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Ultimate bastard - Hazel
Hazel Crimson
Hazel Crimson
Ultimate bastard - Hazel Carte_12
Ultimate bastard - Hazel Miniature_215_EB
Pokédollars : 14
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Inventaire : - 1 Pokéball
- 1 Dé d'Or
Pas de rubans
Hazel Crimson
Ailleurs
Dim 18 Sep - 23:15   

Hazel Crimson

Identité

NOM Crimson
PRÉNOM Hazel
ÂGE 22 ans
ORIENTATION SEXUELLE "Sale pédale", comme il dit

ORIGINES Almia
VILLE NATALE Véterville
DOMICILE ACTUEL Nomade

ACTIVITÉ/MÉTIER Trafiquant de Pokémon et voleur à ses heures perdues
VOTRE ALIGNEMENT Citoyen
CARTE DEMANDÉE Sealg

CHOIX POUR VOTRE ÉQUIPE Mon choix

NOM DE L'AVATAR Ranta - Grimgar

ton image
imageFarfuret
Farfuret ♀ niveau 25

On ne peut pas dire que ça soit le grand amour entre Farfuret et Hazel. Le fait que le Pokémon n'ait pas de surnom en est témoin. Ce n'est pas pour autant qu'ils ne forment pas une équipe terriblement efficace. Ils se connaissent bien, marchent parfaitement en tandem, et Farfuret est la seule créature pour laquelle Hazel a jamais eu une once de respect.

Poing Glace Triple Axel Griffe Acier Vive-Attaque

Histoire

TW : Hazel (et accessoirement : v***, inc****, meurtre)

“T'es vraiment qu'un gros fils de pute, Hazel !”

S'ils savaient comme ils ont raison. Hazel a grandi dans un orphelinat et n'a jamais connu ses parents. C'est ce qu'il raconte à qui veut l'entendre, car ça vaut mieux que d'annoncer au monde entier qu'on est littéralement le fils d'une pute. Enfin non, une “femme libre”. Une femme libre qui profite de son corps pour se faire de l'argent dans le dos de son mari. Et les affaires marchent bien, jusqu'à ce que naisse un petit garçon.

“Ah le bâtard !”

La venue au monde d'Hazel n'enchante personne. Ni son père, qui ne reconnait l'enfant que par nécessité, ni sa mère, qui aurait préféré que la supercherie ne soit pas découverte. Si elle avait su qu'il naitrait brun, et pas roux comme son mari, elle aurait rendu visite à une avorteuse. Ça, elle n'a pas manqué de le lui rappeler à chaque brûlure de cigarette qu'elle laissait sur ses bras. Hazel n'était pas désiré et il n'en a jamais douté.

Son “père” ne mâche pas ses mots non plus. Il le hait, il le lui a dit plus d'une fois. Il a ruiné son couple, il a ruiné sa vie, alors il a décidé de ruiner l'enfant à son tour.

“Même tes parents voulaient pas de toi..."

C'est plus compliqué que ça...
Ses parents ne l'aiment pas, mais ils ne font rien pour s'en débarrasser, ça ferait mauvais genre. Les voisins, en revanche, ont assez de jugeote pour remarquer que quelque chose ne tourne pas rond. Que ce gamin est étonnement violent et solitaire pour son âge. Que ça crie beaucoup, dans la maison d'à côté, et que le petit est terrifié par son père.

Alors un jour, on arrache Hazel à ses parents, on le case dans un orphelinat. On ne lui explique pas pourquoi. On lui dit juste que papa et maman ne peuvent plus s'occuper de lui. On le prend pour un con et il déteste ça. Alors même si les adultes de l'orphelinat s'occupent bien de lui, il ne les laisse jamais l'atteindre. Il préfère griffer et mordre que de se laisser consoler et prendre dans les bras. Très vite, il devient

"Sale gosse !"

