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Keros FORUM POKEMON · ANNEES 60 · AVATARS 200*320 · PAS DE MINIMUM DE LIGNES
En Novembre 1965, Keros fête ses 30 ans. Désormais libre de l'égide de Galar, la région se remet péniblement de deux guerres, et la jeunesse a envie de tourner la page. Sa liberté, elle la trouve autant dans l'activisme que dans des loisirs innocents. Les combats de Pokémon, en phase pour devenir la discipline phare à Keros. La coordination, l'élevage et le métier de ranger ont également le vent en poupe. Une organisation criminelle profite de cette mode pour s'enrichir grâce au braconnage et le gouvernement ne semble pas concerné par la crise écologique et économique imminente.Lire la suite
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NOM Ueda PRÉNOM Kagome (l'oiseau en cage) ÂGE 30 ans ORIENTATION SEXUELLE Homosexuelle dans le placard
ORIGINES Kanto VILLE NATALE Céladopole DOMICILE ACTUEL Pryderi
ACTIVITÉ/MÉTIER Femme au foyer VOTRE ALIGNEMENT Asterien CARTE DEMANDÉE Aucune
CHOIX POUR VOTRE ÉQUIPE mon choix
NOM DE L'AVATAR Jill Warrick - Final Fantasy XVI
Mino
Niveau 15 ♂ Evoli
Cet évoli aux yeux vairons provient d'un élevage Kantonien très réputé, donc autant dire qu'il a un pedigree impeccable. Une véritable beauté dont il faut prendre grand soin. Mino est un peu le chaperon de sa maîtresse, qui veille sur elle quoiqu'il arrive. Est-il de son côté ou non ? Difficile à dire. En tout cas il profite de sa lignée pour agir en petit prince gâté et se croire supérieur à l'humaine qu'il surveille.
La famille Hiiragi trempe dans des affaires louches, ce n'est pas un secret. Ils tiennent le casino de Céladopole et, en plus de se faire beaucoup d'argent, profitent de l'endroit pour des transactions plus illégales. Ce n'est pas un secret, pourtant jamais les forces de police n'ont pu trouver de preuve flagrante pouvant les incarcérer. Les Hiiragi se reconnaissent facilement, à leur chevelure argentée et leurs beaux yeux bleus profond. C'est génétique, la particularité se transmet à toutes les générations suivantes. Alors quand est venu au monde un bébé aux cheveux cendrés et aux yeux d'un bleu terne, les parents ont hurlé. Ça ne pouvait pas être leur fille. Ils se sont mutuellement accusé de tous les maux, monsieur pensa même que madame l'avait trompé. Mais non, ce bébé à la tignasse gris foncé était bien le leur. A cette époque l'enfant ne doit sa survie qu'aux domestiques qui eurent pitié du mouton noir de la famille, et décidèrent de s'en occuper discrètement. Pendant longtemps la petite fut nommée "Sans Nom", "Erreur" ou d'autres surnoms tout à fait charmants. Ses parents l'ignoraient, ses aînés se déchaînaient sur elle, comme plus tard les cadets. Une vraie anomalie dans cet environnement.
Sans Nom ne connu qu'une famille toxique où elle jouait la servante pour les autres. Elle dormait à la cave, mangeait des restes et n'avait aucun accès à l'éducation. Moins bien traitée que les domestiques qui cessèrent de s'attirer les foudres de leurs maîtres. Dès ses cinq ans elle dut apprendre à se débrouiller seule, à survivre plutôt que vivre. La cruauté était son quotidien, et si on pourrait croire que ça l'a aidée à développer un fort caractère, c'est tout le contraire qui s'est passé. La petite se laissait marcher sur les pieds, ne réagissait pas aux coups ou aux insultes, presque à s'excuser d'exister. Même si elle ne comprenait pas ce qu'elle avait fait de mal elle savait que sa présence dérangeait pour une raison ou une autre. Elle s'est habituée à ce que le monde entier soit au dessus d'elle, qu'il faille toujours quelqu'un pour la dominer et lui ordonner. La maigre enfant ne se montrait jamais dans les repas organisés avec des invités, à vrai dire son existence publique était nulle. Une véritable inconnue lorsqu'elle mettait le nez dehors. Qui aurait pu la reconnaître comme une Hiiragi avec ce physique ?
La gamine grandissait sans se plaindre, sans oser ne serait-ce que supplier pour la moindre petite chose. Sauf qu'il fallait bien faire quelque chose d'elle. Malgré le fait qu'elle soit une erreur elle avait leur sang. Son père finit par voir son utilité dans le mariage, et à partir de là décida de prendre son éducation en main. Ce fut à ses dix ans qu'elle reçut son plus beau cadeau à ses yeux : Kagome. Un prénom pourtant cruel, mais qui venait de son géniteur, alors ce ne pouvait être qu'un présent pour lequel elle le remercia. Malgré ce changement elle n'eut tout de même pas accès au même niveau d'éducation que ses frères et sœurs. Pas d'école, pas de grandes études, juste les bases. Monsieur lui apprit lecture, écriture, quelques calculs basiques. Puis, surtout, les bonnes manières, l'obéissance, et les tâches dites féminines. Il ne fallait pas la rendre trop indépendante non plus, ça aurait tout gâché. L'idée était d'en faire une parfaite épouse poupée, soumise à son époux. Soumise avant tout à son père. Kagome se pliait docilement à cette éducation, déjà trop heureuse qu'on s'intéresse enfin à elle. Sans se rendre compte que c'était par pur intérêt, car elle espérait encore y voir de l'amour.
