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D'une pierre deux coups Feat Rachel
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Invité
Mar 24 Nov - 10:26   
D'une pierre deux coups
ft. Rachel Hirschwald

Charle fait une visite de courtoisie à Rachel.

Il faut dire qu'il connait très bien sa famille...

Mais... n'a-t-il pas une autre idée en tête ?

Tout le monde sait qu'il faut toujours ce méfier des banquiers.

Quelle étrange coïncidence... Non, quel amusant hasard plutôt. Qui pourrait penser qu'une jeune demoiselle de bonne famille, vivant de mannequinat, ne manquant nullement d'argent, deviendrait l'une des contrebandières des Sealgs ? Certes, Charle n'avait rien montré du fait qu'il connaissait la personne dont on lui parlait lors de son rendez-vous mensuels avec l'une des grosses têtes de la bande bien que son cerveau, lui, marchait à toute allure. Il pouvait tirer tellement de bénéfice de cette simple information.

C'est assez incroyable par ailleurs comme les gens vous prennent pour un confident quand vous gérez leur argent sale : par le secret professionnel que vous gardez pour leur monnaie, ils pensent que c'est aussi le cas pour le reste. Pourtant, rien n'oblige Charle de garder ces "secrets". S'il le fait en général, c'est qu'il ne tirerait aucun avantage à les divulguer, mais pas dans ce cas-ci...

Il ne s'était pas précipité sur les possibles gains qu'il tirerait de se savoir, bien au contraire, Charle patienta bien une semaine avant d'estimer que le risque en valait la chandelle. Ainsi, en plein de milieux de semaine, il engouffra l'œuf de Pokemon qu'on lui avait offert dans sa sacoche, entouré d'un pull pour l'y garder au chaud, se vêtit de son long manteau et de son chapeau, pris sa cane et quitta son bureau bien plus tôt que prévu. Après avoir tout verrouillé et vérifier deux fois que c'était le cas, il laissa à la secrétaire un mot pour qu'elle décale ses rendez-vous dans la semaine s'en alla hors de la banque.

Pas de pluie ce jour-là, mais un vent, fort, glacial. L'été avait fui depuis un moment déjà et le vieil homme grimaça en songeant à l'hiver qui allait encore lui faire souffrir ces vieilles articulations. C'est qu'il n'était plus bien jeune, le vieux Montgommery et qui sait, peut-être finalement ne tiendrait-il même pas l'année ? Un accident pouvait être si vite arrivé... Est-ce que c'est ce qu'avait souhaité son fils ? Quitter le domicile pour ne revenir que quand il serait six pieds sous terre ? Que lui avait-il donc fait pour qu'il souhaite cela... Où le rejoindrait-il dans l'au-delà si il s'y trouvait déjà?

Pas le temps de penser à tout ça néanmoins. Il n'eut aucun mal à trouver et entrer dans les locaux de la plus grande agence de mannequins de Pryderi, que ce soit par billet glisser dans une poche ou parce qu'il reconnaissait là certains de ces clients. Chercher la jeune femme ne fut pas non plus bien difficile, les langues se déliant rapidement quand on savait s'y prendre. Malheureusement, elle était encore en shooting photo.

Etait-ce embêtant ? Pas du tout. Charle l'attendrait dans sa loge. Posant son chapeau sur la coiffeuse, il scrutait l'endroit avant de prendre l'une des photos de la demoiselle et de l'observer. Ah, il l'avait connu si petite et avait secrètement espéré lui glisser Alexandre dans les bras... Ils auraient fait un si beau couple et auraient joui, ensemble, d'une fortune quasiment impossible à faire disparaître. Ils auraient eu des jolies enfants et il aurait pu enfin prendre sa retraite, rassuré, en leur laissant les rênes de la banque... Malheureusement, rien de tout cela ne s'était passé et ne se passerait plus, il le savait bien.

Et cela lui briser tellement le cœur....

Entendant la porte s'ouvrir, il reposa la photo avant de faire un sourire poli à la demoiselle.


"Mademoiselle Hirschwald, vous vous embellissez d'année en année dites-moi."

Cela faisait combien de temps qu'il ne l'avait pas vu ? Il ne saurait pas le dire... Plus d'un an, c'est sur, ayant réduit ses visites chez les "amis" depuis la disparition d'Alexandre. Avant peut-être même. Quoi qu'il en soit, que ce soit dix ans, cinq ans ou un an, la noblesse reste la noblesse même dans ce Kéros détaché de Galar. Par respect et politesse, il embrassa donc la main de la demoiselle en guise de bonjour. Il ne pouvait s'empêcher de se demander, en le faisant, si son fils avait gardé ces gestes de gentleman qu'il avait essayé de lui inculquer pendant tant d'années. Fichu fils qui lui hantait ses pensées...

