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Keros FORUM POKEMON · ANNEES 60 · AVATARS 200*320 · PAS DE MINIMUM DE LIGNES
En Novembre 1965, Keros fête ses 30 ans. Désormais libre de l'égide de Galar, la région se remet péniblement de deux guerres, et la jeunesse a envie de tourner la page. Sa liberté, elle la trouve autant dans l'activisme que dans des loisirs innocents. Les combats de Pokémon, en phase pour devenir la discipline phare à Keros. La coordination, l'élevage et le métier de ranger ont également le vent en poupe. Une organisation criminelle profite de cette mode pour s'enrichir grâce au braconnage et le gouvernement ne semble pas concerné par la crise écologique et économique imminente.Lire la suite
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Just by living I'm nothing for another day | Ayesha Howard
Invité
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Just by living I'm nothing for another day | Ayesha Howard Jeu 5 Oct - 7:15
Ayesha Howard
Identité
NOM Howard PRÉNOM Ayesha ÂGE 21 ans ORIENTATION SEXUELLE Bisexuelle
ORIGINES Keros VILLE NATALE Bronswick DOMICILE ACTUEL Pryderi
ACTIVITÉ/MÉTIER Femme au foyer VOTRE ALIGNEMENT Asterienne CARTE DEMANDÉE Sealg
CHOIX POUR VOTRE ÉQUIPE Un choix + un choix du staff
NOM DE L'AVATAR Satella - Re:Zero Kara Hajimeru Isekai Seikatsu
Gerda
Niv.45 Femelle Feunard
Gerda est comme Ayesha, douce et réservée. Il faut dire qu’elle n’aime pas vraiment se lier aux autres humains, c’est qu’elle a bien quelques siècles au compteur, la renarde. Elle a toujours été une fidèle servante de la maison Lanskoï mais sa morosité aura eu raison des nerfs d’Aliénor qui l’a refilé à sa fille mal-aimée sans une once de remords. Ayesha ne sait pas ce que cela fait d’être « immortelle » mais elle sait ce que cela fait d’être différente et rejetée pour cela alors même si Gerda a un peu de mal avec ça, sa nouvelle dresseuse se fait très tendre et très douce avec elle. Un lien très fort à finit par se tisser entre ces deux petites, Gerda serait prête à tout pour protéger sa maîtresse à présent.
ExtrasenseurPlénitudeBall’OmbreDanse-Flammes
Histoire
TW : Mention d'abus sexuels et d'automutilation.
Ayesha n’a jamais été une personne remarquable. Même au sein de sa propre famille, les Lanskoï, elle passait plutôt inaperçue, une myriade de grandes sœurs déjà promises au prochain Tsar et un grand frère sans doute prêt à jouer ledit rôle de Tsar si ce dernier venait à passer l’arme à gauche. Sa mère a toujours trouvé un moyen de lui dire et de lui faire comprendre : Ayesha n’est qu’une ombre, un enfant de trop un peu embarrassant qu’on accepte de nourrir pour la forme. La petite a toujours grandit timide, discrète, le monde extérieur lui fait peur et celui intérieur plus encore. Elle n’a voulu aidé son frère Lazulite qu’une fois dans ses plans d’escapades tordus mais s’est retrouvée avec un doigt en moins pour cela.
Il a bien vite fallu arrêter de se mêler de la vie du reste de sa famille. Les Lanskoï n’étaient pas normaux et elle le comprit vite en faisant la comparaison entre les familles aimantes de ses contes de fées et la sienne. Était-il seulement question d’amour entre Aliénor et ses enfants ? Ayesha l’ignore encore aujourd’hui. De ce qu’elle sait, Lazulite a vécu pire qu’elle et elle ne peut s’empêcher de se sentir coupable de la situation. Si elle n’était pas une bonne à rien, peut-être que quelque chose aurait changé ? Peut-être que si elle s’était tenue bien tranquille lorsque le nouveau mari de sa mère avait fait irruption dans sa chambre, Lazulite n’aurait pas à subir ses visites nocturnes constantes. Si Ayesha était une bonne personne, nulle doute qu’elle aurait déjà trouvé une solution pour aider son pauvre frère.
Mais Ayesha n’est qu’une peureuse doublée d’une idiote.
Elle préfère se réfugier dans ses livres, quel que soit leur sujet. Elle a une préférence pour les histoires effrayantes mais ne dit jamais non à du texte à lire, que ce soit en Galarien, Kalosien, Kantonien ou Stranaïte d’ailleurs. Quadrilingue, elle ne fait pourtant rien de ce « don » à part se plonger dans la lecture. Et pendant une bonne partie de son enfance, elle n’utilisait que le Stranaïte pour communiquer, alors malgré sa naissance en terres Kerosiennes, elle garde un puissant accent de la région native de ses ancêtres. Contrairement à la plupart de sa famille, elle prie Arkæ et les autres Saints avec ferveur, sans doute pour compenser son syndrome de l’imposteur envahissant.
