NOM Pavlichenko PRÉNOM Kaz ÂGE 24 ans ORIENTATION SEXUELLE Il ne s'est jamais questionné dessus...
ORIGINES Strana VILLE NATALE Magnetongorsk DOMICILE ACTUEL Glenn
ACTIVITÉ/MÉTIER Ex-Champion type Acier de Magnetongorsk & éleveur spécialisé en pokémon de type Acier VOTRE ALIGNEMENT Ohanien CARTE DEMANDÉE Éleveur
CHOIX POUR VOTRE ÉQUIPE Mon choix & Un choix du staff (type acier)
NOM DE L'AVATAR Eugeo – Sword Art Online
Zoya
Niv.45 Femelle Forgelina
Zoya est le tout premier pokémon de Kaz, celle qui l'a accompagné dans ses débuts et qui fut presque sa mascotte même. Elle aimait beaucoup se battre et affronter les adversaires les plus violents possibles, cette vie de campagne tranquille ne lui convient pas vraiment. Mais tout comme son dresseur, elle prends sur elle, trop attachée à Kaz pour vouloir partir. Cependant, ses penchants un peu violents ressurgissent quand Kaz est en mauvaise passe ou qu'il se fait agresser par des xénophobes ou transphobes en tout genre. Rien de gravissime, donc.
Marteau MastocVampibaiserClonageLumicanon
Histoire
Qui aurait cru qu'une dictature comme celle de Strana possédait aussi sa course aux badges et à la ligue ? Oui, certes, cette route est complexe et tordue par la propagande mais cela reste étonnant quelque part. Et Kaz ? Disons qu'il est une part de tout ça. Enfin, était... C'est compliqué, en effet. Maintenant qu'il est une fugitif, réfugié et protégé par le gouvernement Kerosien, on ne peut plus trop dire qu'il a un rôle à jouer à Strana. Sauf celui de traitre, bien entendu. Mais avant ça, et bien, il était une véritable star. Peut-être était-ce ses talents de dresseur assez impressionnants pour son âge ou le statut d'héroïne de guerre de sa mère mais il est quasi-certain que le gouvernement le mit en avant tel une affiche de propagande à une certaine époque. Son nom était alors Alina, mais ça n'a plus vraiment d'importance.
Son histoire débute à Magnetongorsk, une ville industrielle immense qui fut par chance épargnée par la guerre civile qui détruisait la moitié du pays. La mère de Kaz fait parti des Stranaïtes rouges, elle est sniper, une sacrée femme, tellement qu'elle récolte le surnom de « la faucheuse » sur le champ de bataille. Les Stranaïtes bleus la craignent comme la peste ! Le père de Kaz, lui ? Ah et bien, ce n'est rien de moins qu'un général et un fin stratège qui remporta plusieurs victoires pour la Mère Patrie. Ce n'est pas rien, en effet. On peut dire que la vie de Kaz au sein de la nouvelle Strana débutait bien. Il n'eut ni à se plaindre de la faim ni du froid mordant de son pays. Et lorsque sa mère reprit la place de l'ancien champion de la ville – qui avait été déclaré ennemi politique, il se retrouvait à avoir un destin tout tracé.
On peut mentir, dire que dès le début, Kaz aspirait à la liberté et qu'il se sentait enfermé dans ce chemin tracé pour il tout comme il l'était dans les robes qu'on lui obligeait à porter, mais il n'en était rien. Il était heureux, vraiment, satisfait de remplir son rôle de femme et de citoyenne modèle. Peut-être est-ce à cause de la propagande, à cause de sa place aisée ou quelque chose du genre mais il vivait très bien sa situation et en était plus que satisfait. Seul ombre au tableau, ses parents s'entendaient de moins en moins bien et finirent par se séparer d'un commun accord. Pas de divorce, ça n'était pas vraiment permit, juste faire chambre à part tout en prétendant devant la foule qu'ils étaient toujours le couple parfait, symbole de la révolution. Kaz ne comprends pas trop mais il saisit au moins que ses parents ne s'aiment plus et qu'ils jouent les clowns devant les caméras. Ça le blesse plus que ça ne devrait.
En grandissant, Kaz ne prends pas vraiment conscience des choses, encore bercé par les mensonges de la Mère Patrie. Bien que la femme ait toujours le rôle traditionnel de celle qui gère le foyer et les enfants – qui doivent être nombreux pour la gloire de Strana, on lui permet de jouer un autre rôle. Donc ce n'est pas si grave, n'est-ce pas ? Il peut devenir dresseuse, un destin d'exception. Et pour cela, il doit s'entraîner. Sa mère prends en charge la totalité de son éducation, elle est stricte, sévère même, mais le jeune garçon ne manque pas d'enthousiasme. Il se plaît à combattre en compagnie de son tout premier pokémon, Zoya, une Forgerette originaire d'un élevage destiné à dresser les pokémons travaillant dans les usines. C'est alors qu'il découvre son don. Quelque chose de très spéciale, quelque chose qui le fait sentir différente et qui chamboule sa perception des choses.