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Invité
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Mer 25 Nov - 17:48   
D'une pierre deux coups
ft. Charle
Les Sealg. Quelle grande histoire. Un petit groupuscule, à peine visible dans les ruelles sombres de Keros, qui se retrouvent au cœur des discussions de soirées, et qui hante chaque recoin sombre de la région. L’évolution avait été certaine. Et si tu ne savais que peu comme elle se portait dans les autres villes, celle de Pryderi n’était pas étrangère à tes actions. Tu avais eu le temps, durant des années, de prouver ta valeur, et l’expulsion de Steve t’avait valu un tremplin non négligeable. Rachel, la femme noble qui n’a pas peur de se rouler dans la boue et la crasse pour atteindre ses objectives. Le visage d’ange et le cœur de démon, réunis en une personne. Voilà ce que tu étais.

Le froid de l’hiver s’écrasait sur les fenêtre du studio, créant de la buée sur les vitres. Tu l’observais avec un certain intérêt, tandis que ton agent te listait le programme de la semaine à venir. Il était d’un ennui, mais tu ne pouvais que lui sourire. La vérité le ferait trop souffrir, et tu avais besoin que cet homme reste en bonne santé, pour ta propre carrière. Il était le troisième en deux ans. Tu devais le ménager. Tu n’étais pas une tyranne. Ou du moins, tu espérais ne pas le montrer.

Tu te glissas dans le peignoir qu’on te tendit. Tu n’avais peur de rien, ni même de poser avec quelques centimètres de peau en trop. Tu t’étais déjà proposée pour du nu, mais pour ton agence, c’était encore trop tôt. Tu avais la chance d’avoir trouvé une agence Légatienne progressiste. Tu la transformerais en agence Gallienne bien assez tôt, et elle deviendrait la première pierre de ton empire.

Armée de talons hauts comme il en était rare en 1965, tu marchas à grands pas vers ta loge. Tu avais assez donné pour aujourd’hui, tu étais épuisée. Le chauffage du studio te semblait bien insuffisant dans la tenue légère que tu portais : un body, à peine populaire depuis sa création en 1950, et un pantalon, moulant, léger et provoquant. De çà de là, il laissait une vision sur ta peau pâle, que le photographe avait su mettre en valeur.

Tu ouvris la porte.

Tu aurais pu être surpris, si tu n’avais pas été si fatiguée.

Tu aurais pu totalement ignorer sa présence, si tu avais été plus fatiguée.

Tu lâchas un soupir et tu fermas la porte derrière toi, alors qu’un duo d’employés s’approchait. Tu te doutais que la présence d’un inconnu ici n’avait rien d’un simple fan qui voulait t’avoir pour lui seul. C’était autre chose. Une fois cette porte fermée, tu dévisageas celui qui se tenait là. Il te rappelait vaguement quelque chose.

Cette impression de pacifisme se renforça lorsqu’il s’adressa à toi, et qu’il usa d’un code noble. Si tu ne te souvenais plus de son nom, lui te connaissait et il s’agissait, vraisemblablement, d’un noble. Tu le laissas faire, avant de le dépasser, et de te retrouver face à ta coiffeuse. D’un geste vif, tu retiras l’immense et collier qui pesait autour de ton cou, et tu le posas. Sans adresser un regard au nouveau venu, tu lui parlas :

« Je crains ne pas me souvenir de vous. Je rencontre tellement de personnes par ces temps-ci, que ma mémoire n’arrive plus à suivre. »

Tu retiras lentement une de ces boucles d’oreilles qui valait certainement une petite fortune, si négligeable pour toi, et tu la posas avec l’autre bijoux. Enfin, tu te tournas vers l’indésiré.

« Je suppose que vous ne venez pas simplement me saluer, ni même demander un autographe. Je me permets donc… Qu’est-ce qui vous amène ? »

Tu aurais apprécié prendre ce temps pour te changer, mais tu craignais qu’un tel comportement ne soit pas apprécié ni accepté par un autre noble. La tenue que tu portais avait beau d’être d’un charme redoutable et d’un goût tout à fait raffiné, ce n’était pas du tout confortable. Tu devrais le notifier à ces stylistes incompétents… Mais d’un autre côté, tu n’étais pas censé déambuler avec, mais simplement poser. Comme une statue. Ce que tu faisais actuellement, plantant ton regard de braise dans celui qui était venu t’importuner dans ton antre. Ne réveillons pas le Léviator (shiny) qui sommeille.
(c) Apomenon
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Mer 25 Nov - 21:21   
D'une pierre deux coups
ft. Rachel Hirschwald

Charle fait une visite de courtoisie à Rachel.

Il faut dire qu'il connait très bien sa famille...

