NOM Drung (née Egerton) PRÉNOM Bonita (Bonnie) ÂGE 22 ans ORIENTATION SEXUELLE Lesbienne
ORIGINES Galar VILLE NATALE Corrifey DOMICILE ACTUEL Doon
ACTIVITÉ/MÉTIER Propriétaire des Mines Muieral et toute nouvelle PDG de l'entreprise chargée de leur exploitation, officieusement nouvelle Cheffe de la branche Drung de la Team Sealg. VOTRE ALIGNEMENT Legatienne CARTE DEMANDÉE Carte Sealg
CHOIX POUR VOTRE ÉQUIPE 1 Oeuf surprise (type fée)
NOM DE L'AVATAR Kanroji Mitsuri - Kimetsu no Yaiba
Caractère
Ce qu'il se dit au sein de la noblesse, c'est que Bonita Drung n'est pas très finaude. On raconte aussi qu'elle aurait épousé le vieux Wilfried Drung pour sa fortune. Ce qui est assez contradictoire, est-elle une potiche ou une veuve noire ? Personne ne la connait vraiment, cette jeune femme. Silencieusement cloitrée au manoir Drung, elle a créer bien des questions sur sa personne. Mais tous les violons s'accordent sur un fait : Bonita Drung, dite Bonnie, se comporte en jeune femme écervelée la plupart du temps.
Est-ce un jeu ou un manque flagrant d'intelligence ? Et si on disait un peu des deux ? Bonnie sait qu'elle n'est pas la jeune femme la plus intelligente du monde, elle sait qu'elle manque de ruse et d'expérience pour manipuler son monde et se frayer un chemin dans le monde aristocratique. Elle est idiote et en a parfaitement conscience, elle a donc choisit de se jouer encore plus idiote qu'elle ne l'est. Quelque part, c'est rassurant et la plupart des gens ont le besoin de prendre soin d'elle et de la protéger. Il n'y a que Wilfried pour remarquer son petit manège.
Ah, le Duc Drung de Doon. Peut-on parler d'une histoire d'amour entre ces deux personnes si éloignées en terme d'âge ? Et bien, en quelque sortes, ça peut paraître bizarre à certains, voir malsain. Mais de tous les maris potentiels que sa famille de noble galariens lui a proposé, c'est le vieux Drung qu'elle a choisit. Parce qu'il est gentil, farceur et attachant quelque part. Bien-sûr, il ne l'a jamais contrainte à quoique ce soit, si ils dormaient dans le même lit, c'était pour discuter jusqu'à tard dans la nuit. Car Wilfried avait besoin d'une oreille attentive, Bonnie aussi. Finalement, il était un drôle de couple.
Enfin, couple, le mot est un peu fort. C'était plutôt deux amis proches même si il faut admettre que jouer la comédie devant tous le monde et provoquer le scandale était très amusant. Auprès de son époux, elle se sentait capable d'affronter toute l'aristocratie du monde entier, maintenant sans lui, elle se terre dans son manoir et n'ose plus en sortir. Elle est de ce genre de personne qui se sente forte en groupe mais faible une fois isolée. Elle s'est découverte pragmatique dans son deuil, elle a accepté de reprendre le contrôle de la branche Drung des Sealg. Une des plus vieilles et des plus importantes. Ce n'est pas dans son caractère et elle n'aime pas blesser les pokémons, elle sait aussi que ce rôle a pesé sur les épaules de Wilfried toute sa vie et qu'il le détestait autant qu'elle.
Elle n'aime pas vraiment se rebeller pour ce genre de sujet trop importante, non non. Elle aime bien se montrer mutine pour les petites choses de la vie mais quand ça commence à parler sérieux, elle rentre dans le rang sans trop faire d'histoire. Elle se déteste un peu pour ça, elle aimerait avoir le courage de lever la tête et de dire ce qu'elle pense tout haut mais, en plus de penser ne pas être assez futée pour assumer les conséquences, elle est une véritable froussarde. Pas seulement pour jouer les rebelles mais aussi en générale, Doon est donc la pire ville où elle aurait pu vivre. Maintenant, le manoir Drung lui paraît terrifiant, plongé dans le silence et la pénombre.