On pardonne ses premiers débordements. À l'école, il n'écoute rien, casse du matériel et embête ses camarades. À l'orphelinat, rebelote, il se retrouve toujours à se battre ou à harceler les plus faibles. On se dit qu'il cherche de l'attention. C'était vrai au début. Il aimait bien se faire engueuler, avoir tous les yeux sur lui et énerver les autres.
Mais bien vite, c'est devenu autre chose.

Il aime se sentir puissant. Il aime dominer. Il adore quand on le supplie d'arrêter de frapper, quand on pleure parce qu'il est sur le point de casser un bras. Ces premières années de sa vie à se sentir comme un moins que rien s'effacent. Maintenant, c'est lui le plus fort. Et il compte bien le rester.

“Pédale, va !”

Il a bien remarqué, alors qu'il grandissait et que son corps changeait, qu'il ne s'intéressait pas aux filles comme ses camarades. Qu'au contraire, les corps masculins lui faisaient ressentir des choses. Il n'en parle à personne. Il sait que c'est honteux, mais ça ne l'empêche pas de cacher des magazines dans sa chambre. Ça ne l'empêche pas de reluquer certains garçons de son âge. Il n'ose pas s'en approcher, pas de façon romantique en tout cas. Il préfère la violence, c'est un langage qu'il connait.

Il en a honte. Horriblement honte. Accepter d'être homosexuel après des années d'abus de la part de son paternel est une tâche impossible. Comment certains peuvent bien vivre leur attirance ? Il n'arrive pas à le concevoir. Ça le dégoûte. Mais il ne peut pas s'arrêter de fantasmer en secret.

"Voleur ! Vaurien !"

Il a grandi, le voilà adulte. Il aurait préféré rester enfant. Maintenant qu'il a dix-huit ans et qu'on la viré de son chez-lui, il perd son statut, sa force, absolument tout. D'autant qu'il n'est ni très grand, ni très bien bâti pour un jeune homme de son âge. Il ne sait rien faire de ses dix doigts. Rien... à part voler.
Ça, c'est quelque chose qu'il a toujours su faire. Quand on grandit dans une famille comme la sienne, on apprend à se faire discret. Il ne s'est jamais gêné pour se servir un peu dans le bureau de la directrice, pour s'acheter des bonbons, étant petit, puis des clopes en grandissant. Il s'est fait pas mal de fric en les revendant aux autres ados de sa classe, à l'époque, des qui étaient moins adroits que lui pour se fournir.

Alors il continue, mais avec des substances plus fortes que le tabac. Ce n'est pas honnête mais ça paie bien. Et puis franchement, depuis quand il en a quelque chose à foutre de ce qui est honnête ou non ? Si sa vie lui a appris un truc, c'est que l'argent est roi. L'argent, c'est le pouvoir. De toute façon, il sait déjà qu'il ira en enfer, alors autant bien se faire plaisir avant de crever comme un chien.

"... je t'aime."

Ce qui a poussé cet imbécile à lui tomber dans les bras, il ne l'a jamais su. Il ne s'en est jamais plaint non plus. Il s'appelait Aeos, il l'a trouvé dans un bar gay alors qu'il était de passage à Véterville. Il pensait en faire un plan d'un soir, mais le jeune ranger le voyait autrement. Et ça, Hazel s'en est vite rendu compte. Il y avait, dans les yeux de ce garçon, quelque chose qui voyait du bon en lui. Et comme il aimait ça.

Non, il n'aimait pas Aeos, mais il aimait voir son reflet dans ses pupilles. Comme s'il était l'être le plus important sur Terre.

Mais il finit par s'ennuyer de faire semblant de l'aimer. Aeos, toujours heureux, à la vie parfaite, avec une famille qui l'aime, le travail de ses rêves et qui croit sincèrement faire partie d'un beau couple. Paradoxalement, il finit par détester ce garçon autant qu'il aimait ce qu'il représentait. Il a envie de le briser.

Il a commencé à jouer avec. Pour voir jusqu'où il pouvait le pousser avant qu'il ne dise non. Quelle chiffe molle, cet Aeos. Il n'a jamais rien refusé, du moins, il suffisait d'insister ou de hausser un peu la voix. Pire qu'un Ponchiot, il restait malgré les cris, malgré les coups, malgré les crises de jalousie et les insultes. Il suffisait d'un bisou de temps en temps pour garder l'illusion complète.