Mais... n'a-t-il pas une autre idée en tête ?

Tout le monde sait qu'il faut toujours ce méfier des banquiers.

Si Charle aurait été plus jeune, s'il n'aurait pas été marié, s'il n'avait pas goûter à la perfection de sa femme dont il était si amoureux et admiratif, nul doute qu'il aurait pu laisser son regard traîné sur la jeune femme. Il ne le fit pourtant pas, surtout qu'elle avait à peu près l'âge de sa fille. Il trouvait ça bien malsain l'intérêt de certaines personnes plus âgé pour ces personnes qui pouvaient être leurs enfants.

Rachel avait quelque chose... de charismatique néanmoins. Une prestance, en plus de sa beauté, qui donner envie de la respecter malgré son jeune âge. Si elle continuait dans cette voix, nul doute qu'elle deviendrait une femme qui pourrait jouer du pouvoir autant dans l'ombre de son mari qu'à la lumière une fois loin de lui. Il ne prit pas offense du fait qu'elle ne le reconnaisses pas et eue la courtoisie de ne pas la fixer du regard alors qu'elle se dévêtit de ses bijoux. Il rester un gentleman malgré les années même s'il est vrai qu'il pensait que l'avenir des femmes devait se jouer à la maison à éduquer les enfants et prendre soin de la maison. Chose assez ironique quand on sait qu'il avait abdiqué face à sa douce pour qu'elle garde son métier d'institutrice malgré tout. Que ne faisons nous pas pour l'être aimé?


"Je me nomme Charle Henri William de Montgommery. Je suis une bonne connaissance de vos parents et leur conseiller financier."

Conseiller financier, c'est bien plus jolie et moins agressif que banquier non ? Enfin, Charle trouve que si. Il esquisse un sourire aux restes de ces paroles. Elle va au vif du sujet la demoiselle, ça peut être un bien, comme un mal.


"Je ne vous ferrais pas l'offense de vous mentir sur ma présence."

Il lance un regard vers la porte, tendant l'oreille pour être sûr que personne n'écoute à la porte avant de lui répondre tout aussi sincèrement, son regard bleu-gris, ayant déjà bien vécu, planté dans son regard de braise. Sa voix est plus basse, moins courtoise, plus sérieuse. Elle intimait une réponse précise et non pas quelques tentatives de changement de conversations. Charle n'avait plus l'âge de jouer au Miaouss et au Pikachu avec les plus jeunes.

"Je me posais la question de savoir pourquoi une jeune noble, héritière, belle, riche, à qui l'avenir sourit, avait rejoins les rangs d'une bande de malfrats comme les Sleags?"

Bande de malfrat dont il faisait aussi parti, certes, mais cela, il lui dirait peut-être plus tard celons ses réponses.

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Jeu 26 Nov - 20:57   
D'une pierre deux coups
ft. Charle
A ta demande, l’inconnu se présenta. Ainsi, il se nommait Charle Henri William de Montgommery. Mmmh… Charle de Montgommery, ce nom te revenait lentement. Tes parents avaient dû t’en parler, une fois ou une autre. Il était conseiller financier, alors quoi de plus normal, en plus d’être noble … ? Qu’importe, ce n’était pas le sujet.

Il demanda, après avoir vérifié que personne n’écoutait, ou du moins, c’est ce que son court silence et son regard te fit interpréter, quelques informations sur ton affiliation avec les Sealg. Prudence, Rachel, ce n’était peut-être qu’une simple question, tout comme cela pouvait être une ruse. Rejoignant l’une des chaises de ta loge, tu entrepris de défaire le lacet des chaussures qui t’opprimaient tant. Tu haussas les épaules.

« Les Sealg, vous dites ? Parlez-vous du même groupe d’importuns qu’auquel je pense à l’évocation de ce nom… ? »

Tu posas les chaussures à leur place, avant de te relever. Désormais bien plus petite, de ton mètre soixante-dix à peine, tu posas ton regard indifférent sur Charle, avant de continuer :

« J’en ai entendu parler, comme beaucoup ; mais où êtes-vous allé chercher l’idée que je sois affiliée avec eux, d’une quelconque manière… ? Je vis ma vie honnêtement, et mon seul péché est probablement de parasiter les richesses de ma famille pour ma propre survie, monsieur De Montgommery. »

Tu lui adressas un léger sourire avant de défaire tes cheveux, et de t’éclipser derrière le paravent qui servait à te changer. Cela ne prendrait que quelques minutes, mais tu ne devais pas excéder le temps que tu prenais en temps normal pour te changer après une séance : des esprits alertes seraient douteux. Du body et du pantalon bien trop précieux, tu passerai à une robe plus standard, dans le style asiatique que tu appréciais. Là, au moins, tu te sentirai bien plus libre et naturelle. Et tu serai prête à reprendre les affaires.
(c) Apomenon
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Ven 27 Nov - 0:58   
D'une pierre deux coups
ft. Rachel Hirschwald

Charle fait une visite de courtoisie à Rachel.