Maintenant, Bonita oscille entre les phases d'euphorie où elle organise des bals et des soirées de gala malgré la période de deuil qu'elle devrait endurer et entre les moments de dépression profonde où elle reste alitée à longueur de journée, s’accommodant de la pénombre et des bruits de bois grinçant la terrifiant pourtant en temps normal. Elle se sent instable, seule au monde, un radeau à la dérive qui cherche désespérément quelque chose à quoi s'accrocher. Et quand la fatigue l'emporte, elle se laisse couler uniquement pour mieux émerger plus tard avec plus de ferveur.
Mais son nouveau statut l'effraie aussi, avec quel homme va-t-on essayer de la marier ? Parce qu'elle sait que l'on va sans doute l'obliger à faire ainsi. Combien de temps va-t-on lui laisser ? Quelque mois ? Un an tout au plus, le temps de faire son deuil proprement. Mais après ? Un vieil homme excentrique était un compagnon idéal et conciliant, connaissant la vérité à son égard et ne l'ayant jamais jugé pour. Mais qui sera son nouveau mari ? Une peur sans nom l'envahit rien qu'en effleurant cette pensée. Alors elle préfère fêter ou pleurer selon son humeur, sans jamais se projeter dans le futur.
Physique
Bonnie a des formes généreuses, c'est le moins que l'on puisse dire. Une beauté galarienne, disent les nobles, pour compenser son manque de cervelle. Tout d'abord, elle est petite, avec son mètre cinquante-cinq, ce qui accentue ses formes bien rondes. Une grande poitrine et des cuisses bien fournies également, elle fait tourner bien des têtes.
Sa peau est douce et bien clair comme l'époque l'apprécie et ses petites pommettes rosées font tout son charme, elle a des lèvres superbes également et de grands yeux de jade. Son petit visage ressemble à de la porcelaine sculptée par le plus doué des artisans, bien entouré par de beaux cheveux couleur rose se terminant par de longues mèche verte feuille. Souvent nattée, parfois aux cheveux détachés, ses cheveux descendent jusqu'à ses hanches. Sa couleur inhabituelle laisse parfois penser aux gens qu'elle use de teinture. Chose étrange : elle est en réalité née ainsi.
Bien sûr, elle ne sort pas sans son maquillage et ses parfums senteur florale. Elle a toujours l'air d'une potiche, la pauvre, peut-être qu'elle use un peu trop des artifices sans vraiment en avoir besoin. Une bonne preuve de cela : elle porte normalement des lunettes mais peu de gens le savent. Même Charlotte Nightingale, sa plus proche amie, ne s'est jamais rendue compte que la jeune femme voit aussi loin qu'un Solochi. Pour compenser, elle a plutôt une bonne ouïe et dans le passé, sa chère Rosa compensait aussi avec son odorat mais à présent, elle doit se débrouiller seule ou, à son plus grand désarrois, porter ses fameuses lunettes.
Question vestimentaire, elle porte uniquement des robes et constamment des hauts-talons. Elle adore le froufrou et les bijoux en tout genre et même si elle a une préférence pour ce qui est précieux, elle ne dit pas non à des bijoux fantaisie si ils sont à son goût. Elle aime ce qui est coloré en général mais à bien-sûr une préférence pour le rose ou le violet, les couleurs féminines par excellence. Elle aime être féminine, Bonita, elle aime correspondre à l'image de la jolie poupée Cindy, pas par obligation mais parce que ça lui plait. Ce qui n'arrange pas son image d'idiote plus belle qu'intelligente.
Mais Bonnie s'en fiche, elle aime s'habiller comme elle l'entends. Au moins quelque chose que sa passivité ne lui prendra pas.
Histoire
Née sans vraiment être attendue dans une famille noble, fortunée mais déjà très nombreuse. Dès sa naissance, elle sème déjà le trouble, intersexe, une marque de honte pour ses parents. On fait taire les médecins, on charcute l'enfant pour le faire entrer dans une case. C'est hasardeux mais ça devrait marcher. On fait tout pour l'orienter sur le chemin de la masculinité dans le plus grand des secrets, comme si Bonnie n'avait jamais existé. C'est une sorte d'expérience pour ses parents, car elle peut être utile plus tard. Mais on pense au début de sa vie qu'elle ferait plutôt un bon garçon. Forcement, ça ne fonctionne pas à tous les coups, les hormones sont encore une science qui débute après tout.