"Faut qu'on parle..."

Ce n'était ni la première, ni la dernière fois qu'Aeos menaçait de le plaquer. Toujours pour des broutilles. Mais il revenait toujours avec la queue entre les jambes, à chaque fois plus manipulable que l'autre. Mais cette fois, il avait l'air sérieux, trop sérieux. Il a fallu trouver une excuse, une menace, n'importe quoi.
Ses parents ne savaient pas pour leur relation. En voilà une bonne raison de ne pas le plaquer ! Et pourtant... pourtant cet abruti est parti en claquant la porte, et cette fois, il n'est pas revenu.

Hazel est fou de rage. Depuis quand cette petite merde ose s'opposer à lui ? Est-ce qu'il le prend pour une tapette, incapable de tenir ses promesses - et dans ce cas des menaces ? Il compte bien lui montrer de quel bois il se chauffe. Il compte bien ruiner sa vie s'il ne veut pas faire partie de la sienne.
Ses parents ne sont pas ravis d'apprendre que leur fils est une pédale. Quand Hazel part, ils promettent d'en "parler" à leur fils. Il ne sait pas ce qu'il est advenu de l'autre con quand il est rentré chez lui exactement, mais il sait qu'il a fini par quitter Almia, et que leur discussion était probablement la dernière. Bien fait pour sa gueule. Hazel espère de tout son cœur qu'Aeos le regrette. Non, il en est même persuadé. Il s'en est persuadé.

"Espèce de taré !"

Le départ d'Aeos l'a plongé dans une détresse sans nom. En quelques mots, il a perdu une personne qu'il possédait et manipulait comme une marionnette. Le voilà à nouveau vide de sens, dans ce monde trop grand pour lui. Il enchaîne les plans cul, mais aucun ne s'attache à lui comme par magie comme l'avait fait le ranger. Aucun n'est assez con pour rester plus d'un soir.

Mais la tristesse n'est pas une émotion qu'il connait. Il est enragé. Il ne se contrôle plus. Quelques jours après la rupture, il défonce tous ses meubles, fout le feu aux affaire qu'Aeos a laissé pour être sûr qu'il ne les retrouve jamais. S'il avait pu, il aurait bien foutu le feu à son Tylton de merde aussi. En tout cas, cette agitation ne plait pas exactement au proprio, et Hazel finit à la rue, non sans lui avoir cassé la gueule d'abord.

Il se sent comme un Tauros sauvage. Il n'a pas envie de se reprendre en main, de reprendre ses activités, de se chercher une piaule, ni même de manger. Il a juste envie de tout casser. Pendant plusieurs jours, il vit comme une bête. Ce n'est pas la période la plus fière de sa vie, mais il a au moins la satisfaction d'intimider les autres clodos.
C'est dans la rue qu'il rencontre sa partenaire. Une Farfuret, elle est comme lui. Tout ce qu'elle sait faire, c'est voler, mais elle le fait bien. Il est bien obligé d'admettre que sans elle, il n'aurait pas été foutu de se refaire une vie. Et pourtant, à force de petits larcins, sa confiance lui revient. Il oublie cette petite salope d'Aeos. Il a espoir, pour une fois, que sa vie revienne à la normale. Ce qu'il appelle la normale.

"Assassin !"

Ce sont les premiers et derniers mots que sa mère lui a dit en près de quinze ans. Est-ce qu'elle l'a au moins reconnu ? Elle l'a sûrement même oublié. Elle doit avoir la mémoire courte. Sinon, pourquoi est-ce qu'elle serait resté avec l'énorme porc qui lui sert de mari ? Celui qui git au sol dans une flaque de son propre sang, le crâne défoncé par une brique.