Il faut dire qu'il connait très bien sa famille...

Mais... n'a-t-il pas une autre idée en tête ?

Tout le monde sait qu'il faut toujours ce méfier des banquiers.

Bien entendu, elle jouait de prudence et il la laissait faire, attentif et patient. Il l'observait, retenant chacun de ses mots, chacune de ses formulations.

Amusant la façon dont elle glissait dans la neutralité la plus naturelle possible l'"idiotie" de cette idée. Quand elle disparut derrière le paravent, il glissait sa main dans la veste intérieur pour en sortir une carte de visite. Pas la sienne, non, celle d'une personne qu'ils connaissaient bien tous les deux, celle de celui qui lui avait parler d'elle, mais surtout, celle de la tête des Sealgs qu'ils avaient au dessus d'eux dans l'étrange hiérarchie de cette organisation.

Certes, il préférait qu'ils s'arrangent directement l'un l'autre sans que celui-ci soit au courant mais si il fallait passé par là, soit. Ce n'était pas si grave non plus.


"Ou j'ai été la chercher ? Bonne question. Pour être sincère, je ne l'ai pas "cherché" elle est venue à moi dans une conversation bien anodine."


Par dessus le paravent, il lui tendis la carte de la personne en question.

"Vous y connaissez-vous en finance Mademoiselle ? Je ne parle pas simplement de savoir remplir une feuille avec ces retraits et ses dépôts, mais aussi des impôts, du courtages, des crédit, de la bourse, du patrimoine immobilier mais surtout, ah, surtout, du fisc ? Ces inspecteurs qui vous surveille et chipote sur le moindre dollars non déclaré. Pensez vous vraiment que le braconnage se passe aussi facilement qu'un échange entre un Pokémon et une certaine sommes ? Que de toute façon personne ne pourra le remarqué ? C'est bien loin d'être le cas. Il parait que vous être très doué pour attraper ce que les plus envieux souhaite... Moi je suis très doué pour en effacé financièrement les traces. Si vous voulez appelez pour en être certaine, je vous en pris, faîtes le donc."


Est-ce qu'il venait de lui avouer son rôle ? Totalement. Contrairement à elle, il savait déjà qu'elle était plongé dedans jusqu'au cou. Si elle voulait le faire tomber avec cette information, il ne mettrait pas longtemps à la faire tomber aussi. Elle, mais aussi son père, sa mère, sa sœur et tout ces amis proche. Il n'aurait aucun scrupule à leur pourrir la vie même si cela voulez dire falsifier des preuves.


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Dim 29 Nov - 16:49   
D'une pierre deux coups
ft. Charle
Tu avançais délicatement sur un terrain dangereux. Si tu soupçonnais cet homme d’être Sealg, tu n’allais pas lui tendre la main si facilement : un erreur est si vite arrivée, et tu n’avais aps fait tout ce chemin pour être si vite repérée. Tu ne ferais pas la même erreur que Steves ou tant d’autres. Pas toi. Tu avais trop à faire.

Alors que tu te changeais à ton rythme, Charle vint te glisser une carte en même temps que quelques paroles. Oh. Tu pris la carte.

« Mmmh… Fort bien. Veuillez m’excusez. »

Tu le laissas continuer pendant que tu te changeais. Tu ne savais pas s’il s’agissait d’une menace ou d’une proposition, donc tu gardas le silence un instant.

Tu sortis, fraichement changée, arborant tes vêtements du quotidien. Tu remontas tes cheveux pour en faire une queue de cheval rapide, et tu posas le carton sur ta coiffeuse. Tu toisas le noble.

« Je préfère me méfier, avec tous ces vautours qui rôdent. Certains hurlent qu’ils sont Sealg, d’autres ont une couverture à tenir… Et ont une vie en dehors de l’illégalité. »

Tu pris un court instant pour réfléchir. Tu repensais aux mots qu’il avait dit, et comment les prendre. Il ne serait pas venu te voir pour créer un conflit. Personne ne faisait ça. Aucune personne… Qui avait entendu parler de ce qui était arrivé à Steves lorsqu’il t’avait trahi. Tu affichas un léger sourire, tu semblais soudainement plus détendue.

« Bien. C’est donc les affaires qui vont ont mené ici ? Sachez que le braconnage n’est pas ma seule prédilection… Mais cela ne vous intéresse probablement pas, vous n’êtes pas ici pour cela. »

Tu soupiras. Tes doigts glissèrent vers la carte de visite, que tu rangeas finalement dans ta robe… Dans ta poitrine, pour être exacte. Ici, elle serait bien cachée, au moins. Tu adressas un court regard au noble, avant de retourner t’assoir. Tu l’invitas à s’asseoir sur le second et dernier fauteuil de la pièce. Justement prévu pour les entretien intimes, liés au travails, ou les amis, tout simplement.