On la maria pour la première fois à seize ans à peine. Son époux était un vieil homme riche, dont l'alliance profitait aux Hiiragi. Elle ne hurla jamais autant que lors de leur nuit de noces qui se déroula sans aucune douceur. Mais Kagome ne se laissa pas abattre par cette douleur qui devient quotidienne, elle voulait se montrer digne d'être la meilleure épouse. Deux mois plus tard elle tombait enceinte, et accoucha d'une petite fille aux caractéristiques parfaites de sa famille biologique. Des cheveux argentés, des yeux bleus profonds. Une preuve, si il en fallait une, de son lien de parenté aux Hiiragi. Tout le monde fut émerveillé, le bébé couvert d'amour et des cadeaux de ses oncles et tantes. Honteusement, la jeune maman développa une forte jalousie envers sa propre fille. Qu'avait-elle de plus ? Pourquoi une telle différence de traitement ? La petite Yumi n'avait rien fait, mais c'était devenu impossible de la regarder dans les yeux ou la prendre dans les bras. On mit ça sur le compte du stress d'être parent. Maintenant, elle avait tout pour être heureuse, en tant qu'épouse accomplie et nouvellement mère. Pourtant elle ne se sentit jamais aussi triste qu'à cette époque.
Ce mariage dura cinq ans, jusqu'à ce que son mari ne décède d'une maladie. Si elle pleura sa mort, elle ne se sentait pas vraiment triste. L'héritage fut reversé entièrement à sa famille, puis elle fut remariée après les quelques mois de deuil imposés. Cet homme lui donna une seconde enfant, une autre petite fille : Ruri. Elle aussi pure Hiiragi. Furieux de ne pas avoir d'héritier mâle, Kagome subit de nombreux coups, notamment au niveau du ventre. Des coups qui la rendirent stérile, incapable d'avoir d'autres enfants. Son mari entra dans une rage folle. Pas au courant de la situation, et craignant de perdre son unique fille bonne à marier, son père orchestra l'assassinat de ce deuxième époux. Le mariage avait duré à peine deux ans. Mais comment la remarier à présent ? Elle n'était plus bonne à enfanter ! Heureusement monsieur lui trouva une nouvelle utilité après un long moment à se morfondre.
Isamu Ueda pensait avoir discrètement extorqué de l'argent aux Hiiragi, sans savoir que son stratagème était déjà connu. Sa pensée d'avoir réussi fut renforcée quand on lui proposa la main de Kagome. Malgré son handicap il accepta, se disant déjà heureux d'avoir deux filles par adoption. Ce qu'il ne savait pas, c'est que la jeune femme avait des ordres : gagner sa confiance pour mieux le trahir et le tuer. Avant tout soumise à son père elle n'avait pas pu refuser. Elle pensait faire ça vite, pour ensuite gagner son affection, comme il le lui avait promis. "Rends toi utile pour une fois dans ta vie", furent ses mots. Sauf que. Un imprévu vint tout chambouler. Contrairement à ses deux précédents époux, Isamu était tendre avec elle. Un doux ami à défaut d'être un amoureux. Plus le temps passait à ses côtés, moins elle pouvait se résoudre à lui planter un couteau dans le dos. Et ce malgré l'ombre menaçante de son père qui planait sur le jeune couple. En cas d'échec, elle était prévenu, c'était elle qui mourrait avec lui. Elle n'avait pas le droit de désobéir, cependant elle n'y arrivait tout simplement pas.
Par chance Isamu dut déménager dans une autre région pour son travail. Les éloignant de sa famille biologique et le danger qu'ils représentaient. Son père lui offrit un pokemon avant son départ. Un évoli d'une lignée respectable. Un message clair pour la mouton noir de sa propre lignée. Keros lui parut hautement plus accueillante que Kanto, en dépit de la barrière de langue. Oh elle voyait bien ne pas plaire à tout le monde avec ses yeux bridés et son accent. Mais c'était toujours mieux que les insultes de sa famille. Isamu parlait déjà la langue de Keros, il la lui apprit avec patience, à elle comme à ses filles. Yumi, la plus âgée, rentrait déjà dans la période d'adolescence. Dans les conflits avec ses parents. Dire qu'à son âge Kagome était la plus soumise des enfants, son aînée montrait le caractère inverse. De quoi être fière d'elle. Quand à la petite dernière, Ruri, elle restait encore bien trop collée à sa mère pour son âge.
Malgré ce léger bonheur, planait toujours l'ordre de son père. Allait-elle un jour réussir à rentrer chez elle couverte de gloire ?
Votre pseudo – féfé / kouto Âge – bientôt 1 an de plus Pronoms – on ne s'adresse pas à moi Comment avez-vous trouvé le forum ? – oui
Professeur Chardon
Highlands
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Pas de rubans
Re: l'oiseau en cage || Kagome Mar 18 Juil - 15:28