Kaz comprends les pokémons. Il ne sait pas vraiment leur parler mais il ressent au plus profond d'elle leurs émotions, tel un Lucario. Son lien avec Zoya est si fort qu'il n'a pas besoin de mots, c'est un duo redoutable. On ne peut pas dire qu'à quatorze ans, il dépasse déjà sa mère en terme de combat pokémon, non, bien loin de là. Mais pour son âge, il est déjà assez douée en la matière. Bientôt, de nouveaux pokémons s'ajoutent à son équipe : Lucario, Corvaillus, Pingoléon et Pachyradjah. Des pokémons combattants, pas comme ces déchets miniatures que produisaient les nobles Stranaïtes. Ceux-là sont formés pour se battre jusqu'à la mort. Et c'est justement ce qui commence doucement à effrayer Kaz. Quelque chose ne va pas, il n'aime pas ça. Ça ? Il ne sait pas encore quoi mais ce n'est pas normal.
À la puberté, c'est le début de la fin. Kaz voit son monde dégringoler peu à peu. La béatitude de vivre dans un monde parfait vire à la peur, voir la paranoïa de se rendre compte que ce monde n'est pas aussi parfait que l'on pensait. Principalement parce qu'elle porte une « tare », il n'est pas... Pas vraiment une fille, comme tout le monde pourrait le croire. Il déteste son corps, ses seins qui commencent à apparaître, ses hanches qui se dessinent doucement. Des fois, quand il se regarde devant le miroir, il a envie de frapper dedans, ou plutôt de s'arracher ses parties du corps parasites. Voilà, Alina n'est pas vraiment Alina, Alina est imparfait, Alina est Kaz. Mais ça ne se fait pas, il est dégouté par tout cela et le cache au plus profond de lui-même. Mais être différent permet de voir le monde sous un autre angle. Cette ferveur avec laquelle le peuple acclame le régime communiste n'est pas naturelle et le jeune homme commence à remarquer que certains tremblent plus qu'ils n'acclament. Et que ces derniers sont les premiers à disparaître. Malgré tout, il tient bon, il se raccroche aux espoirs de ses parents, l'espoir de voir leur fille devenir la prochaine championne de Magnetongorsk.
Plus il grandit, plus ses formes deviennent remarquables, peut-être un peu trop à son goût. Elles attire le regard des hommes et il n'aime pas ça. Il se sent de plus en plus mal à l'aise dans ce drôle de monde. Son don ne lui apporte pas vraiment de réconfort, au contraire, il ressent la souffrance et l'épuisement des pokémons entrant et sortant des usines chaque jours. Il n'aime pas les voir utilisés comme des outils mais personne ne semble s'en soucier sauf lui, alors pour compenser, il traite les siens comme des rois. Ce qui ne plait pas vraiment à sa mère, mais elle laisse couler. Après tout, un lien fort doit se tisser entre le dresseur et ses pokémons, elle suppose que c'est normal. Quand Kaz atteint ses vingt-et-un ans, sa mère se retire, laisse sa place de championne à sa fille – ou plutôt son fils. Elle lui fait confiance, elle sait qu'il peut prendre la relève.
Kaz devient alors une véritable égérie au service du gouvernement, il a une belle bouille bien féminine, doué pour son âge et représente, de par sa spécialité de type, le prolétariat par excellence. Des affiches de lui sont distribuées dans tout le pays, il devient une véritable idôle au service de la Mère Patrie. Ses parents sont fiers de lui, tout va pour le mieux mais pas pour lui, enfin, en apparence seulement. Celui qu'on nomme encore Alina a peur, chaque faux pas peut le conduire au gouffre, les pokémons sauvages venus de l'Est lointain lui ont raconté ce qui arrive aux « indésirables » du régime communiste. Il craint pour sa vie et celle de ses parents alors il tient bon malgré tout, pendant un an, deux ans, trois ans. Puis il craque. Il n'a nulle autre confidente que sa mère et malgré la peur d'être rejeté par cette dernière, il se confie à elle. Il raconte tout, sa « tare », son don, sa peur, son dégout, tout y passe.