« L’argent sale ne touche jamais mes mains, sachez -le. Que puis-je pour vous, monsieur de Montgommery ? »
(c) Apomenon
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Lun 30 Nov - 10:52   
D'une pierre deux coups
ft. Rachel Hirschwald

Charle fait une visite de courtoisie à Rachel.

Il faut dire qu'il connait très bien sa famille...

Mais... n'a-t-il pas une autre idée en tête ?

Tout le monde sait qu'il faut toujours ce méfier des banquiers.


Cette nouvelle tenue lui allait bien mieux aux yeux de Charle, elle était moins provoquante, moins allumeuse. Plus naturelle, certes, mais tout aussi jolie et ne dit-on pas ce qui est le plus beau et le plus simple ?

Quand elle lui expliqua se méfier, Charle fit un léger signe de tête. Il comprenait cela et s'était tout à son honneur. On ne vit pas bien longtemps parmi les malfrats quand on fait confiance trop facilement. On ne vit pas bien non plus hors d'eux d'ailleurs... Il est si facile, pour les gens, de trahir les autres avec des soit disant "je n'avais pas le choix". En vrai, tout le monde à le choix, mais la pire des solutions nous parait jamais la bonne.

Il suivit sa proposition pour s'installer dans le fauteuil qu'elle lui proposer. Bien qu'il ne le dirait jamais, c'était reposant de s'asseoir. Il n'était plus très jeune et son corps lui en faisait souvent la réflexion en le lançant dans ses articulations quand il s'y attendait le moins.


"L'argent est l'argent. Il n'a ni trace, ni odeur. Vous seriez bien naïve de croire que de tout les billets que vous pouvez brasser, il n'y en a pas un ou deux qui ont été mal usé à un moment ou à un autre. Seulement, la plupart ferment les yeux si ce n'est pas directement devant leurs yeux."

Il pose son sac délicatement à côté lui pour ne pas déranger l'œuf qui s'y trouve et repose le regard sur la demoiselle.


"Je n'aurais pas pris le risque de compromettre moi-même ma couverture Mademoiselle Hirschwald si je n'étais pas sûr que nous puissions nous aider l'un l'autre. Après tout, qui penserait qu'un directeur de banque, réputé justement pour vérifier le moindre compte et ruiné si froidement la vie de ceux qui fraude ou vol, puisse lui-même commettre des méfaits ? Tout comme personne sûrement ne vous suspecterez de faire de même. J'ai plus ou moins entendu la rumeur comme quoi vous étiez intéressé par les étendues d'eau immenses ? Est-ce vrai ? Permettez-moi de financer votre futur bateau en échange de quelques Pokémons à offrir à mes clients les plus avantageux. Certes, je connais d'autre Sleag qui pourraient m'aider, mais, sans vouloir vous donner l'impression d'une quelconque menace, je préfère travailler avec une personne qui a autant à perdre que moi. Si on est deux sur le même fils, il faut être suicidaire pour le couper."

Quand on ne connaît pas bien la personne avec qui on travail, il est difficile de se faire une idée du risque. Dans ces cas-là, on était en plus celui qui avait souvent le plus à perdre. Dans le cas de Rachel, il savait bien que si l'un d'eux tomber par la faute de l'autre, il lui serait facile de l'emmener aussi. Personne de sensé ne ferrait cela bien entendu, qui risquerait sa vie juste pour faire couler l'autre ?

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Ven 4 Déc - 10:18   
D'une pierre deux coups
ft. Charle
Tu laissas le temps à Charle de s’assoir, avant d’en faire de même, sur le second fauteuil. Désormais bien installée, les jambes croisées et effectivement à l’aise, tu l’écoutas. Ses remarques te firent sourire. Il était provoquant, mais il ne savait rien de toi : tout ceci ne t’atteignait pas. Tu te fichais d’où provenait l’argent, tant que la manière dont toi, tu l’avais reçue, était propre. Personne ne pourrait ni t’accuser, ni te condamner pour ça.