Un véritable petit Rattata de bibliothèque enfermée dans son monde imaginaire, sa bulle bien à l’abri de la réalité d’une famille dangereusement dysfonctionnelle, voilà ce qu’est Ayesha. Son imaginaire a toujours prit trop de place dans sa tête de toute façon, elle pense trop, invente trop, écrit trop. Certains disent que les femmes qui savent lire sont dangereuses, Ayesha n’est dangereuse que pour elle-même. Pour expier ses péchés, il n’est pas rare de la voir zébrer ses bras de stries écarlates et profondes. Elle est convaincue d’avoir fait quelque chose d’horrible, peut-être est-ce abandonner Lazulite à son sort ou peut-être est-ce juste le fait de naître mais quelque chose cloche chez elle.
Elle l’a toujours su.
Depuis les moments de son enfance où elle s’enfermait dans sa chambre parce que les voix et les bruits l’insupportaient, depuis le jour où pour la première fois, ses sens saturés l’ont fait s’effondrer par terre, bambine, pour se mettre à hurler et à pleurer. Depuis qu’elle ne comprends pas vraiment ce qu’on essaye de lui dire, surtout quand il y a un double-sens à un mot. Depuis qu’elle s’entête, parfois trop sur certaines choses et qu’elle connait l’histoire des Saints Stranaïtes sur le bout des doigts, du légendaire qui leur est associé ainsi que de l’époque de leur existence supposée. Ayesha est différente, un peu trop au goût du monde qui l’a rejeté alors qu’elle s’isolait déjà bien assez comme ça. Finalement, même plus libre de ses mouvements que son pauvre aîné, elle finit bien vite comme lui enfermée au sein du manoir.
Pas présentable, disait sa mère, une sorte d’arriérée, un freakshow à elle toute seule.
Et ne parlons même pas de ses crises.
Pour mettre le premier pied hors du manoir familial, la jeune fille dû attendre ses dix-neuf ans. Sa mère l’avait envoyée dans une soirée mondaine un peu spéciale. Une soirée pour les « gens comme elle », avait-elle dit. Des enfants de haute naissance « spéciaux », déshérités pour la plupart, que les parents cherchaient tout de même à marier, sans doute pour faire bonne figure et s’en débarrasser une bonne fois pour toute. C’est là qu’elle l’a rencontré, Edmund Howard, un jeune homme un peu plus âgé qu’elle et fervent croyant en Arkæ. Leur première interaction fut une dispute en matière de théologie, le jeune homme refusant l’existence des Saints et clamant que seul son « Arkée » était digne d’être vénéré.
Elle a beau aimer son mari, rien que le fait de se souvenir de cette dispute fait serrer les poings d’Ayesha.
Et pourtant, ils ont continués à se parler, plus calmement après avoir été rabroués par leurs familles respectives. Edmund était vraiment un drôle de personnage, même Ayesha qui était une croyante invétérée le trouvait trop perché dans son délire. Trop prompt à juger les autres selon des textes qui n’étaient même pas exactes au sein de l’Eglise Stranaïte ! Pourtant, elle lui a tout de même donné une chance. Une chance qu’il a mis du temps à apercevoir et encore plus de temps à saisir. Bien vite, au grand bonheur de la famille Howard et de la famille Lanskoï, les deux jeunes gens se sont retrouvés fiancés et malgré tout le baratin d’Edmund sur la pureté des liens du mariage, ils n’ont pas attendu celui-ci pour passer à l’acte.
Si on peut accorder pardon à leur première fois, une petite faute due à l’alcool, on ne peut excuser les autres.
L’un comme l’autre s’étaient découverts désespérément avide d’affection sans pouvoir vraiment la donner ou la recevoir de quiconque excepté de l’autre. Edmund était peut-être un coincé avec ses manières étranges et son bigotisme idiot, il a fini par laisser tranquille Ayesha là-dessus et lui accorder l’existence de ses Saints. Il ne l’avouera à personne mais il commencerait presque à y croire d’ailleurs. Enfin, à cause de toutes leurs idioties, Ayesha tomba bien vite enceinte et il fallut avancer drastiquement la date du mariage pour éviter le scandale. Une fois ce dernier passé, la jeune fille fut comme coupée du reste de sa famille, plus de nouvelles, plus de désir de contact, comme si elle n’avait jamais existé. Un vertige bouleversant dont Edmund peine à remédier, aussi impuissant qu’elle face à la situation. Alors comme des pokémons frigorifiés sous le blizzard, ils se collent l’un contre l’autre pour se réchauffer mutuellement dans ce monde trop grand pour eux.