Ils ne se souviennent pas d'Hazel, mais Hazel se souvient bien d'eux. C'est un réflexe viscéral qui a pris le contrôle en les voyant débarquer dans la ruelle. Et maintenant qu'il reprend ses esprits, qu'il voit ses mains maculées d'hémoglobine, le cadavre à ses pieds et la femme qui hurle à l'aide... il ne se sent pas désolé. Pas le moins du monde. S'il s'écoutait, il étranglerait l'autre pute pour la faire taire avec ces mêmes mains rouges.

Seulement, il sait qu'il n'a pas intérêt à se faire chopper. Hazel n'a peur de rien, il tient à ce que ça se sache, mais il n'est pas con pour autant. Il n'a pas envie de finir sa vie en taule. Il court, il bondit, il se faufile et se cache. Mais il sait qu'à Almia, ses jours sont comptés. De toute façon, il n'a jamais aimé sa patrie. Plus rien ne le retient ici. Pas même cette envie qu'il a eu de crever sa mère. Elle n'en vaut pas la peine.

“Connard d'étranger !”

Les Kerosiens ne sont pas les plus accueillants, mais ce n'est pas leur bienveillance que convoire Hazel, seulement leur argent. Non, il ne donne pas une belle image des habitants d'Almia, mais il s'en fout tant qu'il mange à sa faim et peut s'acheter ses clopes.

Et puis un jour, un drôle de type vient lui parler. Il n'a pas l'air commode, un peu comme lui, et qu'est-ce qu'il ferait à trainer dans les mauvais quartiers de Bronswick sinon ? Il a un job pour lui. Mais pas un job habituel. Du braconnage, du vol, bref, des trucs “faciles” pour Hazel. Pour lui, c'est une opportunité rêvée. Il ne hait pas les Pokémon, mais il ne les porte pas non plus dans son coeur. Pas plus que les humains en tout cas...

“Bon à rien, mauvais en tout...”

Comment est-ce qu'il a fait son compte ?
Cette affaire de Sealg marchait bien, il pensait pouvoir continuer toute sa vie, et pourtant...

Il a merdé. Y a pas cent façons de le dire, il a merdé. Il a encore voulu jouer au plus fort, mais jouer au plus fort avec un Pokémon combattant est une mauvaise idée et il en a fait les frais. Il aurait pu crever, facilement, si son Pokémon ne l'avait pas protégé.

Ses vêtements sont cramés. Ses bras, entaillés et ses mains laissent des empreintes sanglantes tandis qu'il essaie de se tirer de cette caverne de malheur, avant que le Typhlosion ne finisse le boulot. Il se traine aussi vite qu'il le peut, laissant derrière lui les créatures en cages qui pleurent à l'aide, laissant derrière lui le petit Zorua inconscient. Il ne se retourne même pas. Quand il claque la porte derrière lui, il entend le rugissement enragé du Pokémon Feu et s'imagine le carnage à l'intérieur.

Non. Il n'y retournera pas.

“T'es rien qu'un lâche.”

Il est sacrément dans la merde. Sa connerie a été découverte pas trois pékins qui visitaient le Mont Darach et les rangers sont au courant. Le boss est au courant. Et quelque chose lui dit qu'ils ne vont pas être tendre avec lui s'ils le retrouvent.
Heureusement, Hazel est malin. Hazel a pris de l'avance. Depuis l'incident, il n'a pas arrêté de courir et de se cacher. Il est comme un animal traqué, on est bien loin de l'image de prédateur qu'il a toujours essayé de se forger.

Il sait que sa vie est foutue, qu'il ferait mieux de fuir la région – et encore ! Mais il lui reste une chance. Une maigre chance. Un nom familier qu'il a vu dans le journal, un jeune ranger qui finit encore et encore à l'hôpital à cause de son incompétence.

Le fait que sa seule chance de survie soit Aeos ne lui plait pas, mais connaissant cet imbécile heureux, ça ne devrait pas être bien difficile...

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Keldeo
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Keldeo
Admin
Dim 18 Sep - 23:15   
Le membre 'Hazel Crimson' a effectué l'action suivante : Lancer de dés


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Highlands
Dim 25 Sep - 21:32   

Félicitations !



Tu es validé !


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