La mère de Kaz aurait dû en toute logique et pour sa propre sécurité le rejeter ou le sermonner mais non. Elle est peut-être sévère et un peu trop autoritaire mais elle aime sa fille – son fils ?, son unique enfant, la prunelle de ses yeux. Bien sûr, elle ne croit pas en son don et est horrifiée par sa « tare », mais elle sait ce qu'il arrive aux personnes comme lui. Elle sait aussi que son fils n'a plus la force de prétendre. Alors elle organise sa fuite, une héroïne de guerre a beaucoup de contacts. Un ancien collègue a un poste à l'ambassade de Keros, fort bien. La mère de Kaz se fiche bien de sa propre sécurité tant que son fils est à l’abri. Elle sait qu'elle signe son arrêt de mort mais c'est un moindre sacrifice. Bientôt, « la championne Alina » passe d'héroïne à traitresse, finit les louanges, finit les belles affiches, finit l'adrénaline des combats. Le jeune homme devient l'ombre de lui-même.
Pas de nouvelles de sa mère, pas de nouvelles de son père non-plus, pas de nouvelles du pays tout court, c'est comme si il n'avait jamais existé. Damnatio memoriae, c'est le sort que réserve Strana aux traitres comme lui. Alors il se terre, se fait discret sous la protection de Keros et de ce mystérieux protecteur de l'ambassade Stranaïte. En un an, il a apprit à parler la langue, plus ou moins. On le regarde encore un peu mal, à Glenn. Mais avec le temps ça passera sans doute, du moins il l'espère. Son élevage se porte bien, type acier, on ne change pas une équipe qui gagne. La peur n'est pas partie, elle est toujours là. Il a changé d'identité, partiellement mais ne peut pas se résigner à abandonner le nom de sa mère. Celle qui a sacrifié sa vie pour qu'il soit là, libre. Pour qu'il soit lui-même.
Il est seul, avec ses pokémons, sans aucun espoir de trouver un compagnon -ou une compagne?- ou de changer sa vie. Il se sent bien, plus ou moins. Sauf quand les crises arrivent et qu'il se fait du mal, sur ce corps qu'il déteste et qu'il cache du mieux qu'il peut. Il lui arrive souvent de se perdre dans la nature, de fuir la réalité. Ça lui fait du bien. Des fois il en a assez d'avoir peur, des fois il aimerait qu'un espion Stranaïte le trouve pour lui tirer une balle dans la nuque. Puis il se souvient du sacrifice de sa mère, de tout ce qu'il a perdu en chemin pour en arriver là et il regrette. En attendant, il cache tout sous un beau sourire et une aimabilité à toute épreuve. Il se dit qu'après tout ça ira et que demain est un autre jour...
Votre pseudo – Fromage Âge – 25 ans Pronoms – Il/lui Comment avez-vous trouvé le forum ? – Avez-vous vu ces belles quenouilles?!
Les opposés s'attirent, c'est bien ça, l'expression, non ? Scalpion est l'exact opposé Zoya. Douillette, patiente et contemplative, Kaz l'a découverte un beau jour en train d'admirer les fleurs de son jardin. Elle a décidé de rester, et un véritable lien s'est fermé entre elle et la Forgelina.
GriffeTailladeGroz'YeuxCoupe Psycho
Mordudor
Asexué - Niveau 5
Mordudor est un véritable porte-bonheur pour Kaz et son élevage. Il a découvert le Pokémon dans la ferme en ruine qu'il a acheté et n'a jamais cherché à le déloger. Le petit lutin d'argent est toujours de bonne humeur, parfois un peu trop, mais il aide son dresseur à se lever aux aurores quand le moral n'est pas là. C'est peut-être juste une supersitition, mais il a l'impression que c'est grâce au spectre que ses finances se portent bien. Il laisse même le Pokémon faire ses finances à sa place. Il sait qu'il peut lui faire confiance.
ÉtonnementChargeRayon Gemmexxx
Ferdeter
Mâle - Niveau 5
En voilà un Pokémon imposant ! Digne d'un ancien champion d'arène de type Acier ! Ce géant est apparu un beau jour d'automne chez Kaz, retournant par l'occasion toute la terre. Ferdeter n'est pas malin... son cerveau n'est pas à la hauteur de son corps de Pokémon Baron. Au moins, il sait se rendre utile. Il a des gros bras et des muscles d'acier qui aident Kaz au quotidien, bien mieux que ne le pourrait un attelage de Bourrinos.
ChargeLigotageArmureTunnel
Keldeo
Pas de cartes
Pokédollars : 2178
Pas de badges
Inventaire : //
Pas de rubans
Keldeo
Mer 29 Mar - 3:05
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