Alors malgré ces dernières, malgré ce masculinisme forcé qu'on essaye de lui inculqué, « Edward » a du mal, elle galère dans son enfance, son corps change trop vite pour elle et finalement, il est temps de constater avec déception pour ses parents que la thérapie hormonale s'est foiré. On pourrait réessayer mais... La gamine se comporte déjà comme ce que son père appelle avec mépris « une pédale », alors autant essayer l'autre bord. Edward devient Bonita avec beaucoup de confusion, ça passe de A à Z sans prévenir, juste sur un coup de tête de ses parents, comme ça.
Enfin, c'est plus facile comme ça pour Bonnie, elle adore porter des robes et mettre le maquillage de Maman, même si cette dernière la déteste, même si quand elle saura, elle lui foutra sa main dans la gueule. Bonnie ne sait pas pourquoi ses parents la considèrent comme un monstre, une anomalie, une erreur d'Arkée. Elle ignore aussi pourquoi elle n'a pas le droit de voir ou d’interagir avec ses autres frères et sœurs ou avec l'extérieur en général. C'est qu'elle ne fait pas encore tout à fait petite fille, enfin, pas assez au goût du père. D'ailleurs, ce dernier ne sera jamais satisfait de rien. La mère se contentera d'être une figure transparente, invisible à ses cotés. Peut-être qu'elle aurait voulu faire plus mais elle n'intervint jamais.
Bonnie grandit à coup de corset, de coup de règle de fer sur les doigts et d'hormones qui la rendent malade en permanence. Mais elle fait de son mieux pour être une bonne petite fille comme papa et maman voudrait, ce n'est pas évident. C'est difficile de rendre heureux des gens qui ont décidé d'être déçus toute leur vie de leur fille à cause de cette « imperfection » de naissance. Quelque chose que Bonnie ne saura jamais d'ailleurs, elle vivra toute sa vie dans l'ignorance. Juste des souvenirs très anciens et très fugaces d'elle habillée et traitée en garçon. Alors elle ne comprends pas exactement son rejet si puissant de la masculinité en général. Ce qu'elle rejettera aussi plus tard c'est la rigueur trop strict de son apprentissage. Adieu le corset et les poses toutes droites avec une pile de livres sur la tête. Mais en attendant, c'est ce qu'elle doit se taper tous les jours.
Avec l'apprentissage de la lecture vient la découverte des romans d'amour, très vite, elle trouve sa passion dans ce genre de lecture. Une évasion de son quotidien infernal, elle aime ces histoires qui se finissent par une promesse de vie heureuse, elle trouve les protagonistes charmants, surtout les princesses en réalité. Elle admire la féminité de Blanche-Neige dans le film de Wattouwalt Disney et des autres princesses dans les beaux livres illustrés dans la grande bibliothèque du manoir familial. Elle passe sa vie dans les livres à idéaliser les relations romantiques tandis que ses relations familiales sont désastreuses. Enfin, plutôt inexistantes.
Ce n'est que vers onze ans qu'on lui permets enfin de sortir du manoir, de s'aventurer dans le domaine, de jouer à la dinette avec les pokémons sauvages. Bonnie s'attache beaucoup à eux, surtout aux Fées, elle discute un peu avec eux, elle aime jouer avec ces derniers, sauvages et têtus, parfois un peu dangereux. Ses seuls amis. Alors quand à quatorze ans, on la balance dans le monde de la haute société, c'est un énorme choc, elle manque de perdre pied, de faire des choses dont on ne parle pas, comme se faire mal ou se donner la mort. Elle cache tout ça pour elle, marque juste tout dans un carnet qu'elle cache bien sous une latte du plancher de sa chambre.
Un jour, sa mère la surprends en train d'écrire, Bonnie pense qu'on va enfin l'aider mais la génitrice lui demande simplement de ne pas ébruiter ces mots, de continuer ce qu'elle fait depuis tout ce temps : garder tout pour elle. Sinon, son père pourrait s'énerver. C'est avec cet événement et l'adolescence que Bonnie réalise que ses parents ne sont pas des dieux et que les rendre heureux n'est pas une obligation pour elle. Ce qui tombe bien car c'est à dix-huit ans qu'on lui demande de partir pour Doon pour épouser le vieux Duc Wilfried Drung. Enfin, c'est l'un des candidats mais c'est vers lui que penche ses parents et étonnement, après une brève rencontre, Bonnie est aussi de leur avis. Car Wilfried cache le même secret qu'elle : lui, quand il était enfant, préférait les preux chevaliers aux princesses.