Ayesha voit souvent Edmund revenir amoché du travail, il n’en cache pas les causes et vide son sac avec amertume tandis qu’elle écoute patiemment, caressant la tête qu’il est venu poser sur ses genoux. Elle lui a dit à de nombreuses reprises, Arkæ n’est qu’amour, toute personne utilisant son nom pour propager la haine ou étendre le vice n’est qu’un usurpateur. Mais… Ayesha sait très bien que ce qu’elle dit à son mari ne change pas grand-chose. Il est aussi tordu qu’elle sur la question, à cheval sur des principes qui lui donnent un point de repère dans une société qui change trop vite pour lui. Il n’a pourtant jamais embêté Ayesha avec toutes ces sottises ni jamais rien imposé.
Peut-être parce qu’Ayesha n’a jamais vraiment cherché à être autre chose que ce qu’elle est : douce et passive.
Peut-être oui, mais Edmund lui accorde toute sa confiance puisqu’il la laisse libre de parcourir Bronswick – voir Keros toute entière – comme elle le souhaites. Peut-être ne devrait-il pas, Ayesha reste une Sealg de par ses parents après tout et elle leur doit toujours fidélité malgré l’abandon des Lanskoï à son égard. Un fait qu’elle essaye tant bien que mal de cacher à son mari – un mari qui n’est pas bête et qui prétends ne rien voir, faute de trouver les mots juste pour en parler. Il se fait pourtant plus protecteur ces temps-ci, surtout depuis que le ventre d’Ayesha s’est arrondi, il revient moins souvent le nez en sang et les lunettes brisées.
Il revient plus souvent tout court.
Edmund n’est qu’un sale con religieux et homophobe qui pourtant accepte sa femme dans toute son imperfection avec affection. Ayesha est une ermite qui aurait pu se faire bonne sœur tant elle veut se tenir à l’écart du monde et pourtant, elle accepte son mari et sa bêtise avec tendresse. Peut-être qu’ils ne sont que deux « freaks » livrés à eux-mêmes dans un monde trop grand pour eux, mais au moins, ils sont deux.
Et ce petit enfant qui va naître aura sans doute des parents très aimant car après tout, comment savoir qu’un bambin n’a pas de cœur quand il joue et sourit comme un petit bébé Chacripan ? Ayesha lui a déjà trouvé un nom, Victoria. Elle l’aime déjà de tout son cœur, sans savoir que cet amour ne sera jamais réciproque…
Votre pseudo – Fromage Âge – 25 ans Pronoms – Il/Lui Comment avez-vous trouvé le forum ? – JSP
Keldeo
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Just by living I'm nothing for another day | Ayesha Howard Jeu 5 Oct - 7:15
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Professeur Chardon
Highlands
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Re: Just by living I'm nothing for another day | Ayesha Howard Jeu 5 Oct - 23:42
Belle dulcinée du Poichigeon d'Edmund, cette Roucool à l'oeil brillant et le plumage soyeux ne se prend pas pour de la merde. Et qui pourrait le lui reprocher ? Élégante, soignée et intelligente, elle est à l'opposé de son compagnon. La Belle et la Bête, en quelque sorte. Ou plutôt, la Belle et le Bête. Elle aussi attend un heureux évènement, car son premier œuf attend toujours d'éclore.
ChargeJet de SableRapacexxx
Skitty
Femelle - Niveau 5
Skitty est un cadeau d'Edmund, offert en l'honneur de la Saint Valentin, mais surtout pour s'excuser de ses retards répétés et son visage toujours plus amoché au retour du travail. Il s'en veut parfois que sa femme reste seule, se demande s'il lui manque et si elle aimerait de la compagnie. Grâce à ce petit chaton, Ayesha se sent un peu moins seule. Mais surtout, elle s'ennuie beaucoup moins. On peut dire que Skitty la prépare à la vie de mère, car elle passe sa journée à chouiner pour un rien, courir partout et faire des bêtises. Espérons que Victoria sera plus sage que ça...
BluffMimi-QueueChargeCoup Bas
Tauros
Mâle - Niveau 5
La dernière chose que la mère d'Ayesha lui a dit avant de disparaitre de sa vie à jamais ? "Tu en auras besoin." Et si cette tentative non dissimulée de la faire se sentir encore plus faible et stupide qu'elle ne l'est vraiment n'avait rien d'agréable, la vieille Lanskoï lui a offert un Pokémon exceptionnel. Tauros a deux visages. Celui qu'il montre au monde : colérique, brutal, attaque avant et se pose des questions après. Il protège sa dresseuse avec sa vie et a à plusieurs reprise failli l'ôter à ceux qu'il considérait comme des menaces. Mais le visage qu'il montre à Ayesha est tout autre. C'est une force tranquille, qui se laisse caresser comme un Pokémon de compagnie, et sait prendre les décisions difficiles à sa place, sachant qu'il ôte un poids du cœur de la jeune femme.
ChargeRengorgementLance-Flammesxxx
Keldeo
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Re: Just by living I'm nothing for another day | Ayesha Howard Jeu 5 Oct - 23:42
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Re: Just by living I'm nothing for another day | Ayesha Howard
Just by living I'm nothing for another day | Ayesha Howard