laissé sur l'un des petits meubles du stand. Charle fronça aussitôt les sourcils, récupérant le tas de ferraille d'un geste vif malgré son âge pour lui enlever avant qu'il ne se le garde éternellement comme il l'avait fait de cette autre et unique clé rouillée qu'il possédait.


"Agis comme un voleur et je te fais fondre chez le forgeron."

L'animal frémit avant de lâcher les clés et retourner se cacher dans la poche sous le ton sévère de son Maitre.



avatar
Invité
Invité
Lun 28 Déc - 12:56   
Le marché de Breith annonçant les festivités de fins d'années. C'était pas vraiment ce que tu préférais. L'hiver déjà, c'était pas ta saison préférée faut dire. Tu étais plus automnale qu'autre chose mais là n'était pas le sujet. La chose de bien avec ce marché, c'est qu'il amasse la foule venue de tous les horizons de Keros sans compter les touristes venus ici pour découvrir la région.

Tu n'es pas vraiment un artisan de base. Mais tu avais louer un stand, sachant qu'il y avait là une opportunité de se faire un peu plus d'argent qu'avec simplement l'elevage et la vente des plumes que tu fais en gros aux artisans des environs. Là, ta femme avait prit les devants. Femme au foyer, entre deux siestes de tes jumelles, elle s'occupait de faire vos propres oreillers fait main depuis quelques mois en prévisions de les vendre ici et maintenant. Tu t'occupais de la vente alors que ta femme s'occupait tranquillement de la confection de ces derniers. Il y avait bien assez de plumes pour vendre ainsi que pour creer. C'était un avantage à faire ton métier.

Tu serrais un peu ton manteau, t'aime pas le froid qui peut s'y immiscer si facilement. Tu grognes un peu, et ton Pijako sur ton épaule lui, s'en fiche un peu, la tête enfouie sous son aile, il dort à poing fermé. Tu pourrais même dire que t'es un peu jaloux d'Orphée sur le coup, tu pourrais juste prendre un des coussins en vente et pioncer un coup, mais ce serait pas aussi confortable tu présumais.

Tu t'étais un peu éloigné pour remettre ton vieux chapeau que tu aimais tant, on allait pas t'en tenir rigueur. Pendant ce temps un homme aux traits familiers arriva près de là. Tu fus quelques peu surpris de le voir cependant avec un Pokémon. Ce bon monsieur que tu connaissais plutôt bien ne s'était jamais montrer avec une créature. Tu avança vers eux après que le trousseau de clef soit reparti sagement dans la poche de l'homme tandis qu'il retrouvait sa propre clef sur le meuble. Tu ne connaissais pas trop trousselin ni son intention, mais tu remerciais la divinité que cette clef soit toujours là. C'était idiot dans un premier temps de la laisser là.

- Eh bien, je n'espérais pas vous voir ici Monsieur de Montgommery. Cela me fait plaisir de vous voir.

Il faut dire que Charles t'avait fortement aidé il y a de cela quelques années afin de lancer ta profession. C'était grace à lui que tu pouvais jouir d'un bel elevage et du fait, entre autre, de pouvoir vendre des coussins aujourd'hui, et les autres années aussi. Néanmoins, tu l'avais peu vu ces derniers temps, pour ne pas dire du tout. Tu étais donc tout à fait franc sur le fait que le voir te faisait réellement plaisir.

- Vous venez acheter vos derniers cadeaux pour votre famille ? Sans indiscrétion bien évidemment.

Un sourire aux lèvres, tu le regardais. Un visage familier qui te rendait bien nostalgique par moment il fallait bien l'avouer. Par moment, le bon vieux temps te manquait, puis tu te disais que tu étais malgré tout bien ainsi aussi.
avatar
Invité
Invité
Mer 30 Déc - 1:19   
EVENT MARCHÉ DE BREITH
ft. pv Connor Garance

Ah, le marché de Breith.... Un habitude que Charle garde même si son cœur n'est pas à la fête.


Depuis combien de temps connaissait-il Connor ? De ce qu'il se souvenait, il l'avait croisé la première fois quand il n'était qu'un cadet de l'armée quand lui avait déjà dût la quitter pour faire plaisir à sa douce et reprendre la banque de la famille, celle qui régissait la majeur partie du flux financier de cette ville. Jeune, il lui avait déjà plus et d'un côté, il avait espéré que son fils deviendrait comme cela en grandissant. Hélas... Cela n'avait pas été le cas. Son fils n'avait ni tenu le service militaire, ni su être un "homme". Il avait disparu, du jour au lendemain, marchant sur les espoirs déjà brisés en morceaux de sa famille.

Connor et ses blessures qui avaient finit par se reconvertir en éleveur. Il l'avait soutenu sans aucun problème et Mr Garance lui avait bien rendu, payant à temps, et même parfois en avance ces crédits. Les bons comptes faisaient les bons amis et bien qu'entre eux régnait, lui semblait-il, un profond respect l'un pour l'autre, il le considérai également comme ce qui pouvait le plus se rapprocher d'un ami. Il est vrai pourtant que depuis la fuite d'Alexandre, comme les autres, il ne lui avait rendu aucune visite. Peut-être parce qu'au fond, d'une manière ou d'une autre, l'homme lui rappeler l'échec avec son fils et les années qui filent ? C'est que depuis l'armée, il l'avait vu grandir le petit bleu de l'armée. Aux paroles du boiteux, il hoche doucement la tête poliment avant de répondre.

"C'est un plaisir partagé Monsieur Garance. Cela fait un moment que l'on ne s'était pas croisé, mais je suis ravi de voir que votre élevage semble se porter bien."

Après tout, que ce soit l'homme au Pijako ou la qualité des coussins, tout semblait en ordre, propre, de bonne qualité. Le banquier glissa sa main ganté dans sa barbe en observant les objets avant de répondre à sa seconde question, l'autre tenant son habituel canne.


"Ah, les cadeaux sont déjà faits, vous me savez prévoyant sur ses points-là, néanmoins, il se trouve que je possède quelques bêtes maintenant, bon grès, mal grès... Il faut bien aussi savoir leur donner quelques récompenses."


Il soupire pour lui-même... Bon sang, qu'il aurait aimé avoir eu un autre "présent" que ce foutu œuf et ce Trousselin voleur de clé ! Enfin, il n'avait pas que lui en plus maintenant. Se reprenant, il posait alors ses yeux sur le marchand.

"Mais dites moi, comme allez-vous ? Et votre charmante femme ?"

Certes, il sortait moins. Enfin, plutôt, hors du travail, ces rencontres étaient moins présentes, mais ce n'est pas pour autant qu'il ne gardait pas un œil et une oreille sur ce qu'il se passait dans sa région chéri. Surtout si il y avait une chance qu'il entende, pas un hasard, le nom de son fils ou la moindre preuve qu'il soit encore en vie. D'ailleurs, se femme étant partie reprendre espoir et chaleur à Alola, elle non plus ne voyait plus les autres femmes avec qui elle prenait parfois le thé. Celle de Connor le regrettait-elle ? Avait-elle eue vent de la fuite d'Alexandre ?

Contenu sponsorisé
Contenu sponsorisé
   
Page 1 sur 1