Il continua sur la véritable raison de sa venue. Lorsqu’il aborda le sujet des mers, tu te penchas légèrement en avant. Ainsi donc, les voix s’exprimaient chez les Sealgs, les oreilles importines écoutaient et les bouches rapportaient. Intéressant. Cela ne faisait que quelques mois que tu avais exprimé ce souhait à une poignée de personne. La nouvelle s’était vite propagée… Et c’était plutôt à ton avantage en réalité. Tu esquissas un léger sourire :

« En effet. La piraterie n’est pas le maître mot des Sealgs. Ils sont encore mal organisés et peu voient l’opportunité d’attaques sur de navires marchands. Keros est une île, beaucoup l’oublient. Et les Rangers ne sont pas si présents que cela sur des eaux sûres. »

Charle te proposait de t’aider à financer ton immense projet, en échange de braconnage. Un moyen de placer soigneusement ton argent dans un tas de bois flottant, sans traces ni soupçons. Ce que tu faisais déjà, certes, mais un peu d’aide ne serait pas de refus : tu avais encore grandement à faire. Sa dernière remarque t’avait arraché un nouveau sourire : vous jouiez tous les deux à un jeu étonnamment dangereux. Ni l’un ni l’autre de vous n’avait besoin de mettre les pieds dans le miasme qu’était les Sealg, mais que voulez-vous ? Le danger, la peur, l’inconnu… Tant de choses qui t’avais attirée dans ces filets-là. Tu t’adossas à nouveau dans ton siège, expirant longuement, avant de lancer :

« Le financement contre du braconnage, donc ? Soit. Un coup de pouce ne serait pas de refus. Avez-vous déjà des clients ? »

Tu fis une courte pause, un instant de réflexion. Il ne savait probablement pas comment tu fontionnais, alors tu te permis d’éclaircir :

« Je travaille différemment d’autres Sealg. Donnez-moi l’espèce, je vous trouverais ce que vous cherchez. C’est le prix de base. Pour tout autre condition en plus : taille, poids, sexe, et autres, je rajoute entre 10% et 30% du prix en fonction de la complexité. Si votre client désire un pokémon chromatique, le prix de base doublera. Je ne prends pas les demandes de capacités particulières ou de personnalité précise. Un Pokémon se dresse, et si la timidité d’un Noarfang vous cause soucis, matez-le, il changera. Prenons un exemple… Si vous désirez un Roucool mâle, qui mesure entre vingt et vingt-cinq centimètres, et dont le poids n’excède pas un kilo et demi, je prendrais le prix de base… Disons, au hasard 10 pokédollars. Je rajoute à ce prix 10%, mais deux fois, puisque nous avons deux conditions larges conditions, et 30% pour la taille très précise. Le Roucool serait donc au prix de 15 pokédollars. »

Tu fixas le noble dans les yeux pendant toute tes explications. Commerciale dans l’âme depuis ta naissance, ô grand merci ton éducation Hirschwald, les termes n’étaient pas discutables. Tu risquais gros à voler des pokémons. Enfin… Disons que parfois, il t’était plus rentable et sécurisant de capturer à l’état sauvage la créature pour la revendre plus cher. Tu pris une autre seconde de réflexion, avant de terminer :

« Les prix sont non-négociables, et comprennent mon propre « salaire ». Et sachez qu’en cas de difficultés, je peux facturer des frais en plus. Si lors du braconnage, j’apprends que le pokémon est devenu plus rare, son prix augmentera naturellement. Le client sera prévenu dès que je le saurais, et aura alors le choix entre payez la nouvelle somme, ou refuser le pokémon. Avez-vous des questions ? »
(c) Apomenon
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Dim 6 Déc - 9:12   
D'une pierre deux coups
ft. Rachel Hirschwald

Charle fait une visite de courtoisie à Rachel.

Il faut dire qu'il connait très bien sa famille...

Mais... n'a-t-il pas une autre idée en tête ?

Tout le monde sait qu'il faut toujours ce méfier des banquiers.


C'est dans la nature humaine de ne pas savoir garder le moindre secret. Chacun avait toujours besoin d'une personne au moins pour déverser ses pensées et soucis, même les plus intimes. Pour Charle, cette personne n'était autre que sa femme, la seule qui connaissait vraiment tout de lui, de son allégeance au Sleag même si elle n'appréciait pas à son inquiétude véritable pour son fils disparut. Certaines personnes, néanmoins, ont se drôle de besoin de parler à bien plus d'une personne juste par besoin d'accaparer le regard. De ceux-là, il faut savoir se méfier.

Ainsi donc les nouvelles étaient vrai et elle espérait prendre une place importante dans la piraterie. Il est vrai que ce n'était pas un domaine très exploré par les Sleag et Charle pouvait le comprendre. Les mers et océans sont vastes, certes, cela peut rapporter gros, mais c'est bien aléatoire. Des clients, par ailleurs, bien entendus qu'il en avait. Les plus grandes fortunes ne cachaient pas beaucoup leurs désirs les plus fous et s'il comptait s'aventurer dans ce genre de chose, ce n'était sûrement pas pour du braconnage de bas étage. Non, il n'en proposerait qu'à ces plus grosses fortunes. Du braconnage, certes, mais de luxe.