Du domicile familial, Bonnie ne garde que Rosa, sa petite Snubbull teigneuse. Elle n'aime pas vraiment l'ambiance de Doon et a peur des spectres mais la présence de Wilfried l'aide beaucoup. Et leurs noces, quelles noces ! Bonnie a eut le droit à une si belle robe et à une alliance avec un diamant rose, le plus rare de tous ! Jamais elle ne s'est sentie aussi comblée. Avec le vieil homme, elle s'est décidé à jouer un petit jeu : jouer les amoureux transis, et ça fonctionne plutôt bien, tout le monde tombe dans le panneau, la plupart trouve ça bizarre, voir choquant, ça amuse beaucoup Bonnie. Ça lui fait oublier sa peine concernant le manque de fées aux alentours. Bien que les Mimiqui et Grimalin soient parfois de bonne compagnie si on oublie que la forêt Eagal est terrifiante.
Doon n'est pas si terrifiante quand on apprends à la connaître, Bonnie y trouve même une jeune femme pour qui son cœur bats pour la première fois. Charlotte Nightingale. Mais cette dernière est déjà fiancée et amoureuse de son homme, un premier mini-chagrin d'amour pour Bonnie. Wilfried en entends parler pendant des semaines, voir des mois. Elle est plus tard tout de même ravie d'assister aux noces de la jeune femme et de la voir réaliser ses rêves en ouvrant un orphelinat dans son manoir trop vide. Tout aurait pu continuer ainsi, Bonnie et Wilfried, jouant le couple parfait, parlant chaque soir comme de bons amis du temps qu'il fait mais voilà.
Wilfried est mort. Elle a été la première à le constater et en reste profondément traumatisée. Elle ne peut pas oublier son regard vide ni sa peau froide au touché, elle qui s'inquiétait de le voir avec un air si grave. Et pour couronner le tout, Rosa a rejoint Wilfried dans la tombe, prématurément cette fois, une mauvaise rencontre dans la forêt Eagal. Les Sealg, pensent les Rangers, puisqu'elle a disparut en même temps que la vague d'enlèvements de Zorua. C'était avant que l'on retrouve son corps mutilé et inanimée, prise dans un piège à Ursaring. Deux deuils dont Bonnie peine à se remettre, ses deux meilleurs amis aussi brusquement arrachés de sa vie. Quelle sotte pourtant, elle aurait dû y être préparée !
Sans compter que maintenant, la branche Sealg de Doon réclame son chef. Et en l'absence d'héritier Drung, seule Bonnie peut prendre les commandes. Un rôle qui ne lui convient pas du tout mais elle ne fait confiance à personne pour lui dicter sa conduite à ce sujet. Elle sait ce que valent les Sealg, des déchets de l'humanité pour la plupart, des fous désespérés pour les autres, aucun n'est digne de confiance à ses yeux. Comme Charlotte serait déçue de savoir que sa bonne amie est l'une d'entre eux à présent ! Mais Bonnie a d'autres choses à penser, comme cette demande harassante qui pèse sur ses épaules, ses parents comme les Sealg veulent d'elle un enfant, un mâle si possible. Mais surtout un nouveau mari.
Elle ne veut ni de l'un ni de l'autre, pauvre Bonnie. Alors pour oublier cette vie trop bancale et pleine de doutes, elle mène son train-train quotidien à coup de fête le lundi et de dépression solitaire le dimanche. Peut-être qu'avec un peu de chance, tout décantera tranquillement et que ses problèmes se résoudront d'eux-même...
Votre pseudo – Fromage Âge – 25 ans Pronoms – 1l/lui Comment avez-vous trouvé le forum ? – Chiel.
Invité
Invité
Jeu 6 Avr - 2:42
le dé pour voir si mon œuf au plat aura une couleur exotique
Keldeo
Pas de cartes
Pokédollars : 2178
Pas de badges
Inventaire : //
Pas de rubans
Keldeo
Jeu 6 Avr - 2:42
Le membre 'Bonnie Drung' a effectué l'action suivante : Lancer de dés
'Dé Shiny 1/10' :
Professeur Chardon
Pokédollars : 2037
Pas de badges
Inventaire : //
Pas de rubans
Professeur Chardon
Jeu 6 Avr - 2:48
Félicitations !
Tu es validé !
Moi quand tu fais des persos complets à partir de mes PNJ :
Au passage, ton œuf contient un petit Dedenne ! Bon jeu !