Il l'écoute avec courtoisie et attention quand elle émet ces conditions, tel une marchande de tapis. Elle avait un système de paye bien rodé, certes, mais c'était raisonnable. Trop raisonnable. Charle allait pouvoir se prendre une belle petite part pour la transaction et augmenter le prix de clients avec la bonne dose d'argument si bien ficelé de tout bon banquier qui se respecte.


"Votre façon, de travailler me conviendra, mais j'aimerais rajouter une close sur le délai de livraison. Comprenez que je ne pourrais pas faire attendre mes clients indéfiniment. Je vous propose donc de poser ce délai à trois semaines à partir de moment où je vous propose le travail. Si vous ne vous pensez pas capable de le faire en ce temps, refusez-le. Bien entendu, plus le Pokémon sera livré vite, plus je serais enclin à rajouté un petit bonus financier, mais en revanche en cas de retards, je prendrais un malus sur votre prime en fonction du temps de retard."


Les riches se montraient toujours dès plus impatient quand on leur proposait un si beau cadeau que le Pokémon rêvé depuis leur jeunesse, surtout s'ils avaient les particularités qu'ils espéraient. Les sommes pouvaient tripler s'ils étaient livrés très vite après la promesse d'achat.


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Mar 8 Déc - 9:38   
D'une pierre deux coups
ft. Charle
Les négociations avaient commencé. Et c’était pour le mieux. Il t’écoutait en silence, avec une certaine attention. Et lorsqu’il se mit à parler, tu en fis de même. Lorsqu’il parla des délais, tu affichas un sourire, avant de répondre, d’une voix douce qui cachait ton esprit commercial :

« Un délai inclut une condition particulière. Ce qui augmentera indéniablement le prix, Monsieur de Montgommery. En outre, si vous souhaitez imposer trois semaines, sachez que la tarification de cette demande variera en fonction de la rareté à dénicher la marchandise souhaitée. Comprenez que si trois semaines sont largement suffisantes pour un Passerouge, il n’en sera pas de même pour un Duralugon, par exemple. En revanche, il n’y a rien que je ne puisse obtenir. Moyennant la somme adéquate, je peux potentiellement tout vous dénicher. »

Tu jetas un rapide coup d’œil à la porte. Tu n’avais pas l’impression d’être écoutée ni d’entendre quelqu’un passer, mais tu préférais être prévoyante ; même si ta loge était bien isolée pour des raisons évidentes, tu étais toujours sur tes gardes.

Tu t’adossas à ton fauteuil et tu te détendis un court instant. C’était certainement le lieu le plus sécurisé pour ta couverture, mais il n’était pas parfait.

« Comme je vous l’ai dit, mes prix ne sont pas fixes. Il faudra envisager d’en informer vos clients réguliers. Et contrairement aux commerces légaux, je n’ai malheureusement pas de carte de fidélité. C’est bien souvent l’inverse : plus je suis sollicitée pour un client, plus j’augmente mes risques d‘être repérée. Il faudra envisager, à terme, une augmentation de mes prix ou mon refus de fournir le client, si je remarque qu’il pourrait attirer l’attention. Et dans ce cas… »

A nouveau, tu te penchas légèrement en avant, fixant le banquier. Tu étais plus que sérieuse sur ce point.

« … Si vous me mentez ou essayez de me doubler, en me cachant qu’il s’agit d’un client que j’ai refusé, notre accord s’arrêtera tout simplement là, pour cette commande et toutes les autres, en cours ou non. Ma sécurité et mon confort passent avant ces conneries. »

Tu attendis quelques secondes une réponse, puis tu te réinstallas. Ta journée t’avait fatiguée, et ce genre de négociations, même si tu en avais l’habitude, était un combat de Flambusard psychique. Cela t’épuisait mentalement, et c’était bien là le but même des négociations. Loin de toi l’idée de menacer le noble, tout comme tu osais croire qu’il ne te menacerait pas, mais ce genre de travail dangereux, tu ne jouais pas avec. Tu risquais gros à chaque coup, et si un ou deux pokémons étaient facilement discrets pour un client, lorsqu’il commençait à en avoir beaucoup, cela te mettait en danger. Voilà pourquoi tu passais ton braconnage entre plusieurs mains Sealg avant de livrer un client, avec qui tu n’avais souvent aucun contact. Ainsi, tu brouillais les pistes, primitivement, certes, mais cela te donnait une légère marge d’avance.
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Mar 8 Déc - 12:53   
D'une pierre deux coups
ft. Rachel Hirschwald

Charle fait une visite de courtoisie à Rachel.

Il faut dire qu'il connait très bien sa famille...

Mais... n'a-t-il pas une autre idée en tête ?

Tout le monde sait qu'il faut toujours ce méfier des banquiers.


Soit, si elle veut faire des délais une "condition particulière" il n'y voit pas d'inconvénient. Au pire, il réduirait sa propre marge, rien de plus.

C'était plus intéressant de savoir qu'elle comptait refuser certains clients. Charle glissa ses doigts dans sa barbe, la caressant en l'écoutant. Hum... Pour certains, ce ne serait pas un problème, car une ou deux bêtes suffira, mais pour d'autres, c'est un zoo entier qu'ils espèrent. Soit, il passerait alors par d'autre braconnier : Les plus rares pour elle avant qu'elle ne finisse par refuser, les autres pour les autres qui sont pour la plupart moins précautionneux.


"Je comprends votre besoin de rester à l'abri et je le respecte. Heureusement pour moi, vous n'êtes pas la seule à braconner, je me rabattrais donc sur d'autres pour ceux que vous refuserez."

Bien, ils avaient donc un accord. Et.. C'était fatiguant de négocier, alors autant en rester là quand les deux parties semblaient un minimum satisfaites. Charle s'appuya sur sa canne pour se relever et reprit son chapeau qui retrouva sa place sur sa tête.


"Et bien Mademoiselle, il me semble que nous avons donc un accord et j'espère qu'il sera fructueux pour nous deux. Laissez-moi donc vous offrir ceci pour prouver ma bonne fois concernant celui-ci."

Il fouilla dans son sac pour en sortir un petit disque, ceux-là même qui permettait l'apprentissage des techniques des Pokémons et le posa sur la petite table basse. Oh, non, ce n'était pas une façon de l'acheter, de l'amadouer ou quelque chose du genre, juste une façon de lui faire comprendre qu'il ferra sa part du marché tant qu'elle fera la sienne, mais aussi de lui faire comprendre que si on lui proposait mieux que lui, il pourra toujours augmenter ses prix. L'objet posé, il s'inclina alors respectueusement.

"J'ai déjà pris assez de votre temps Mademoiselle, je vais donc vous souhaiter une agréable fin de journée. Je vous contacterais pour un thé quand les besoins, nous réunirons de nouveau."


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Mar 8 Déc - 12:53   
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Mar 8 Déc - 18:32   
D'une pierre deux coups
ft. Charle
Tu étais sûre en affaire, mais Charle aussi. Vous alliez finir par vous entendre, tu n’en doutais point, et c’est pour cela que tu te sentais étrangement détendue en sa présence. Qui n’est pas dans le besoin n’a pas l’utilité de se presser, et peut négocier. Il accepta ta clause supplémentaire avec une aisance que seuls certains étaient capables. Il n’y avait aucun problème pour lui, rien n’était irréalisable.

Tu hochas lentement la tête. Soit, qu’il donne aux autres les restes que tu ne voulais pas, cela t’arrangeait presque, en réalité. Tu affichas un léger sourire. Accord ? Probablement. Tu observas Charle se relever, et tu fis de même, ajustant ta robe pour être de nouveau présentable. Il confirma que vous étiez sur la même longueur d’onde, chose à laquelle tu réagis simplement par un sourire. En revanche, tu fus intriguée par le cadeau qu’il désirait t’offrir. Tu le regardas plonger sa main dans son sac, et en sortir un petit disque. Oh. Peu de personnes avaient l’opportunité de donner un DT à quelqu’un. Il n’était pas noble pour rien.

Par respect, tu cessas de lorgner sur le présent, et tu reportas ton regard sur Charle. Il s’inclina légèrement, tu fis de même d’un geste de tête. Tu le raccompagnas aimablement jusqu’à la porte, que tu ouvris, tout en lui glissant :

« Ce sera avec plaisir, ce jour-là, Monsieur de Montgommery. Passez une bonne soirée. »

Tu fermas lentement la porte derrière lui, guettant aux regards indiscrets. Il n’y avait personne. Tu rangeas un peu ta loge avant de la quitter, et tu examinas un peu plus le DT avant de la ranger. Il était gravé dessus « DT57 ». Tu ne te souvenais plus très bien à quoi elle correspondait, mais qu’importe. Tu la rangas dans ton sac, avant de quitter et de fermer à clé ta loge. Une longue journée t’attendrait à nouveau demain. Tu saluas tes collègues avant de prendre le chemin de ton appartement, non loin de ton agence pour des raisons pratiques. Plus tard, tu appris en cherchant que cette DT57 renfermait l’attaque Direct Toxik, qui serait utile pour ta Floramantis.

HRP :
Don de la « CT/CS/DT » au choix de Charle à Rachel, qui obtient la « DT57 – Direct Toxik ».

Fin du RP pour Rachel.
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Mar 8 Déc - 18:32   
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